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Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
ad p. 900-902

LÉGISLATEUR

Personne qui fait les lois. Un nombre incalculable d’humains ont servi en qualité de législateurs, promulguant des lois pour les nations et pour les collectivités. Toutefois, la Bible met l’accent sur le fait que Jéhovah est le premier Législateur de l’univers.

JÉHOVAH, LE LÉGISLATEUR

En réalité, Jéhovah est le seul vrai Législateur de l’univers. On peut lui attribuer les lois physiques qui gouvernent la création matérielle, qu’il s’agisse des choses inanimées (Job 38:4-38; Ps. 104:5-19) ou des animaux (Job 39:1-30). Puisqu’il est, lui aussi, une création de Jéhovah, l’homme est soumis à ses lois physiques. De plus, étant donné sa nature morale et raisonnable, dotée de spiritualité, il est assujetti à des lois morales (Rom. 12:1; I Cor. 2:14-16). Les lois de Dieu gouvernent également les créatures spirituelles que sont les anges. — Ps. 103:20; II Pierre 2:4, 11.

Les lois physiques de Jéhovah sont infrangibles (Jér. 33:20, 21). Dans tout l’univers connu, ses lois sont si stables et si fiables que dans les domaines où elles leur sont connues les savants peuvent, entre autres choses, calculer le mouvement de la lune et des planètes à une fraction de seconde près. Celui qui enfreint les lois physiques en subit aussitôt les conséquences. De même, les lois morales de Dieu sont irrévocables et ne peuvent être contournées ou violées impunément. Elles s’appliquent aussi sûrement que ses lois naturelles, bien que la sanction ne soit pas toujours immédiate. “On ne se moque pas de Dieu. En effet, quoi que l’homme sème, c’est aussi ce qu’il moissonnera.” — Gal. 6:7; I Tim. 5:24.

Bien qu’à partir de la rébellion d’Adam jusqu’au déluge la méchanceté ait augmenté parmi les humains dans leur ensemble, quelques-uns furent fidèles et ‘marchèrent avec le vrai Dieu’. (Gen. 5:22-24; 6:9; Héb. 11:4-7.) Les seuls commandements divins précis donnés à ces hommes dont parle la Bible furent les instructions reçues par Noé au sujet de l’arche. Celui-ci s’y conforma scrupuleusement (Gen. 6:13-22). Cependant, il y avait des principes et des précédents pour guider ces humains et leur permettre de ‘marcher avec le vrai Dieu’.

Ils savaient que Dieu avait pourvu abondamment aux besoins de l’homme en Éden, prouvant par là sa générosité ainsi que l’intérêt plein d’amour qu’il portait aux humains. Ils n’ignoraient pas que le principe de l’autorité était en vigueur dès le commencement, Dieu étant le chef de l’homme et l’homme le chef de la femme. Ils connaissaient la tâche que Dieu avait assignée à l’homme et son désir de voir celui-ci entretenir convenablement les choses qu’il lui avait données pour son usage et pour son plaisir. Ils savaient qu’il ne devait y avoir de relations sexuelles qu’entre un homme et une femme et que ceux qui s’engageaient sur cette voie ne s’unissaient pas pour quelque temps seulement (comme dans le cas de la fornication), mais fondaient une famille, ‘quittant leur père et leur mère’ afin de former une union durable. Le commandement de Dieu relatif aux arbres du jardin d’Éden, et notamment à celui de la connaissance du bon et du mauvais, pouvait leur faire comprendre clairement le principe du droit de propriété et l’importance de le respecter. Ils se rendaient compte des tristes conséquences du premier mensonge. Ils savaient que Dieu avait approuvé le culte que lui vouait Abel, mais qu’il avait condamné l’envie et la haine de Caïn à l’égard de son frère et qu’il l’avait puni pour avoir tué ce dernier. — Gen. 1:26 à 4:16.

Par conséquent, même sans avoir reçu de Dieu d’autres déclarations, décrets ou statuts précis, ces hommes fidèles pouvaient se laisser guider par ces principes et ces précédents lorsqu’ils rencontraient des situations différentes mais du même ordre. C’est avec cette optique que, des siècles plus tard, Jésus et ses disciples considéraient les événements antérieurs au déluge (Mat. 19:3-9; Jean 8:43-47; I Tim. 2:11-14; I Jean 3:11, 12). Une loi est une règle de conduite. Les paroles et les actions de Dieu permettaient donc aux premiers humains d’apprendre un certain nombre de choses sur ses voies et ses normes, ce qui devait constituer la règle de conduite ou loi à laquelle il leur fallait se conformer. Ce faisant, ils pouvaient ‘marcher avec le vrai Dieu’. Ceux qui agissaient autrement péchaient, ils “manquaient le but”, même s’il n’y avait pas de code de lois pour les condamner.

