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SangÉtude perspicace des Écritures (volume 2)
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Dans le christianisme, le caractère sacré du sang fut souligné encore plus fortement. Il n’y avait plus à offrir du sang d’animaux, car ces sacrifices d’animaux n’étaient qu’une ombre de la réalité, Jésus Christ (Col 2:17 ; Hé 10:1-4, 8-10). En Israël, le grand prêtre apportait une part symbolique du sang dans le Très-Saint du sanctuaire terrestre (Lv 16:14). Jésus Christ, le vrai Grand Prêtre, entra dans le ciel même, non avec son sang, qui fut versé à terre (Jean 19:34), mais avec la valeur de sa vie humaine parfaite représentée par le sang. Il ne perdit jamais ce droit à la vie par le péché, mais le conserva afin qu’il puisse servir à la propitiation pour le péché (Hé 7:26 ; 8:3 ; 9:11, 12).
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SangÉtude perspicace des Écritures (volume 2)
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L’alliance de la Loi, qui sous un certain aspect enlevait les péchés de manière typique, fut validée par le sang d’animaux (Ex 24:5-8). Les nombreux sacrifices sanglants, particulièrement ceux qu’on offrait le jour des Propitiations, servaient à faire propitiation pour les péchés de manière typique, car ils annonçaient l’enlèvement réel du péché par le sacrifice de Christ. — Lv 16:11, 15-18.
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