Note
d On notera ici un éclaircissement et une mise au point par rapport aux articles parus dans La Tour de Garde du 1er février 1975, pages 95, 96, et du 15 mai 1978, pages 30 à 32. Si certains ont agi sur la base de la connaissance qu’ils avaient jusque-là, on ne peut leur en faire le reproche. Par ailleurs, cela ne doit pas non plus porter atteinte à la réputation de ceux qui, prenant la perversion sexuelle de leur conjoint dans le cadre du mariage pour une forme de pornéïa, ont divorcé et se sont remariés depuis.