Note
a Les écrits des sages de la Grèce antique montrent que, malgré tous leurs débats et toutes leurs recherches philosophiques, ils n’avaient pas trouvé de véritable raison d’espérer. Les professeurs Sterrett et Angus font remarquer ceci: “Il n’est pas d’écrits qui contiennent plus de lamentations pathétiques sur ce que la vie a de malheureux, sur ce que l’amour a d’éphémère, sur ce que l’espoir a de trompeur et sur ce que la mort a d’impitoyable.” — New “Standard” Bible Dictionary, Funk et Wagnalls, 1936, page 313.