Note
b Il s’agit là d’une loi remarquable, certainement très différente de tout ce que Ruth connaissait en Moab. Dans le Proche-Orient ancien, les veuves n’étaient pas bien traitées. On lit dans un ouvrage de référence : « Après la mort de son mari, une veuve dépendait généralement du soutien de ses fils ; si elle n’en avait pas, elle pouvait en venir à se vendre en esclavage, à se prostituer, ou même mourir. »