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  • Éphésiens (Lettre aux)
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • A. La façon dont Dieu agit envers ceux qu’il adopte comme fils (1:1-12).

      B. L’esprit saint, gage de leur héritage avec le Christ comme membres de son corps (1:13-23).

      C. La miséricorde et l’amour que Dieu manifeste, relativement au Christ, envers ceux qui étaient autrefois morts dans leurs fautes et dans leurs péchés (2:1-7).

      1. Ils sont sauvés grâce à la faveur imméritée au moyen de la foi et non des œuvres (2:8-10).

      2. Les Gentils, qui étaient autrefois sans Dieu et sans espérance, sont réconciliés avec Dieu par l’entremise de Christ (2:11-13).

      3. La Loi, qui formait une barrière entre les Juifs et les Gentils, est abolie; les deux peuples deviennent un en union avec Christ (2:14-18).

      4. Les Gentils deviennent cohéritiers du Christ et membres de son corps ou congrégation, “temple saint pour Jéhovah”. (2:19 à 3:7.)

      D. La façon dont Dieu agit envers la congrégation révèle sa sagesse, même à ceux qui sont dans les lieux célestes (3:8-13).

      E. Paul prie pour que les Éphésiens acquièrent une connaissance plus profonde des dispositions divines par l’entremise de Christ (3:14-21).

      F. Dieu fournit tout ce qui est nécessaire à l’unité en Christ (4:1-16).

      1. Un seul esprit, une seule espérance, une seule foi, un seul baptême, un seul corps soumis à un seul Seigneur et à un seul Dieu et Père (4:1-6).

      2. Les dons en hommes: résultat de l’ascension du Christ (4:7-16).

      a. Pour former les chrétiens afin qu’ils acquièrent la maturité et la stabilité (4:11-14).

      b. Pour leur croissance et pour leur édification (4:12, 15, 16).

      II. La personnalité nouvelle (4:17 à 5:20).

      A. Suivre l’exemple du Christ et non des nations (4:17-21).

      B. Être renouvelé dans la force qui incline l’esprit et revêtir la personnalité nouvelle (4:23, 24).

      1. Pratiquer la maîtrise de soi, l’honnêteté, la générosité, la vérité, avoir des paroles édifiantes; agir en harmonie avec l’esprit de Dieu (4:25-30).

      2. Ôter la malice, la colère, les cris et les injures; les remplacer par la bonté et par la miséricorde (4:31, 32).

      3. Imiter Dieu; suivre le Christ (5:1, 2).

      4. Être pur dans ses mœurs et dans ses paroles (5:3-5).

      5. Se tenir éveillé pour distinguer les œuvres des ténèbres; censurer ceux qui font le mal en marchant dans la lumière (5:6-14).

      6. Prendre bien garde à sa conduite; racheter le temps en l’utilisant pour louer Jéhovah (5:15-20).

      III. La soumission convenable (5:21 à 6:9).

      A. Les relations entre mari et femme, semblables à celles qui unissent le Christ et la congrégation (5:21-33).

      B. Les relations entre parents et enfants (6:1-4).

      C. Les relations entre maîtres et serviteurs (6:5-9).

      IV. Le combat du chrétien, non contre les hommes, mais contre les esprits mauvais (6:10-17).

      A. Revêtir l’armure spirituelle (6:10-17).

      B. Se tenir éveillé pour faire toutes sortes de prières en toute occasion, en se souvenant des autres saints, y compris de Paul (6:18-24).

      Voir le livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”, pp. 207-210.

  • Éphlal
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • ÉPHLAL

      {Article non traduit.}

  • Éphod
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • ÉPHOD

      Vêtement sacerdotal. L’éphod spécial que portait le grand prêtre est décrit en détail dans les instructions que Dieu donna à Moïse. C’était apparemment une sorte de tablier fait “d’or, de fil bleu, et de laine teinte avec de la pourpre d’un violet rougeâtre, d’écarlate de cochenille, et de fin lin retors: œuvre de brodeur”. Il consistait en deux pans, l’un recouvrant la poitrine, l’autre le dos, pans qui étaient liés ensemble sur les épaules. “Sur” l’éphod se trouvait une ceinture du même tissu qui était peut-être attachée et qui l’assujettissait à la taille. Sur chacune des deux pierres d’onyx qui ornaient les épaulières étaient gravés les noms de six fils d’Israël. Le pectoral était suspendu à deux montures d’or fixées aux épaulières par des chaînes d’or en forme de cordes. Un cordonnet bleu partait des angles inférieurs du pectoral et passait par deux anneaux d’or fixés à l’éphod, juste au-dessus de la ceinture. Il semble que l’éphod descendait un peu au-dessous de la taille, mais peut-être pas jusqu’aux genoux. — Ex. 28:6-14, 22-28.