Après le déluge, Dieu donna à Noé une loi, valable pour tous les humains, qui autorisait la consommation de viande, mais interdisait de manger le sang, établissant en même temps le principe de la peine capitale pour le meurtre (Gen. 9:1-6). Au tout début de la période qui suivit le déluge, des hommes comme Abraham, Isaac, Jacob et Joseph montrèrent qu’ils désiraient sincèrement suivre les voies de Dieu, ses règles de conduite (Gen. 18:17-19; 39:7-9; Ex. 3:6). Bien que Jéhovah ait donné certains commandements précis aux hommes fidèles (Gen. 26:5), par exemple la loi sur la circoncision, il n’est dit nulle part qu’il leur communiqua un code de lois détaillé à observer (voir Deutéronome 5:1-3). Cependant, outre les principes et les préceptes établis avant le déluge, ces hommes avaient pour les guider d’autres principes et préceptes, lesquels étaient tirés des déclarations de Dieu et de ses manières d’agir envers l’humanité après le déluge.

Ainsi, bien que Dieu ne leur ait pas donné un code de lois détaillé, comme il le fit plus tard pour les Israélites, les hommes avaient les moyens de déterminer si telle ou telle conduite était bonne ou mauvaise. Par exemple, aucune loi explicite ne condamnait l’idolâtrie. Cependant, comme le montre l’apôtre Paul, une telle pratique était inexcusable, car les “qualités invisibles [de Dieu] se voient distinctement depuis la création du monde, car elles sont perçues par l’intelligence grâce aux choses qui ont été faites, oui, sa puissance éternelle et sa divinité”. Vénérer et servir “par un service sacré la création plutôt que Celui qui a créé” défiait le bon sens. Ceux qui perdaient ainsi tout jugement allaient ensuite dévier vers d’autres pratiques mauvaises, telles que l’homosexualité, changeant “l’usage naturel de leur corps en celui qui est contre nature”. Là encore, bien qu’aucune loi précise n’ait été donnée à ce sujet, une telle pratique allait de toute évidence à l’encontre des voies de Dieu le Créateur, comme le montre clairement la constitution de l’homme et de la femme. Ayant été fait originellement à l’image de Dieu, l’homme avait assez d’intelligence pour comprendre ces choses. Par conséquent, il était responsable devant Dieu s’il agissait contrairement aux voies divines. Il péchait, ou “manquait le but”, même si aucune loi explicite ne le déclarait coupable. — Rom. 1:18-27; voir 5:13.

L’alliance de la Loi

Même avant l’exode hors d’Égypte, Jéhovah avait déjà agi en qualité de Législateur pour son peuple, Israël (Ex. 12:1, 14-20; 13:10). Mais en instituant l’alliance de la Loi, il donna un exemple remarquable de son rôle de Législateur d’une nation. Il s’agissait ici, pour la première fois, d’un ensemble de lois codifiées touchant tous les aspects de la vie. Cette alliance, qui faisait d’Israël un peuple à part, la propriété spéciale de Dieu, distinguait cette nation de toutes les autres. — Ex. 31:16, 17; Deut. 4:8; Ps. 78:5; 147:19, 20.

Dans un message prophétique qui annonçait le salut grâce à Jéhovah, Ésaïe déclara: “Jéhovah est notre Juge, Jéhovah est notre Législateur, Jéhovah est notre Roi; lui, nous sauvera.” (És. 33:22). Jéhovah détenait donc les pouvoirs judiciaire, législatif et exécutif en Israël; il réunissait en lui les trois branches du gouvernement. Par conséquent, la prophétie d’Ésaïe garantissait que la nation jouirait d’une défense et d’une direction parfaites, car elle soulignait le fait que Jéhovah exerçait pleinement le pouvoir souverain.

