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  • “Vivez en paix entre vous”
    La Tour de Garde 1977 | 1er décembre
    • chrétiens ou de gens avisés qui désirent devenir chrétiens ? Nous qui sommes déjà disciples du Christ, nous montrerons-​nous abordables et nous soucierons-​nous de leurs besoins ?

      18. Pourquoi celui qui reçoit ainsi quelqu’un reçoit-​il aussi Jésus ?

      18 Si nous refusions d’aider ceux qui ressemblent aux petits enfants, nous perdrions un grand privilège et une bénédiction. Si, à l’exemple des apôtres, des chrétiens mûrs refusaient de recevoir un chrétien baptisé depuis peu qui, figurément parlant, ressemble au petit enfant que Jésus entoura de ses bras et dont il se servit pour donner une illustration, c’est en fait Jésus qu’ils ne recevraient pas. Pourquoi cela ? Parce que Jésus déclara que ceux qui reçoivent “un petit enfant comme ceux-là” le reçoivent lui aussi, car ils agissent ainsi ‘par égard pour son nom’. Cela signifie que Jésus considère qu’ils le reçoivent comme le Messie ou Christ, l’inverse étant tout aussi vrai.

      19. Nos relations avec qui sont concernées par la façon dont nous recevons quelqu’un qui ressemble à un petit enfant, et pourquoi ?

      19 Quand nous accomplissons une tâche obscure ‘par égard pour le nom de Christ’, elle nous paraît plus facile et plus agréable. Elle a un but noble. D’autre part, cela influe non seulement sur nos relations avec Jésus Christ, mais aussi sur celles que nous entretenons avec son Père céleste. C’est ce qu’indiquent les paroles suivantes de Jésus : “Et qui me reçoit [en recevant “un petit enfant comme ceux-là”], reçoit, non pas seulement moi, mais aussi celui qui m’a envoyé.” (Marc 9:37). C’est Jéhovah Dieu, son Père céleste, qui envoya Jésus sur la terre pour qu’il devienne le Messie. Jésus et son Père céleste ne doivent donc pas être séparés. Ils agissent ensemble, inséparablement, étant unis dans un même dessein et une même œuvre. Par conséquent, ce que l’on fait à son Fils, Jéhovah Dieu considère que c’est à lui qu’on le fait. Il montre d’ailleurs qu’il accepte l’action de celui qui reçoit ainsi son Fils en bénissant un tel homme.

      20. Comment ce privilège s’applique-​t-​il dans nos rapports avec nos frères chrétiens, et quelle qualité est indispensable si nous voulons avoir part au Royaume ?

      20 Il est important que nous nous rappelions ce principe dans nos rapports avec nos frères chrétiens, notamment avec ceux qui sont encore pour ainsi dire des “tout-petits” quant à leur intelligence des Écritures et à leur appartenance à la congrégation chrétienne. Aux chrétiens à qui il adressa sa première lettre divinement inspirée, Pierre déclara : “Comme des enfants nouveau-nés, mettez-​vous à désirer ardemment le lait non frelaté qui appartient à la parole, afin que, par lui, vous grandissiez pour le salut, si du moins vous avez goûté que le Seigneur est bon.” (I Pierre 2:2, 3). Nous pouvons communiquer la “parole” à ceux qui sont semblables à “des enfants nouveau-nés”, afin qu’ils soient en mesure de grandir pour le salut et qu’ils y restent attachés comme des chrétiens mûrs. Par conséquent, ceux qui se montrent abordables et disposés à recevoir ‘un petit enfant comme ceux-là par égard pour le nom de Christ’ prouvent qu’ils sont eux-​mêmes semblables à des enfants. Il est indispensable qu’ils agissent ainsi s’ils veulent avoir part au Royaume. — Mat. 18:2-4 ; Luc 18:16.

      21. Quels bienfaits la congrégation reçoit-​elle quand ses membres sont humbles et ne manifestent aucun esprit de rivalité ou de compétition ?

      21 Tout comme dans une famille, les rapports entre les membres d’une congrégation sont très bons quand ces derniers sont humbles et adoptent la même attitude que les petits enfants. Quand il n’y a ni rivalité égoïste ni compétition désastreuse, il en résulte une ambiance détendue. Si nous sommes disposés à servir au point d’accomplir même les tâches les plus humbles, encourageant ainsi nos compagnons et leur procurant ce dont ils ont besoin, nous contribuerons à l’affermissement de toute la congrégation et nous l’inciterons à faire des œuvres de bonté.

      22. Quel est un facteur très puissant qui nous aidera à ‘vivre en paix entre nous’ ?

      22 De cette façon, aucun membre de la congrégation ne sera délaissé, pas même le plus jeune, le plus humble ou le plus nouveau quant à la connaissance biblique ou à l’expérience chrétienne. Un tel chrétien sera au contraire chaleureusement accueilli dans la congrégation ‘par égard pour le nom de Christ’. L’esprit de Jéhovah se répandra dans une congrégation où règne une telle ambiance. C’est un facteur très puissant qui aidera les membres de la congrégation à ‘vivre en paix entre eux’ et engendrera une grande unité fraternelle.

  • “Ayez du sel en vous-mêmes”
    La Tour de Garde 1977 | 1er décembre
    • “Ayez du sel en vous-​mêmes”

      1. Avec quoi notre “parole” doit-​elle être assaisonnée, et pourquoi ?

      LE SEL d’origine organique ou végétale est nécessaire à la santé du corps. Cependant, il est un autre sel qui, lui, est indispensable à la santé de tout groupe d’adorateurs de Dieu. C’est ce qu’indique le conseil que donna un de ceux qui ont particulièrement contribué à la protection de la santé spirituelle de la congrégation chrétienne primitive. Nous voulons parler de l’apôtre Paul qui, écrivant à la congrégation de Colosses qu’il ne connaissait pas encore personnellement, déclara : “Que votre parole soit toujours exprimée avec charme et assaisonnée de sel, pour savoir comment vous devez répondre à chacun !” — Col. 4:6.

      2. Quelle question se pose à propos des apôtres qui cherchèrent à empêcher un certain homme d’expulser les démons en faisant usage du nom de Jésus ?

      2 On peut alors se demander dans quelle mesure les paroles des apôtres qui participèrent à l’incident que Jean rapporta à Jésus Christ, son Enseignant, étaient assaisonnées de “sel”. Nous lisons : “Jean lui dit : ‘Enseignant, nous avons vu quelqu’un expulser des démons en faisant usage de ton nom et nous avons cherché à l’empêcher, parce qu’il ne nous accompagnait pas.’” — Marc 9:38.

      3, 4. a) À quoi Jean s’attendait-​il sans doute, et pourquoi ? b) Quelle part d’égoïsme y avait-​il dans l’explication de Jean, et qu’est-​ce que cela indique quant à sa façon de voir les choses ?

      3 Les propos de Jean donnent l’impression qu’il espérait que Celui qui leur avait enseigné le christianisme le féliciterait et lui manifesterait son approbation par une tape dans le dos. Peut-être Jean se rappelait-​il comment Jésus avait guéri un garçon qui était possédé d’un démon particulièrement rebelle, près de Césarée de Philippe, au nord. Peut-être s’imaginait-​il veiller ainsi jalousement sur le droit qu’avait Jésus d’autoriser d’autres hommes à expulser les esprits impurs ou démons qui tourmentaient leurs victimes impuissantes. D’après Jean, ceux qui n’y avaient pas été autorisés par Jésus n’avaient pas le droit d’invoquer son nom puissant pour expulser des esprits méchants.

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