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Dire la Parole avec hardiesse grâce à l’esprit de DieuLa Tour de Garde 1966 | 15 août
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à ‘dire hardiment’ aux Juifs la Parole de Dieu, et il ne cessa de parler avec hardiesse, comme le récit inspiré l’affirme à maintes reprises. — Actes 9:28 ; 13:46 ; 14:3.
L’opposition des chefs religieux et politiques n’arrêta pas les premiers chrétiens. Elle n’arrête pas non plus ceux qui, à notre époque, marchent sur leurs traces avec sincérité et intelligence. La preuve éloquente en est fournie par les témoins de Jéhovah qui se trouvent derrière le rideau de fer et dans des pays comme l’Espagne et le Portugal. Nous devons diffuser un message important, à l’honneur de Jéhovah et pour le salut des hommes, et il ne reste que peu de temps pour l’annoncer. Certains de nos ennemis menacent de nous brutaliser, d’autres nous couvrent de ridicule, mais sans redouter ce que les hommes peuvent penser ou faire, il nous faut continuer de dire la Parole de Dieu avec hardiesse. — Jér. 1:17.
Si nous avons cette hardiesse, nous n’attendrons pas, pour dire la Parole de Dieu, que les occasions s’offrent à nous, mais nous les provoquerons en participant au ministère de maison en maison et au témoignage accidentel. Puissent tous les ministres chrétiens dire avec hardiesse la Parole de Dieu grâce à l’esprit saint !
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Les principes bibliques vous aident-ils dans le choix de vos divertissements ?La Tour de Garde 1966 | 15 août
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Les principes bibliques vous aident-ils dans le choix de vos divertissements ?
SUREXCITATION, lutte, violence, passion et beauté, tous ces facteurs prévalent dans les divertissements des temps modernes. En captivant votre attention, en enflammant votre imagination et en faisant vibrer votre sensibilité, ils ont le pouvoir de vous faire oublier momentanément vos propres soucis, mais ces facteurs ne devraient pas être les seuls à vous guider dans le choix d’un certain divertissement. Vous devriez tenir compte des bons principes qui gouvernent la vie quotidienne du chrétien.
Au premier siècle de notre ère, par exemple, les Romains se passionnaient pour des divertissements qui étaient en désaccord avec les principes bibliques. C’est pourquoi les chrétiens ne se joignaient pas aux milliers de spectateurs qui emplissaient les amphithéâtres. Que les spectacles qui se déroulaient dans ces arènes fussent pernicieux, Henry Williams nous le révèle dans la description qu’il en fait dans The Historian’s History of the World :
“L’amphithéâtre amenait le plus grand nombre possible de spectateurs à distance commode des morts et des agonisants, et il excitait la passion de la vue du sang qui, pendant des siècles, continua de rivaliser en intérêt avec le plaisir excitant et innocent de la course. (...) C’était quand l’homme luttait contre l’homme (...) que les transports d’enthousiasme sanguinaire se déchaînaient avec le plus de violence. (...) Les spectateurs devenaient frénétiques ; ils se levaient de leurs sièges ; ils hurlaient ; ils applaudissaient à grands cris quand un coup plus terrible qu’un autre était assené avec la lance, l’épée ou la dague, et que le sang giclait. ‘Hoc habet’ — ‘Il l’a, il l’a !’ Ce cri jaillissait de milliers de gorges ; il était non seulement répété par la populace triviale et animale, mais il
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