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Un signe que les astronautes n’ont pas vuLa Tour de Garde 1967 | 15 août
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toutes les preuves de son existence, de sa puissance et de sa majesté, qui ne reconnaissent pas sa bonté à l’égard de ses créatures et les nombreuses dispositions qu’il a prises pour leur bien-être et leur bonheur. La bonté de Dieu va même si loin qu’actuellement il fait retentir un avertissement concernant les fléaux qu’il déverse sur ses ennemis. Prêtez attention à cela et évitez ainsi de subir l’expression de la colère de Dieu. Dans la suite de notre étude du livre de la Révélation, nous verrons que les fléaux sont répandus par des anges, qui sont des créatures invisibles à l’œil humain et d’une puissance supérieure à celle de l’homme. Nous attendrons avec impatience les articles suivants qui nous montreront comment les anges contribuent à déverser les fléaux et nous feront connaître les effets de ceux-ci.
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Le juge Jephthé et son vœuLa Tour de Garde 1967 | 15 août
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Le juge Jephthé et son vœu
JEPHTHÉ, général et juge, vécut à la fin de la période pendant laquelle les juges gouvernaient l’antique nation d’Israël. À cause d’un vœu qu’il formula et qui influa sur le cours de l’existence de sa fille, Jephthé et son enfant sont devenus des sujets de prédilection pour les écrivains, les poètes et les compositeurs. Du seizième siècle à la présente décade, ils ont constitué le thème de plus de 300 poèmes, drames et romans, et plus de 170 compositions musicales parmi lesquelles 100 oratorios, dont un de Hændel.
Comme pour de nombreux autres sujets bibliques, les opinions varient beaucoup sur le juge Jephthé, son vœu et ce qui est arrivé à sa fille. La bonne compréhension de ces questions se révélera très instructive et édifiante pour la foi.
Jephthé vécut à une époque où les Israélites avaient une fois de plus abandonné le culte pur de Jéhovah Dieu, et ce dernier avait permis à leurs ennemis, cette fois-ci les Ammonites, de les opprimer pendant dix-huit ans. Comme le juge Gédéon, Jephthé était connu comme “un fort et vaillant homme”. Son père portait un nom honorable : Galaad, mais sa mère avait été une prostituée. Selon toute vraisemblance, Galaad l’avait épousée quand elle s’était trouvée enceinte, faisant ainsi d’elle son épouse légitime. Sans cela, Jephthé aurait été un fils illégitime, et en tant que tel, l’entrée dans la congrégation d’Israël, sans parler de la judicature, lui aurait été refusée. — Juges 11:1, Da ; Deut. 23:2.
Galaad, père de Jephthé, eut une autre femme qui lui enfanta un certain nombre de fils. Ceux-ci prirent sur eux de chasser Jephthé, sans doute après la mort de leur père et très probablement pour l’empêcher de recevoir la double portion d’héritage qui revenait au premier-né. Ils dirent pour s’excuser : “Tu es fils d’une autre femme.” — Juges 11:2.
“Et Jephthé s’enfuit loin de ses frères, et il habita dans le pays de Tob”, situé en dehors du territoire d’Israël. Un certain
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