Dieu n’avait donné une telle loi détaillée à aucun autre peuple ou nation. Cependant, à l’origine, il avait créé l’homme droit et l’avait doté d’une conscience. En dépit de l’imperfection inhérente à l’homme déchu et de sa tendance pécheresse, il reste des signes évidents qu’il a été fait à l’image et à la ressemblance de son Créateur et qu’il possède cette faculté qu’est la conscience. Même les nations non israélites instituèrent des règles de conduite et des ordonnances judiciaires qui reflétaient dans une certaine mesure les justes principes de Dieu (Rom. 2:12-15). Ainsi, bien que n’ayant pas avec Dieu des relations définies par des lois, ces nations n’étaient pas pour autant sans péché, car elles “manquaient le but” que sont les normes parfaites de Jéhovah. — Voir Romains 3:9.

D’AUTRES “LÉGISLATEURS”

Quand le Fils de Dieu vint sur la terre, il reconnut Jéhovah comme son Législateur et Dieu. En tant que Juif, Jésus était né sous l’alliance de la Loi qu’il était tenu d’observer parfaitement (Gal. 4:4, 5). Lui-​même, à son tour, établit des lois pour ses disciples, soit directement par ses paroles, soit par l’intermédiaire de ses disciples qui, sous l’inspiration, rédigèrent les Écritures chrétiennes. C’est ce qu’on appelle “la loi du Christ”. (Gal. 6:2; Jean 15:10-15; I Cor. 9:21.) Cette loi gouverne “l’Israël de Dieu”, sa “nation” spirituelle (Gal. 6:16; I Pierre 2:9). Christ, cependant, n’était pas l’auteur de ces lois; il les avait reçues de Jéhovah, le Législateur suprême. — Jean 14:10.

Moïse

Bien que la Bible mentionne fréquemment “la loi de Moïse” (Josué 8:31, 32; I Rois 2:3; II Chron. 23:18; 30:16), elle reconnaît aussi que Jéhovah est le véritable Législateur et que Moïse n’était que l’instrument et le représentant de Dieu lorsqu’il donna la Loi à Israël (II Chron. 34:14). Même des anges ont également représenté Dieu en cette circonstance, car la Loi “a été transmise par des anges, par la main d’un médiateur”. Toutefois, puisque Jéhovah désigna Moïse pour être le médiateur de l’alliance qu’il conclut avec Israël, les Écritures parlent du patriarche comme du législateur pour cette nation. — Gal. 3:19; Héb. 2:2.

Les dirigeants humains

Dieu n’a pas établi les gouvernements humains du monde et ce n’est pas de lui non plus qu’ils tiennent leur autorité, mais il leur a permis d’exister. D’autre part, il en a renversé quelques-uns et il en a laissé d’autres accéder au pouvoir dans la mesure où cela servait son dessein (Deut. 32:8; Dan. 4:35; 5:26-31; Actes 17:26; Rom. 13:1). Certains de ces dirigeants exercent la fonction de législateurs pour la nation, l’État ou la collectivité qu’ils administrent. Mais leurs lois et leurs décrets ne sont bons que s’ils sont promulgués dans le cadre de la loi du grand Législateur, Jéhovah Dieu, et en harmonie avec elle. Sir William Blackstone, célèbre juriste britannique, déclara au sujet de la loi divine régissant la nature: “Elle est exécutoire sur toute la terre, dans tous les pays et en tout temps; aucune loi humaine n’est valide si elle est contraire à celle-ci. Les lois qui sont valides tirent leur force et toute leur autorité médiatement ou immédiatement de cette loi originelle.” Il dit également: “Sur ces deux fondements, la loi de la nature et la loi de la révélation [qu’on ne trouve que dans les Saintes Écritures], reposent toutes les lois humaines, c’est-à-dire qu’on ne devrait permettre à aucune loi humaine de contredire celles-là.” — Cyclopedia of Law, Chadman, t. I, pp. 89-91; voir Matthieu 22:21; Actes 5:29.

Dans la congrégation chrétienne

S’adressant à certains chrétiens qui avaient tendance à être orgueilleux, à se vanter et à critiquer leurs frères dans la foi, Jacques, demi-frère de Jésus, écrivit: “Ne parlez plus les uns contre les autres, frères. Celui qui parle contre un frère ou juge son frère parle contre la loi et juge la loi. Or si tu juges la loi, tu es non pas une personne qui pratique la loi, mais un juge. Un seul est législateur et juge: celui qui peut sauver et détruire. Mais toi, qui es-​tu pour juger ton prochain?” Il parle ensuite de ceux qui se glorifient de ce qu’ils vont faire dans l’avenir, comme s’ils ne dépendaient pas des circonstances, alors qu’ils devraient dire: “Si Jéhovah le veut.” (Jacq. 4:11-16). Au début de sa lettre, Jacques avait parlé de “la loi royale”, savoir: “Tu dois aimer ton prochain comme toi-​même.” (Jacq. 2:8). De fait, en critiquant leur prochain au lieu de lui témoigner de l’amour, ces chrétiens se posaient en juges de la loi divine, autrement dit, en législateurs.

