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    La Tour de Garde 1973 | 1er juin
    • billet n’implique pas non plus invoquer le dieu de la “Chance” ou du “Destin”. Celui qui accepte un billet (ou donne son nom pour un tel tirage) peut raisonner ainsi : “L’établissement offre un cadeau dans le cadre d’une campagne publicitaire. Si je suis choisi, j’accepte ce cadeau.”

      Se laissant guider par sa conscience, le chrétien doit décider lui-​même s’il peut accepter un billet qui entre tout simplement dans le cadre d’une offre publicitaire. Il peut se demander : “En acceptant un tel billet, est-​ce que j’encourage le genre d’avidité qui incite les gens à jouer ? Est-​ce que je risque d’être une pierre d’achoppement pour d’autres ? Est-​ce que je risque d’être amené à invoquer le dieu de la ‘Chance’ ?” — És. 65:11, NW.

      Les vrais chrétiens savent que Jéhovah Dieu désapprouve l’avidité et l’idolâtrie (I Cor. 6:9, 10). Ils ont également reçu l’ordre de ne pas ‘faire trébucher les autres’. — Phil. 1:10.

      Supposons que quelqu’un accepte un billet en considérant qu’il ne s’agit que d’une campagne publicitaire et qu’ensuite, ayant été choisi par le “tirage”, il s’aperçoive que le “cadeau” n’est qu’un billet de la loterie nationale. Que fera-​t-​il ? Ce qui semblait n’être qu’une simple campagne publicitaire s’est brusquement révélé être une forme de loterie. Le chrétien ne peut y consentir. Accepterait-​il des diamants volés pour la simple raison qu’il s’agit d’un “cadeau” ?

      C’est pourquoi, si un chrétien décide qu’il est préférable pour lui et pour les autres de refuser un billet publicitaire, personne ne devrait contester sa décision. En revanche, si un chrétien est convaincu que l’acceptation d’un tel billet ne provoquera aucun problème, c’est à lui d’en décider. La Parole de Dieu déclare : “Chacun de nous rendra compte à Dieu pour lui-​même.” — Rom. 14:12.

      ● De très nombreux chrétiens sont morts, dit-​on, victimes de la persécution romaine au cours des premiers siècles de notre ère. Dans ce cas, est-​il possible qu’à notre époque des milliers de personnes aient été appelées à faire partie du corps du Christ, composé seulement de 144 000 membres ?

      D’après l’histoire, de nombreux chrétiens furent cruellement persécutés, voire tués, au cours des tout premiers siècles de notre ère. Toutefois, n’oublions pas que le fait de mourir en martyr ne donnait pas obligatoirement du mérite aux yeux de Jéhovah ni ne garantissait la participation au Royaume céleste. Même au cours des dernières années, un grand nombre de gens ont accepté de mourir pour une cause religieuse ou autre. Le seul fait de se dire chrétien, et même de mourir pour sa foi, ne veut pas dire qu’on est un serviteur approuvé de Jéhovah Dieu. C’est d’ailleurs ce que l’apôtre Paul écrivit aux Corinthiens, disant : “Si je donne tous mes biens pour nourrir autrui, et si je livre mon corps, afin que je me glorifie, mais que je n’aie pas l’amour, cela ne me sert de rien.” (I Cor. 13:3). Ce n’est pas la mort, mais la fidélité jusqu’à la mort, qui détermine si un individu recevra ou non “la couronne de vie”. — Rév. 2:10.

      Par conséquent, le fait qu’il y ait encore aujourd’hui sur la terre un reste des 144 000 prouve que jusqu’en ce vingtième siècle, moins de 144 000 personnes ont achevé fidèlement leur course terrestre.