      Le grand prêtre revêtait l’éphod sur la tunique sans manches bleue appelée “tunique (...) de l’éphod”, portée elle-​même par-dessus la tunique de lin (Ex. 29:5). Il ne portait pas cet éphod en toute occasion. Quand il devait interroger Jéhovah sur des questions importantes pour la nation, il revêtait l’éphod et le pectoral qui contenait l’Urim et le Thummim (Nomb. 27:21; I Sam. 28:6; Esdras 2:63). Chaque année, le jour des Propitiations, après avoir présenté les offrandes pour le péché, le grand prêtre se lavait et changeait de vêtements. Il enlevait ses habits d’un blanc pur et revêtait apparemment sa tenue magnifique, y compris l’éphod, avant d’offrir les holocaustes. — Lév. 16:23-25.

      L’éphod qu’Abiathar, le prêtre, transporta du sanctuaire de Nob au camp de David était probablement celui du grand prêtre, puisque Doëg avait tué son père Ahimélech, qui remplissait cette fonction, ainsi que les sous-prêtres (I Sam. 22:16-20). Par conséquent, lorsque David demanda à Abiathar d’approcher l’éphod pour interroger Jéhovah sur la voie qu’il devait suivre, il s’agissait peut-être de l’éphod du grand prêtre. — I Sam. 23:9-12; 30:7, 8.

      LES ÉPHODS DES SOUS-PRÊTRES

      Les sous-prêtre portaient eux aussi des éphods, bien que seul celui du grand prêtre soit mentionné et décrit de façon précise dans les instructions de Jéhovah relatives à la confection des vêtements sacerdotaux. Il semble que les sous-prêtres n’adoptèrent l’éphod qu’ultérieurement, et, de toute évidence, ils le portaient surtout comme marque de leurs fonctions sacerdotales, et non parce que la Loi en aurait prescrit l’usage dans leur service officiel.

      L’ÉPHOD DE GÉDÉON

      Après avoir vaincu les Madianites, Gédéon utilisa l’or du butin pour confectionner un éphod (Juges 8:26, 27). Certains contestent cette déclaration sous prétexte qu’il fallait beaucoup moins de 1 700 sicles d’or pour fabriquer un éphod. On a prétendu, en guise d’explication, que Gédéon avait également fait une image d’or. Toutefois le mot “éphod” ne désigne pas une image. D’autre part, Gédéon, qui exerçait la foi en Dieu, n’aurait jamais agi comme Jéroboam, qui amena plus tard les dix tribus d’Israël à adorer des représentations de veaux. Gédéon avait montré qu’elle était son attitude envers le culte de Jéhovah quand on lui donna l’occasion de fonder une dynastie royale en Israël. Il déclina l’offre en ces termes: “C’est Jéhovah qui dominera sur vous.” (Juges 8:22, 23). La plus grande partie de l’or servit peut-être à payer les bijoux et autres articles qui ont pu entrer dans la confection de l’éphod. Le coût de cet éphod a bien pu s’élever à la somme mentionnée, surtout s’il était orné de pierres précieuses.

      En dépit de l’intention louable de Gédéon, qui souhaitait commémorer ainsi la victoire que Jéhovah avait donnée à Israël et honorer Dieu, l’éphod “servit de piège pour Gédéon et pour sa maisonnée” parce que les Israélites commirent l’immoralité spirituelle en l’adorant (Juges 8:27). Toutefois, la Bible ne dit pas que Gédéon lui-​même l’adora; au contraire, l’apôtre Paul fait figurer son nom dans la liste de la “grande nuée” des fidèles témoins de Jéhovah des temps qui ont précédé le christianisme. — Héb. 11:32; 12:1.

      UTILISATION IDOLÂTRIQUE

      Les chapitres 17 et 18 des Juges rapportent un cas où l’on utilisa un éphod dans un culte idolâtrique. Cet éphod fabriqué par un Éphraïmite, fut porté tout d’abord par l’un de ses fils qui servait comme prêtre devant une image taillée, puis par un Lévite descendant de Moïse qui exerçait les fonctions de prêtre, sans être toutefois de la famille sacerdotale d’Aaron. Finalement, l’éphod et l’image tombèrent aux mains d’hommes de la tribu de Dan. Le Lévite les suivit et continua d’accomplir son service idolâtrique dans la ville de Dan, ainsi que ses fils après lui, tous les jours où la maison de Dieu fut à Siloh.

  • Éphod, II
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    • ÉPHOD, II

      {Article non traduit.}

  • Ephphatha
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    • EPHPHATHA

      {Article non traduit.}

  • Éphraïm
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    • ÉPHRAÏM

      (“doublement fécond” ou “pays de fruits”).

