Note
c Un autre constat vient décrédibiliser ces documents : il n’en existe que très peu de copies. L’Évangile de Marie Madeleine, évoqué précédemment, n’a par exemple survécu qu’à travers deux courts fragments et un extrait plus long ; on estime que la moitié du texte original est manquante. Par ailleurs, d’une façon générale, les manuscrits dont on dispose présentent des différences de texte notables.