Note
b Dans sa Cinquième édition revue et corrigée du Nouveau Testament (1904), Edmond Stapfer précise dans une note : « Ici, le mot Dieu n’est pas précédé de l’article dans le texte grec, ce qui lui donne ce sens atténué : la Parole était d’essence divine. » Le Nouveau vocabulaire biblique explique quant à lui : « Le texte est précis. Il omet l’article devant le mot “dieu”, alors que la ligne précédente le contenait. [...] “Divin” est trop faible, “Dieu” est trop fort. Le mot “dieu”, avec la minuscule, cherche à rendre la pensée » (Bayard, 2004, p. 441).