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  • Évitez les pièges
    La Tour de Garde 1961 | 15 décembre
    • car elles ont trait à des choses contre lesquelles il faut s’affermir. Ne vous laissez pas emporter peu à peu ou, par manque de foi, ne vous détournez pas du Dieu vivant, ne refusez pas de l’écouter. Ne renoncez pas à votre assurance en ce qui concerne la vérité et ne vous laissez pas entraîner par des doctrines contraires à la vérité. — Héb. 2:1 ; 3:10-12 ; 10:32, 35 ; 12:25 ; 13:8, 9.

      16. Quelle exhortation positive nous est donnée pour nous aider à garder notre position ?

      16 Quant au côté positif et édificateur, Paul nous exhorte, nous qui sommes de la maison dont le chef est le Fils, Jésus-Christ, à retenir “ jusqu’à la fin la ferme confiance et l’espérance dont nous nous glorifions ”, à garder “ fermement jusqu’à la fin l’assurance que nous avions au commencement ”. Après avoir parlé de la miséricorde manifestée par le don de Jésus-Christ, “ le souverain sacrificateur établi sur la maison de Dieu ”, l’apôtre dit : “ Retenons fermement la profession de notre espérance, car celui qui a fait la promesse est fidèle. ” Paul est certain que “ nous ne sommes pas de ceux qui se retirent pour se perdre, mais de ceux qui ont la foi pour sauver leur âme ”. Finalement, après avoir rappelé que le royaume que nous servons est “ inébranlable ”, l’apôtre résume l’attitude et la conduite qu’il faut avoir pour garder sa position devant le Fils de Dieu. Il dit : “ Montrons notre reconnaissance en rendant à Dieu un culte qui lui soit agréable, avec piété et avec crainte. ” — Héb. 3:6, 14 ; 10:21, 23, 39 ; 12:28.

  • Comment je poursuis le but de ma vie
    La Tour de Garde 1961 | 15 décembre
    • Comment je poursuis le but de ma vie

      Raconté par Elmer C. Ihrig

      EN 1926, quand ma mère se procura pour la première fois quelques brochures éditées par la Watch Tower Society, je ne pensais guère poursuivre le but de ma vie en qualité de ministre à plein temps. J’avais rejeté ces publications, les considérant comme “ seulement une autre religion ” à laquelle je ne m’intéressais pas. Et me voici, missionnaire des témoins de Jéhovah dans le Honduras britannique, trente-quatre années environ plus tard, ayant passé vingt-six d’entre elles dans le service de pionnier à plein temps.

      Nous achetâmes notre premier poste de radio en 1928, et aujourd’hui encore, je pense que ce fut le meilleur de nos placements. Tout d’abord, nous nous intéressâmes aux émissions locales, mais plus tard, plus ou moins fortuitement, nous captâmes l’un des grands postes conjugués, que la Société utilisait au cours d’une assemblée. Je commençai à me rendre compte que cette religion était vraiment différente.

      Un peu plus tard, en visite chez mon frère, je le trouvai en possession de certaines des publications. Sans tarder, je lui demandai de me les prêter ; comme elles ne l’intéressaient guère, il accepta avec non moins d’empressement. Je notai l’adresse de la Société et, ayant vu que je pouvais demander un catalogue, j’envoyai mon nom et mon adresse ; il ne me fallut pas longtemps pour lire avec délectation la description de tous les livres et brochures catalogués. J’envoyai ma commande le plus tôt possible.

      J’entrai en contact avec l’assemblée locale d’une manière plutôt peu banale. Généralement, le contact s’établit grâce aux visites faites chez les gens par les membres de l’assemblée, mais, dans mon cas, ce fut moi qui engageai la conversation avec un homme d’un certain âge que je connaissais depuis quelque temps. Pour se garantir de la pluie qui, subitement, s’était mise à tomber, il s’était réfugié dans une maison que mon frère et moi étions en train de construire. Il est difficile de dire qui fut le plus surpris. Il nous parla de l’assemblée locale qui, à cette époque-​là, se tenait chez lui ; de plus, nous apprîmes qu’un représentant itinérant de la Société viendrait sous peu et prononcerait un discours. Nous fûmes invités. S’il y avait eu des doutes dans notre esprit sur le fait que c’était la vérité, ce discours les dissipa complètement. C’est là que je rencontrai les premiers pionniers que j’eusse jamais vus. Quelques années plus tard, j’eus le privilège de travailler dans un groupe de pionniers dont ils faisaient partie. Je n’ai cessé d’être reconnaissant pour cette expérience. Elle m’a aidé considérablement à poursuivre le but de ma vie, particulièrement dans l’activité missionnaire.

      Quand je me rappelle ma première expérience dans le ministère, je peux voir à quel point l’organisation a progressé depuis et combien il est toujours sage de marcher de pair avec elle en toutes choses. En ces jours-​là, nous n’avions pas l’aide d’un compagnon qui nous fût associé dans un programme de formation. Je travaillai tout d’abord avec un autre frère pendant une heure environ ; puis on me remit une poignée de brochures et deux feuilles de papier. Une pétition en faveur de la diffusion par radio du message du Royaume circulait alors. Ce travail me semblait d’une grande importance : n’était-​ce pas grâce à la radio que je m’étais vraiment intéressé au message ? Toutefois, la façon dont je me débrouillai seul est illustrée par le fait que je travaillai trois dimanches matin sans placer une seule brochure ni recueillir la moindre signature sur la feuille de pétition. Ces résultats étaient assez décourageants, mais je n’ai jamais cessé de me réjouir de n’avoir pas abandonné.

      MON ENTRÉE DANS LE SERVICE DE PIONNIER

      Je ne tardai pas à rencontrer un jeune frère qui devint plus tard mon premier associé dans le service de pionnier. Après avoir parlé avec lui et lu, en outre, de nombreuses et encourageantes expériences dans le champ rapportées dans les publications de la Société, je me sentis prêt à entrer dans ce service.

      Juste avant de nous rendre dans notre premier territoire attribué dans le Missouri, nous eûmes le privilège d’assister à une grande assemblée, la première pour moi. Frère Rutherford et d’autres représentants de la Société s’y trouvaient. C’était précisément le stimulant qu’il nous fallait. Pour la première fois, j’allais vivre loin de la maison. Le fait d’en être à plus de 800 kilomètres, avec 9 dollars seulement en poche pour nous deux, ne procurait pas tout d’abord une agréable

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