      1. Fils de Joseph et de sa femme Asénath, fille de Potiphéra, prêtre d’On. Éphraïm, frère cadet de Manassé, naquit en Égypte avant le début de la famine, qui allait durer sept ans. Son père l’appela Éphraïm, “car — on le cite [Joseph] — ‘Dieu m’a rendu fécond au pays de ma misère’”. — Gen. 41:50-52.

      Sur son lit de mort, Jacob adopta de fait ses deux petit-fils Éphraïm et Manassé et les mit au même rang que ses propres fils (Gen. 48:5). Parmi les fils de Jacob, le droit de premier-né échut à Joseph, leur père; celui-ci reçut donc deux part de l’héritage de Jacob par le moyen des lots attribués aux tribus d’Éphraïm et de Manassé (I Chron. 5:1; comparez avec Genèse 48:21, 22; Deutéronome 21:17; Josué 14:4). Lorsqu’il bénit Éphraïm et Manassé, le patriarche Jacob donna la préférence à Éphraïm et prophétisa qu’il deviendrait plus grand que son frère. — Gen. 48:13-20.

      En I Chroniques 7:20-27, nous trouvons la liste généalogique des fils d’Éphraïm et de ses descendants jusqu’à Josué, l’homme qui fit entrer les Israélites en Terre promise. On a avancé plusieurs interprétations des renseignements historiques consignés dans ce passage. Selon beaucoup de commentateurs, Ézer et Éléad étaient les fils d’Éphraïm qui furent tués par les hommes de Gath. Dans ce cas, l’événement aurait probablement eu lieu entre la mort de Joseph et le commencement de l’oppression égyptienne. On peut comprendre, soit qu’Ézer et Éléad allèrent en Canaan pour s’emparer des bestiaux des hommes de Gath, soit que ces derniers furent les agresseurs. Peut-être Ézer et Éléad ont-​ils été tués alors qu’ils tentaient de s’opposer au vol de leurs bestiaux. Peu de temps après la mort de ses fils, Éphraïm devint père de Bériah.

      2. Le nom Éphraïm désigne aussi la tribu issue de ce patriarche. Environ un an après l’exode, les 40 500 combattants d’Éphraïm âgés de vingt ans et plus dépassaient de 8 300 le nombre des hommes valides recensés dans la tribu de Manassé (Nomb. 1:1-3, 32-35). Toutefois, après les quarante ans passés dans le désert, Éphraïm ne comptait plus que 32 500 mâles, soit 20 200 de moins que Manassé (Nomb. 26:34, 37). Néanmoins, Éphraïm était destiné à devenir le plus grand. C’est pourquoi, lorsqu’il bénit les Israélites, Moïse décrivit prophétiquement les “dizaines de milliers d’Éphraïm, mais seulement les “milliers de Manassé”. — Deut. 33:17.

      Dans le désert, les Éphraïmites, qui avaient Élischama pour chef, campaient à l’ouest du tabernacle, avec les tribus de Manassé et de Benjamin. Ce groupe de trois tribus venait en troisième position dans l’ordre de marche. — Nomb. 2:18-24.

      LE TERRITOIRE DE LA TRIBU

      Le territoire attribué à Éphraïm occupait la partie centrale de la Palestine, à l’ouest du Jourdain. La tribu avait aussi des villes-enclaves dans le territoire de Manassé. Éphraïm était limité au nord par Manassé et au sud par Benjamin et Dan (Josué 16:1-9). Bien que montagneuse et accidentée, cette région, très boisée à l’époque, jouit encore d’un sol riche et fertile (Josué 17:15, 17, 18). Selon la décision divine, le chef Kémuel représentait Éphraïm lors du partage de la Terre promise. — Nomb. 34:18, 24.

      Outre Sichem, ville de refuge, plusieurs autres villes des Lévites étaient situées dans le territoire d’Éphraïm (Josué 21:20-22; I Chron. 6:66-69). En ce qui concerne Guézer, l’une d’entre elles, les Éphraïmites n’en expulsèrent pas les Cananéens, mais ils les assujettirent au travail forcé d’esclave (Josué 16:10; Juges 1:29). C’est également en Éphraïm, à Siloh, qu’on établit le tabernacle. — Josué 18:1.

      HISTOIRE D’ÉPHRAÏM DEPUIS JOSUÉ JUSQU’À DAVID

      Le territoire d’Éphraïm fut la scène de nombreux événements importants. Le successeur de Moïse, l’Éphraïmite Josué, rassembla les tribus d’Israël à Sichem pour les exhorter à servir fidèlement Jéhovah (Josué 24:1, 14, 15). C’est également à Sichem que l’on enterra les ossements de Joseph. Josué et Éléazar, fils d’Aaron, furent tous deux enterrés dans la région montagneuse d’Éphraïm (Josué 24:29-33). Plus tard, c’est dans cette même région qu’Éhud, un juge benjaminite, rassembla les Israélites pour combattre les Moabites (Juges 3:26-30). Après la mort d’Éhud, la

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