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    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
    • En 1 Thessaloniciens 2:7, Paul dit de ses compagnons et de lui-même : “ Nous sommes devenus doux au milieu de vous [les Thessaloniciens], comme lorsqu’une mère entoure de soins ses enfants qu’elle nourrit. ” C’était parce qu’ils éprouvaient un amour véritable pour ceux qu’ils enseignaient, et qu’ils se souciaient de leur croissance spirituelle (1Th 2:8). Le terme êpioï (traduit par “ doux ”) figure dans le Textus Receptus, chez C. Tischendorf, A. Merk et quelques manuscrits. Selon W. Vine, êpios “ était fréquemment utilisé par les auteurs grecs pour décrire l’attitude d’une nourrice envers des enfants difficiles, d’un enseignant envers des élèves récalcitrants ou de parents envers leurs enfants. En I Thess. 2:7, l’Apôtre emploie ce mot pour qualifier le comportement que lui et ses compagnons missionnaires avaient eu envers les convertis de Thessalonique ”. — Vine’s Expository Dictionary of Old and New Testament Words, 1981, vol. 2, p. 145.

      Cependant, en 1 Thessaloniciens 2:7, le texte grec de B. Wescott et F. Hort, ainsi que certains manuscrits, contiennent nêpioï, “ tout-petits ”. Voici ce qu’a fait remarquer The New International Dictionary of New Testament Theology à ce sujet : “ Il y a deux façons de traduire 1 Thess. 2:7 : a) êpioï (nous étions doux au milieu de vous) ; b) nêpioï (tout-petits). Le mot qui précède se termine par un n, et il semble raisonnable de penser que ce n a été répété fautivement par un copiste. En outre, l’interprétation de la seconde leçon pose des problèmes. Au v. 7b ce n’est pas lui-même mais les Thessaloniciens que Paul compare à des ‘ enfants ’ ; il s’assimilait, lui et ses compagnons, à une nourrice (trophos). ” — Par C. Brown, 1975, vol. 1, p. 282 ; voir aussi Commentaire du Nouveau Testament, Les deux épîtres de Saint Paul aux Thessaloniciens, par C. Masson, Neuchâtel, Paris, 1957, p. 28.

  • Douceur
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
    • Il faut de la force de caractère pour être doux avec les autres et pour les apaiser ou ménager leurs sentiments, particulièrement quand on est sous le coup de l’irritation. En 2 Samuel 18:5, c’est son amour paternel qui incita David, un homme de guerre, à ordonner à Yoab de ménager, c’est-à-dire de traiter avec douceur, Absalom, son fils rebelle. Le mot hébreu utilisé ici (ʼat) se rapporte à un mouvement lent ou doux. Bien que doux, l’apôtre Paul n’était pas faible : il était capable d’user de paroles très puissantes lorsque le besoin s’en faisait sentir, comme dans sa première et sa deuxième lettre à la congrégation chrétienne de Corinthe.

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