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    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
    • de les mettre en garde contre la fornication, condamnant cette pratique au même titre que l’idolâtrie et la consommation de sang. — Ac 15:20, 29 ; 21:25.

      L’apôtre Paul montra que la fornication fait partie des œuvres de la chair, le contraire du fruit de l’esprit de Dieu, et prévint ses lecteurs que la pratique de ces œuvres charnelles empêche d’hériter du Royaume (Ga 5:19-21). Il dit que le chrétien devait faire mourir son corps “ pour ce qui est de la fornication ”. (Col 3:5.) D’ailleurs, précise-t-il, la fornication ne doit même pas être un sujet de conversation parmi les chrétiens, qui sont tenus d’être saints. Pareillement, les Israélites ne devaient pas mentionner les noms des dieux païens. Cela ne signifie pas qu’ils ne devaient pas mettre leurs enfants en garde contre ces dieux, mais qu’ils ne devaient pas en parler sous un jour avantageux. — Éph 5:3 ; Ex 23:13.

      La fornication est une offense pour laquelle on peut être expulsé (ou exclu) de la congrégation chrétienne (1Co 5:9-13 ; Hé 12:15, 16). L’apôtre expliqua que le chrétien qui commet la fornication pèche contre son propre corps, car il utilise ses organes reproducteurs à des fins perverties. Il se fait un tort considérable sur le plan spirituel, il amène une souillure dans la congrégation de Dieu et s’expose au danger des maladies sexuellement transmissibles qui sont mortelles (1Co 6:18, 19). De plus, il lèse les droits de ses frères chrétiens (1Th 4:3-7) 1) en introduisant dans la congrégation l’impureté et une sottise déshonorante, avec l’opprobre (Hé 12:15, 16) ; 2) en privant son partenaire de sa pureté morale et, s’il s’agit d’un(e) célibataire, de la possibilité d’être pur(e) quand il (elle) se mariera ; 3) en privant sa propre famille d’une réputation de bonne moralité ; et 4) en faisant du tort à parents, mari ou fiancé(e) de son (sa) partenaire. Enfin, il repousse, non pas un homme, dont les lois excusent parfois la fornication, mais Dieu qui, lui, réclamera la punition pour son péché. — 1Th 4:8.

      Au sens figuré. Jéhovah Dieu parla de la nation d’Israël, liée à lui par une alliance, comme d’“ une femme ”. (Is 54:5, 6.) Lorsque, devenue infidèle, celle-ci ne tint plus aucun compte de lui et chercha secours auprès d’autres nations, telles l’Égypte et l’Assyrie, en contractant des alliances avec elles, elle ressembla à une femme infidèle, à une adultère, à une prostituée, à quelqu’un qui pratique la fornication à droite et à gauche (Éz 16:15, 25-29). De même, si des chrétiens qui ont avec Dieu des relations d’attachement ou qui prétendent en avoir, se montrent infidèles en participant à un faux culte ou en étant amis du monde, ils méritent le qualificatif de “ femmes adultères ”. — Jc 4:4.

      Voici ce que dit F. Zorell (Lexicon Graecum Novi Testamenti, Paris, 1961, col. 1106) à propos de la signification symbolique de pornéïa dans certains textes : “ Abandon de la vraie foi, soit total, soit partiel, défection à l’égard du vrai Dieu Jahvé pour suivre des dieux étrangers [4R 9:22 ; Jr 3:2, 9 ; Os 6:10, etc. ; car on considérait l’union de Dieu avec son peuple comme une sorte de mariage spirituel] : Ré 14:8 ; 17:2, 4 ; 18:3 ; 19:2. ” — Les crochets sont de l’auteur ; 4R dans la Septante correspond à 2R dans le texte massorétique.

      Babylone la Grande, que le livre biblique de la Révélation dépeint comme une prostituée, symbolise une entité religieuse. Ses nombreuses sectes, “ chrétiennes ” et païennes, prétendent être autant d’organisations consacrées au vrai culte. Pourtant, elle a frayé avec les dirigeants du monde pour obtenir pouvoir et profit, et avec elle “ les rois de la terre ont commis la fornication ”. Ses actes de fornication, actes impurs et répugnants, sont détestables aux yeux de Dieu. Par ailleurs, elle a provoqué de grandes effusions de sang et beaucoup de malheurs sur la terre (Ré 17:1-6 ; 18:3). Pour avoir eu cette conduite, elle subira le jugement que Dieu réserve à ceux qui pratiquent la fornication, c’est-à-dire la destruction. — Ré 17:16 ; 18:8, 9.

  • Fortifications
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
    • FORTIFICATIONS

      Le terme hébreu rendu par “ fortification ” désigne fondamentalement un lieu impénétrable, inaccessible (voir Za 11:2, note). Puisque les fortifications d’une ville étaient coûteuses et difficiles à construire, et que leur présence exigeait une force défensive adéquate, toutes les villes n’étaient pas fortifiées. En règle générale, les grandes villes étaient murées, tandis que les petites villes périphériques, appelées localités qui en dépendaient, ne l’étaient pas (Jos 15:45, 47 ; 17:11). Les habitants de ces localités pouvaient s’enfuir dans la ville murée en cas d’invasion. Ainsi, les villes fortifiées servaient de refuge aux habitants de la région. Les villes étaient également fortifiées lorsqu’elles occupaient une position stratégique pour protéger les grandes routes, les sources, les routes de ravitaillement et les voies de communication.

      La solidité et la hauteur des fortifications de nombreuses villes de la Terre promise étaient telles que les espions sans foi envoyés par Moïse explorer Canaan déclarèrent que “ les villes fortifiées [étaient] très grandes ” et “ fortifiées jusqu’aux cieux ”. De leur point de vue, qui manquait de foi, les villes paraissaient imprenables. — Nb 13:28 ; Dt 1:28.

      Dans les pays de la Bible, les villes avaient généralement une superficie de seulement quelques hectares. Toutefois, certaines étaient beaucoup plus grandes. Les capitales d’Égypte, d’Assyrie, de

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