Note
d L’historien juif Joseph Klausner a écrit: “D’homme pour qui l’idéal moral était l’essentiel, comme cela était le cas pour Jésus, le Judaïsme n’en connaît pas d’autre à cette époque-là. (...) Donc, la morale de Jésus est, à première vue supérieure à celle des Pirke Aboth et du reste de la littérature talmudique et midrashique. Elle n’est pas noyée dans les Halakkas, dans les questions de science profane et dans les problèmes juridiques12.”