-
Quand les liens du mariage sont sur le point de se briserLa Tour de Garde 1964 | 1er mai
-
-
pourquoi certaines difficultés peuvent s’élever, mais le chrétien ne devrait pas cesser de cultiver les fruits de l’esprit de Dieu. Ce faisant, et s’il garde son courage et met son espoir en Jéhovah Dieu, il obtiendra certainement de bons résultats, ainsi que Pierre l’affirmait aux femmes chrétiennes : “Pareillement, vous, femmes, soyez soumises à vos maris, afin que, s’il y en a qui n’obéissent pas à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes, ayant été témoins oculaires de votre conduite chaste avec profond respect.” — I Pierre 3:1, 2, MN.
Dans ce monde agité, séparations et divorces sont choses fréquentes, de même que se multiplient les difficultés et les souffrances qui les accompagnent. Les vrais chrétiens attendront avec plaisir la venue du monde nouveau de la justice où il n’y aura plus ni séparations déchirantes, ni douleurs, ni cruelles épreuves pour affliger l’humanité. Mais, actuellement, pendant les derniers jours de ce vieux monde et au milieu de son agitation, il se peut que vous vous trouviez dans une situation qui vous amènera à vous demander si, oui ou non, vous devez vous séparer de votre conjoint. La décision finale vous appartient. Mais, avant tout, examinez les motifs de séparation approuvés par les Écritures. Songez également aux conséquences possibles de votre décision. Livrez-vous à un examen sérieux de vous-même. Consultez les surveillants mûrs pour recevoir des conseils salutaires. Réfléchissez aux bons résultats possibles que vous pourrez obtenir si vous continuez de vivre, même en supportant de dures épreuves, avec votre conjoint incroyant. Pensez à la joie, par exemple, de le voir un jour devenir serviteur de Jéhovah. Imaginez alors votre bonheur, bonheur que vous goûterez pour avoir décidé de rester ! Quoi qu’il advienne, faites tous vos efforts pour être trouvé irrépréhensible devant Dieu et obtenir sa bénédiction et sa récompense. — I Cor. 13:4, 5, 8, MN.
-
-
Questions de lecteursLa Tour de Garde 1964 | 1er mai
-
-
Questions de lecteurs
● Si un chrétien, au volant de sa voiture, a un accident qui entraîne la mort d’autres personnes, quelle est la responsabilité de la congrégation chrétienne, étant donné que ce chrétien s’est peut-être chargé d’une dette de sang ? Que fera-t-elle si le chauffeur a violé les lois réglementant la vitesse ou le code de la route de “César”, ou s’il a été inattentif ? — K. F., Allemagne occidentale.
Dans les cas d’accidents de voiture ayant entraîné la perte d’une ou de plusieurs vies, la question de l’étendue de la dette de sang, si tant est qu’il y en ait une, est certainement une question méritant d’être examinée par le comité judiciaire de la congrégation dont l’automobiliste fait partie. Même si un tribunal légal décide que le conducteur n’est pas responsable de l’accident, il est bon, de la part du comité judiciaire de la congrégation, d’interroger le frère pour essayer de déterminer si vraiment aucune responsabilité en ce qui concerne le sang versé ne peut lui être imputée. Cela est important parce que la congrégation ne veut pas tomber sous la responsabilité de la communauté pour la perte accidentelle d’une vie, résultant de l’inattention d’un chrétien ou de son inobservation des lois de “César” réglementant la circulation.
Si le conducteur, dans un accident ayant des suites fatales, est un serviteur de la congrégation et s’il est établi qu’il s’est chargé d’une dette de sang, il ne convient pas qu’il reste serviteur. Si c’est par inattention qu’il a provoqué l’accident, il portera la responsabilité de sa négligence ou de son manque de prudence. — Gal. 6:5, 7.
Ainsi, si une route traversée par une voie ferrée ne présente aucun signal d’avertissement, feu, sonnerie ou barrière, le conducteur regardera bien pourtant avant de traverser. Si un insecte est une cause d’ennuis, la première chose à faire pour le conducteur
-