Note
a Ce même ouvrage explique que, à la différence de l’adolescent qui se sent seul occasionnellement, celui qui souffre d’une solitude chronique se sent seul la plupart du temps, sur une période relativement longue. Il “ est convaincu qu’il n’aura jamais d’amis, qu’il ne peut rien y faire, que c’est à cause de ses défauts ”, et que la situation “ ne peut pas changer, qu’elle ne changera pas ”.