Dans sa lettre aux Romains, l’apôtre Paul avait donné un conseil semblable à certains chrétiens qui jugeaient les autres d’après, notamment, ce qu’ils mangeaient et buvaient: “Qui es-​tu pour juger le domestique d’autrui? C’est devant son propre maître qu’il se tient debout ou qu’il tombe. Oui, il sera tenu debout, car Jéhovah peut le faire tenir debout.” — Rom. 14:4.

À la lumière de ce qui précède, comment donc faut-​il considérer les conseils que Paul donna concernant un cas de fornication très grave dans la congrégation de Corinthe? Il dit: “Moi, absent de corps mais présent d’esprit, assurément j’ai déjà jugé, comme si j’étais présent, l’homme qui a agi ainsi. (...) Ceux du dedans, n’est-​ce pas vous qui les jugez, tandis que Dieu juge ceux du dehors? ‘Ôtez le méchant du milieu de vous.’” Il parle ensuite de rendre des jugements sur des affaires de cette vie et d’hommes établis comme juges dans la congrégation. — I Cor. 5:1-3, 12, 13; 6:3, 4; voir Jean 7:24.

Paul, qui avait été investi de l’autorité en qualité d’apôtre de Jésus Christ et qui était responsable de la pureté et de la santé des congrégations (II Cor. 1:1; 11:28), écrivait à des chrétiens désignés par le collège central pour exercer une certaine autorité (Actes 14:23; 16:4, 5; I Tim. 3:1-13; 5:22). Ceux-ci avaient la responsabilité de garder la congrégation approuvée et pure aux yeux de Dieu. En jugeant le cas mentionné plus haut, lequel était une violation flagrante de la loi de Dieu, ces hommes ne se constituaient pas eux-​mêmes juges de la loi de Dieu et ils n’établissaient pas non plus leurs propres lois. Ils n’outrepassaient pas les limites des lois données par Dieu, mais ils agissaient au contraire en harmonie avec les décrets du grand Législateur, qui déclaraient la fornication impure. Selon la loi divine, ceux qui pratiquaient une telle chose ne pouvaient entrer dans le Royaume de Dieu (I Cor. 6:9, 10). Ils n’étaient pas dignes de continuer à s’associer à la congrégation du Christ. Toutefois, même dans un tel cas, ceux qui avaient la responsabilité de préserver la pureté de la congrégation en excluant les éléments impurs n’appliquaient pas la sentence, c’est-à-dire la peine de mort, que Dieu, le Législateur, exécuterait lui-​même sur ceux qui ne se repentiraient pas mais continueraient à marcher dans cette voie. — Rom. 1:24-27, 32.

Paul fait aussi remarquer aux chrétiens que “les saints jugeront le monde” et ‘qu’ils jugeront des anges’. Ces paroles ne concernent pas notre époque, mais celle à venir durant laquelle les chrétiens qui régneront avec Christ siégeront en tant que juges célestes pour administrer la loi de Dieu. — I Cor. 6:1-3; Rév. 20:6; voir I Corinthiens 4:8.

La bénédiction de Moïse sur Gad

Lorsque Moïse bénit les tribus d’Israël juste avant de mourir, “au sujet de Gad, il dit: ‘Béni est celui qui étend les frontières de Gad! (...) Et il [Gad] choisira pour lui la première partie, car là est réservée une part de législateur.’” (Deut. 33:20, 21). On pourrait expliquer l’emploi, ici, du mot “législateur” de la façon suivante: La plupart reçurent leur héritage sous la forme de lots qui leur furent attribués sous la direction de Josué et d’Éléazar, le grand prêtre. Toutefois, la tribu de Gad, comme celle de Ruben, avait demandé un territoire à l’est du Jourdain, peu après la défaite des Madianites. Le pays convenait parfaitement à l’élevage du bétail dont ces tribus possédaient de grands troupeaux. Moïse agréa leur requête et leur donna cette portion de territoire (Nomb. 32:1-5, 20-22, 28). Ainsi, leur lot était “une part de législateur”, c’est-à-dire accordée par Moïse, le législateur d’Israël.

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