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  • Givre
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
    • habituellement durant la nuit. On trouve souvent du givre sur les fenêtres.

      Jéhovah parla à Job du “ givre du ciel ”, certainement parce que celui-ci vient de l’atmosphère par condensation (Jb 38:29). Le psalmiste déclara au sujet de Jéhovah : “ Il disperse le givre comme de la cendre. ” (Ps 147:16). Jéhovah produit le givre aussi facilement qu’un homme répand des cendres avec sa main. Le givre forme une couche, ou une croûte, sur les arbres, l’herbe et les maisons, comme le feraient des cendres qui auraient été répandues par la main invisible de Jéhovah.

      Exode 16:14 décrit comme suit la manne que Jéhovah fournit aux Israélites durant leurs 40 ans de pérégrinations dans le désert : “ La couche de rosée s’évapora et voici que sur la surface du désert il y avait quelque chose de fin, de floconneux, de fin comme le givre sur la terre. ”

  • Glace
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
    • GLACE

      Eau à l’état solide, produite par congélation. Élihou comme Jéhovah Dieu attirèrent l’attention de Job sur cette merveille qu’est la glace. Le Tout-Puissant lui déclara : “ Du ventre de qui sort la glace [...] ? Les eaux se tiennent cachées comme sous une pierre et la surface de l’abîme d’eau devient compacte. ” (Jb 36:1 ; 37:10 ; 38:1, 29, 30). La formation de la glace, dont il est question ici, n’est possible que grâce à une propriété tout à fait exceptionnelle de l’eau. Au fur et à mesure que l’eau des lacs et des mers se refroidit, elle s’alourdit. En s’enfonçant, elle déplace l’eau plus chaude, donc plus légère, qui remonte à la surface. Mais quand l’ensemble de l’eau est à 4 °C, ce processus s’inverse. En effet, au moment où l’eau approche de son point de congélation, elle devient plus légère, si bien qu’elle flotte en couche au-dessus de l’eau plus chaude. Cette couche supérieure se transforme alors en glace ; elle “ devient compacte ”. Puisqu’elle est plus légère que les eaux au-dessous d’elle, la glace les maintient “ cachées comme sous une pierre ”, protégeant ainsi la vie aquatique. Sans ce phénomène, de nombreux lacs et même les océans finiraient par devenir des blocs de glace, si bien que la terre serait un endroit peu propice à la vie.

      Le psalmiste dit au sujet de Jéhovah qu’“ il jette sa glace comme des morceaux de pain ”. C’est là, semble-t-il, une allusion à la grêle ou au grésil. — Ps 147:17 ; voir GRÊLE.

      Le mot hébreu rendu par “ glace ” (qèraḥ) est aussi utilisé pour parler d’une température de congélation, ou une température plus basse, ainsi que du “ froid ”. — Jr 36:30.

  • Glaner, grappiller
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
    • GLANER, GRAPPILLER

      Glaner, c’est ramasser les produits du sol, principalement les céréales, laissés intentionnellement ou pas, par les moissonneurs. Grappiller se dit de la même action dans une vigne ou un verger. La Loi que Dieu donna aux Israélites spécifiait qu’ils ne devaient pas moissonner entièrement la lisière de leurs champs, repasser sur les branches de l’olivier après l’avoir gaulé ni cueillir ce qui restait dans leurs vignes après la vendange. Même si une gerbe de céréales avait été oubliée dans le champ, ils ne devaient pas revenir la chercher. Le glanage était un droit que Dieu donnait au pauvre du pays, à l’affligé, au résident étranger, à l’orphelin de père et à la veuve. — Lv 19:9, 10 ; Dt 24:19-21.

      Le récit de Ruth donne un excellent exemple de la mise en pratique de cette disposition pleine d’amour prévue par la loi divine. Bien qu’elle ait eu le droit de glaner, Ruth demanda néanmoins la permission de le faire à l’homme qui était préposé sur les moissonneurs, ce qui était peut-être la coutume des glaneurs. Ruth fut traitée avec bonté ; Boaz ordonna même à ses moissonneurs de tirer à son intention quelques épis des javelles et de les laisser pour qu’elle les glane. Cela facilita la tâche de Ruth, mais elle devait quand même faire des efforts. Elle glanait activement derrière les ouvriers de Boaz du matin jusqu’au soir, ne s’asseyant dans la maison qu’un court instant et pour manger. — Ru 2:5-7, 14-17.

      Manifestement, tout en encourageant la générosité, le désintéressement et la confiance en la bénédiction de Jéhovah, cette belle disposition envers les pauvres du pays n’encourageait nullement la paresse. Elle éclaire la déclaration suivante de David : “ Je n’ai pas vu le juste complètement abandonné, ni sa descendance cherchant du pain. ” (Ps 37:25). En profitant des dispositions prévues à leur égard par la Loi et grâce à leur dur travail, même les pauvres n’avaient pas faim, et ni eux ni leurs enfants n’avaient besoin de mendier leur pain.

      Aux sens figuré et métaphorique. Quand les Éphraïmites accusèrent Guidéôn de ne pas les avoir appelés au combat au début de la bataille contre Madiân, Guidéôn déclara : “ Les grappillages d’Éphraïm ne valent-ils pas mieux que la vendange d’Abiézer [la maison à laquelle appartenait Guidéôn] ? ” Il expliqua la métaphore en montrant que la capture des princes madianites Oreb et Zéeb par Éphraïm (bien que la tribu ait suivi la bataille initiale) était une contribution beaucoup plus importante que tout ce que Guidéôn lui-même avait accompli (Jg 8:1-3 ; 6:11). De même, les Écritures comparent la destruction des derniers combattants après le gros de la bataille à un ‘ grappillage ’. (Jg 20:44, 45.) Ceux qui restent après l’exécution d’un jugement de Jéhovah sont semblables au “ grappillage quand la vendange est achevée ”, et Mika parle du reste de l’héritage de Dieu au sein du peuple moralement corrompu comme du “ grappillage de

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