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    • servirait (Zach. 9:9; Dan. 7:13). Les Juifs ne comprirent pas que ces prophéties se rapportaient à deux apparitions différentes du Messie, et ce à deux époques très éloignées l’une de l’autre.

      Les ouvrages juifs sont d’accord avec Luc 2:38 pour dire qu’à cette époque-​là le peuple attendait la délivrance de Jérusalem. Une encyclopédie juive fait cette remarque: “Ils [les Juifs] languissaient après le libérateur promis de la maison de David, libérateur qui les affranchirait du joug de l’usurpateur étranger tant exécré, qui mettrait fin à la domination romaine impie et qui établirait son propre règne de paix.” (The Jewish Encyclopedia, t. VIII, p. 508). Les Juifs cherchèrent à faire de Jésus un roi terrestre (Jean 6:15), mais quand il s’avéra qu’il ne répondait pas à leur attente, ils le rejetèrent.

      De faux messies

      Après la mort de Jésus, les Juifs suivirent de nombreux faux messies, conformément à ce que celui-ci avait annoncé (Mat. 24:5). “Selon Josèphe, il semble qu’au premier siècle, avant la destruction du Temple [en 70], un certain nombre de messies ont fait leur apparition en promettant l’affranchissement du joug romain, et ils ont apparemment trouvé des gens prêts à les suivre.” (The Jewish Encyclopedia, t. X, p. 251). Puis, en 132, Bar Kokba (Bar Koziba), un des plus importants faux messies, fut acclamé comme le messie-roi. Lorsqu’ils matèrent la révolte dirigée par cet homme, les soldats romains tuèrent des milliers de Juifs. Si l’apparition de ces faux messies indique que beaucoup de Juifs étaient surtout intéressés par un messie politique, cela montre aussi qu’ils attendaient avec raison un messie personnel, un individu, et non pas simplement une ère ou une nation messianique. Certains croyaient que Bar Kokba était un descendant de David, ce qui appuyait ses prétentions messianiques. Mais ce n’est là qu’une affirmation gratuite, car les registres généalogiques avaient été détruits en 70. Tout individu qui affichait après cette date des prétentions à la fonction de Messie était incapable de prouver qu’il appartenait effectivement à la famille de David. (Il fallait donc que le Messie paraisse avant l’an 70, ce qui fut le cas de Jésus, pour pouvoir démontrer qu’il était héritier de David. Cela indique bien que ceux qui attendent encore la venue du Messie sur la terre se fourvoient.) Au nombre des individus qui, après 70, affirmèrent être le Messie, citons Moïse de Crète, qui prétendit qu’il allait diviser la mer entre la Crète et la Palestine, ainsi que Serenus, qui égara de nombreux Juifs en Espagne. L’encyclopédie juive citée plus haut dresse une liste de vingt-huit faux messies qui seraient apparus entre 132 et 1744.

      JÉSUS AFFIRMA ÊTRE LE MESSIE ET FUT ACCEPTÉ COMME TEL

      Les événements historiques rapportés dans les Évangiles prouvent que Jésus était bel et bien le Messie. Des hommes qui, au premier siècle, ont pu interroger les témoins et examiner les faits ont jugé ceux-ci authentiques. Ils étaient à ce point convaincus de leur exactitude qu’ils étaient prêts à endurer la persécution et même à mourir pour leur foi qui était fondée sur ces renseignements sûrs. Les récits historiques de l’Évangile montrent que des personnes très différentes les unes des autres ont reconnu ouvertement que Jésus était le Christ ou Messie (Mat. 16:16; Jean 1:41, 45, 49; 11:27). Jésus ne leur a pas déclaré qu’elles se trompaient, et en une certaine occasion il a admis qu’il était bien le Christ (Mat. 16:17; Jean 4:25, 26). Parfois, Jésus ne disait pas expressément qu’il était le Messie ou il ordonnait même à ses auditeurs de ne pas le faire savoir (Marc 8:29, 30; 9:9; Jean 10:24, 25). Puisque Jésus se montra là où les gens pouvaient l’entendre et voir ses œuvres, il désirait qu’ils fondent leur croyance sur de telles preuves solides, sur la réalisation des Écritures hébraïques (Jean 5:36; 10:24, 25; voir Jean 4:41, 42). Aujourd’hui, nous disposons des Évangiles qui nous rapportent les paroles et les œuvres de Jésus, ainsi que des Écritures hébraïques, lesquelles fournissaient de nombreux renseignements sur ce que devait faire le Messie, ce qui permet à tous les humains de savoir et de croire que Jésus est effectivement le Messie. — Jean 20:31; voir JÉSUS CHRIST.

  • Mesures
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    • MESURES

      Voir POIDS ET MESURES.

  • Métaux
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    • MÉTAUX

      {Article non traduit.}

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    • MÉTHEG-AMMAH

      {Article non traduit.}

  • Méthuschaël
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    • MÉTHUSCHAËL

      {Article non traduit.}

  • Métuschélah
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    • MÉTUSCHÉLAH

      (peut-être “homme du dard”).

      Fils du fidèle prophète Hénoch; père de Lamech et grand-père de Noé (Gen. 5:21-29; I Chron. 1:1-4; Jude 14, 15). Descendant d’Adam par Seth, Métuschélah appartenait à la huitième génération humaine (Luc 3:37, 38). Il vécut 969 ans, la plus longue durée de vie que mentionne la Bible; aussi la longévité de Métuschélah est-​elle devenue proverbiale. Il mourut en 2370 avant notre ère, l’année où survint le déluge. Toutefois, les Écritures ne disent pas qu’il fut exécuté par Dieu lors du déluge, mais simplement qu’il “mourut”. — Gen. 5:27.

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    • MEULE DE MOULIN

      Voir MOULIN.

  • Méunim
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    • MÉUNIM

      {Article non traduit.}

  • Meurtre
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    • MEURTRE

      Dans la langue originale, les mots différemment rendus par assassiner et tuer désignent l’acte qui consiste à prendre une vie; le contexte ou d’autres passages des Écritures permettent de déterminer si la vie de la victime a été prise volontairement, de façon illicite. Par exemple, dans le commandement: “Tu ne dois pas assassiner” (Ex. 20:13), le mot hébreu rendu par “assassiner” (râtsaḥ, qui signifie littéralement “briser” ou “fracasser”) emporte ici nettement l’idée de tuer volontairement, de façon illicite. Par contre, en Nombres 35:27, le même terme fait référence à un acte que le vengeur du sang était pleinement en droit d’accomplir. Par conséquent, le commandement: “Tu ne dois pas assassiner” doit être placé dans le contexte de la loi mosaïque tout entière qui, dans certains cas, autorisait à ôter la vie humaine, pour exécuter des criminels par exemple.

      LES PREMIERS MEURTRES

      L’assassinat remonte pratiquement aux premiers temps de l’histoire humaine. Par sa désobéissance, Adam, le premier homme, a transmis le péché et la mort à sa descendance, devenant ainsi un meurtrier (Rom. 5:12; 6:23). C’est le Diable qui est à l’origine de la mort puisqu’il a incité Ève, la femme d’Adam, à

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