Note
b De Ze, “le” ou “ce” ; emir, “rameau” et amit, “qui porte” au féminin. Hésychius, lexicographe grec du IVe siècle de notre ère, explique le nom de Sémiramis comme désignant un “pigeon sauvage”, sans doute par allusion au pigeon sauvage qui ramena à Noé une feuille d’olivier (Genèse 8:8-12). Voir Ésaïe 17:6, 9 (NW), où le terme hébreu d’amir est rendu par “branche”. Cf. aussi Hislop, Les deux Babylones, page 116 et la note en bas de page.