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    • et la seconde de Psautier gallican, en raison de leur adoption d’abord à Rome puis en Gaule. Jérôme a également traduit les Psaumes directement de l’hébreu, le texte ayant reçu le nom de Psautier hébraïque. On ne peut dire avec exactitude à quel moment il a achevé sa révision de la Vieille version latine des Écritures chrétiennes. Il se mit à réviser les Écritures hébraïques, mais il semble qu’il n’ait jamais achevé cette révision, préférant traduire directement de l’hébreu (bien qu’il se fût également référé à des versions grecques). Jérôme travailla à sa traduction latine à partir de l’hébreu de 390 à 405 de notre ère.

      La version de Jérôme souleva d’abord de l’opposition et ce n’est que petit à petit qu’elle gagna l’approbation du grand nombre. L’Europe occidentale l’ayant généralement acceptée par la suite, elle en vint à être appelée Vulgate, autrement dit version communément reçue (du latin vulgatus qui signifie “commun, ce qui est populaire”). La traduction originale de Jérôme subit des révisions, et l’Église catholique romaine adopta finalement l’édition de 1592 comme version officielle. Des milliers de manuscrits de la Vulgate existent encore aujourd’hui.

      Autres versions anciennes

      À mesure que se répandait le christianisme, d’autres versions s’avérèrent nécessaires. Vers le IIIe siècle au plus tard, la première traduction des Écritures grecques chrétiennes avait été faite pour les coptes natifs d’Égypte. Différents dialectes coptes étaient en usage en Égypte, et avec le temps on fit plusieurs versions coptes. Les plus importantes sont la version thébaïque ou sahidique de la Haute-Égypte (au sud) et la version bohaïrique de la Basse-Égypte (au nord). Toutes deux comprennent les Écritures hébraïques et grecques; elles datent probablement des IIIe et IVe siècles de notre ère.

      La version gothique fut faite pour les Goths au IVe siècle de notre ère, alors qu’ils étaient établis en Mésie (Serbie et Bulgarie). Il y manque les livres de Samuel et des Rois; l’évêque Ulfilas, qui fit la traduction, les aurait supprimés, dit-​on, parce qu’il estimait dangereux d’y inclure, pour l’usage des Goths, des livres qui parlent de guerre et dénoncent l’idolâtrie.

      La version arménienne de la Bible date des IVe et Ve siècles de notre ère, et elle a probablement été préparée à partir des textes grec et syriaque. La version géorgienne, faite pour les Géorgiens du Caucase, a été achevée vers la fin du VIe siècle de notre ère et, bien qu’elle trahisse l’influence grecque, elle a néanmoins un fondement arménien et syriaque. La version éthiopienne, utilisée par les Abyssins, date peut-être du IVe ou du Ve siècle de notre ère. Il existe plusieurs versions arabes anciennes des Écritures. Des traductions arabes de portions de la Bible remontent peut-être jusqu’au VIIe siècle de notre ère, mais la plus ancienne dont on a retrouvé la trace est une version faite en Espagne en 724. La version slave a été composée au IXe siècle de notre ère et elle a été attribuée à deux frères, Cyrille et Méthode.

      Pour d’autres détails, voir MANUSCRITS DE LA BIBLE; le livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”, pages 290 à 324.

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    • VERT

      {Article non traduit.}

  • Vésicule biliaire
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    • VÉSICULE BILIAIRE

      Voir FIEL.

  • Vêtement
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    • VÊTEMENT

      Mis à part la mention ou la description qu’en fait la Bible, on possède peu de renseignements historiques sur les vêtements des Hébreux, beaucoup moins que sur ceux des Égyptiens et des Assyriens. Cela tient au fait que la nation d’Israël n’a ni érigé de monuments ni gravé d’inscriptions dans le but de célébrer ses victoires militaires, monuments comportant des représentations de personnages qui auraient donné une idée du style de vêtements portés dans le pays. De nombreux bas-reliefs égyptiens, assyriens et d’autres nations illustrent l’habillement de leurs peuples respectifs, et quelques-uns représentent des captifs de différentes nationalités. Parmi ces derniers il y aurait des Hébreux, mais cela ne peut être prouvé. Il semble néanmoins raisonnable de dire que certains vêtements portés aujourd’hui dans beaucoup de régions des pays bibliques sont assez semblables à ceux qui étaient en usage autrefois, étant donné que ces vêtements ont la même fonction et que certaines coutumes sont demeurées inchangées depuis des siècles. Toutefois, les découvertes archéologiques semblent démontrer que les Hébreux utilisaient des étoffes beaucoup plus colorées que celles qu’emploient les bédouins arabes des temps modernes. En outre, les vêtements portés par les Juifs d’aujourd’hui et par d’autres habitants de ces pays ont souvent été fortement influencés par la religion et les coutumes grecques, romaines et occidentales, de sorte qu’une comparaison ne nous donne, au mieux, qu’une idée générale.

      LES DIFFÉRENTS VÊTEMENTS

      Pour désigner un vêtement, le terme le plus souvent utilisé dans les Écritures hébraïques est bèghèdh. D’autres mots ont été employés, parfois au sens large, mais ils apparaissent aussi par endroits pour désigner des vêtements bien précis.

      Vêtements de dessous

      Il semble que les Hébreux portaient à même la peau une sorte d’étoffe qui entourait les reins, ou peut-être un caleçon, car exposer sa nudité était quelque chose de honteux. Les prêtres devaient porter un caleçon de lin (héb. mikhnesayim) pour éviter toute indécence pendant l’exercice de leur fonction devant l’autel. Parfois, les prêtres païens officiaient nus, chose détestable aux yeux de Jéhovah. — Ex. 28:42, 43.

      Le sadhin (héb.) était un “sous-vêtement” porté par les hommes comme par les femmes (És. 3:23). Selon certains, une des formes de ce sous-vêtement consistait en une sorte d’étoffe dont on s’enveloppait. Il aurait été porté sans vêtement de dessus par les travailleurs, par exemple les Israélites qui fabriquaient des briques pour les Égyptiens, les pêcheurs, les charpentiers, les coupeurs de bois, les puiseurs d’eau, etc. Quand il était porté sous un vêtement de dessus, il ressemblait plutôt à une chemise à manches qui descendait jusqu’aux genoux ou en dessous, munie ou non d’une ceinture. Cette pièce de vêtement était en laine ou en lin.

      Le mot hébreu kouttonèth (ou kethonèth) désigne une sorte de robe qui ressemblerait assez au khitôn grec. Les deux termes se réfèrent la plupart du temps à une tunique ou à une sorte de chemise à manches longues ou mi-longues, qui descend jusqu’aux genoux ou aux chevilles. C’était la tenue d’intérieur pour la vie de famille

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