      Bien que certains soient portés à croire qu’un plus grand nombre de personnes ont certainement dû être touchées par l’appel céleste à cette époque reculée des premiers siècles de notre ère, en réalité aucune preuve ne vient appuyer ce point de vue. Aujourd’hui, il est même impossible de dire avec précision combien de personnes ont été mises à mort, et encore bien moins combien de chrétiens sont restés fidèles jusqu’à la mort. Dans le livre Histoire du christianisme à la lumière des connaissances modernes (angl.), Frederick John Foakes-Jackson écrit : “Nous n’avons que peu de faits sur lesquels nous appuyer.” Il dit plus loin : “Deux historiens romains, Tacite et Suétone, ont apporté leur témoignage au sujet de la persécution déchaînée par Néron ; l’un et l’autre étaient très jeunes quand elle se produisit, et c’est à l’âge adulte qu’ils rédigèrent leurs écrits. Il n’existe aucun document contemporain décrivant cette persécution, bien qu’il en soit probablement question dans le livre de la Révélation (...) Tertullien, qui vécut à la fin du deuxième siècle, est l’autorité que nous invoquons pour affirmer que Néron et Domitien, les pires empereurs des premiers siècles, ont persécuté les chrétiens.” Au début du troisième siècle, Origène (un écrivain et enseignant chrétien) fit cette remarque : “Seules quelques personnes ça et là, lesquelles peuvent être facilement comptées, sont mortes pour la religion chrétienne.”

      Maints récits relatifs aux martyrs chrétiens ont été enjolivés par la tradition et sont par conséquent peu dignes de foi. Par exemple, le martyre de Polycarpe au deuxième siècle de notre ère est décrit en ces termes dans le Livre des martyrs de Fox (angl.) : “Il fut (...) attaché à un poteau ; on mit le feu aux fagots qui l’entouraient, mais alors que la chaleur était devenue si intense que les soldats avaient dû se retirer, il continua de prier et de chanter des louanges à Dieu pendant un long moment encore. Le feu faisait rage avec une grande violence, mais son corps ne se consumait pas et resplendissait comme de l’or poli. D’autre part, on affirme qu’une odeur agréable, semblable au parfum de la myrrhe, se dégageait du feu, jetant les spectateurs dans un tel étonnement que beaucoup d’entre eux se convertirent au christianisme. Comprenant qu’il était impossible de le mettre à mort par le feu, les bourreaux prirent une lance et lui percèrent le côté ; son sang se répandit alors en si grande quantité qu’il éteignit les flammes. Son corps fut ensuite réduit en cendres, sur l’ordre du proconsul, de crainte que ses adorateurs n’en fassent un objet de culte.”

      Quelle que soit la source où Fox a puisé ses renseignements, il est manifeste que bien peu de choses dans ce récit sont vraiment historiques. Néanmoins, si l’allusion à l’adoration des restes de Polycarpe doit être regardée comme une preuve de l’existence du culte des reliques parmi les prétendus chrétiens du deuxième siècle, nous avons là une preuve supplémentaire attestant que de nombreux chrétiens de ces temps-​là n’étaient pas de fidèles adorateurs de Jéhovah Dieu. Les chrétiens avaient reçu l’ordre d’“adorer Dieu”, et non des reliques (Rév. 19:10). En fait, les idolâtres figurent parmi ceux qui sont mentionnés dans les Écritures comme étant indignes d’hériter le Royaume. — I Cor. 6:9, 10.

  • La Bible est-elle un mystère pour vous ?
    La Tour de Garde 1973 | 1er juin
    • La Bible est-​elle un mystère pour vous ?

      Les témoins de Jéhovah savent que ce que Jéhovah dit dans sa Parole est véridique, et par leur ministère ils s’efforcent d’aider leurs semblables à acquérir cette conviction (Rom. 3:4). C’est pour cette raison que pendant le mois de juin ils visiteront tous les foyers, afin de parler aux gens de la Bible, et pour les aider à étudier la Parole de Dieu, ils leur offriront Les Écritures grecques chrétiennes — Traduction du monde nouveau, écrites en un français moderne avec le livre “Écoutez le grand Enseignant”.

      Veuillez me faire parvenir Les Écritures grecques chrétiennes... et le livre “Écoutez le grand Enseignant”.

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