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  • Ab
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    • AB

      Nom donné après l’exil au cinquième mois lunaire de l’année selon le calendrier religieux juif, le onzième selon le calendrier civil. Ce mois correspond à la fin de juillet et au début d’août. Dans la Bible, il n’est pas mentionné directement sous ce nom, mais seulement comme le “cinquième mois”. Ce nom apparaît toutefois dans le Talmud et dans les autres écrits juifs postérieurs à l’exil.

  • Abaddon
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    • ABADDON

      Transcription d’un mot hébreu utilisé comme nom propre pour désigner “l’ange de l’abîme”. (Rév. 9:11.) Le nom grec correspondant, “Apollyon”, signifie “destructeur”. Au siècle dernier, d’aucuns tentèrent de démontrer que ce texte s’appliquait prophétiquement à des hommes, tels que l’empereur Vespasien, Mahomet ou même Napoléon, et l’on considérait généralement que cet ange était “satanique”. Notons, cependant, qu’en Révélation 20:1-3 l’ange qui a “la clé de l’abîme” est désigné comme étant le représentant de Dieu venu du ciel et que, loin d’être “satanique”, il lie Satan et le lance dans l’abîme. Dans son commentaire sur Révélation 9:11, The Interpreter’s Bible (t. XII, p. 434) déclare: “Cependant, Abaddon n’est pas un ange de Satan, mais de Dieu, et il accomplit son œuvre de destruction sur l’ordre de Dieu.”

      Notons encore qu’en Révélation 1:18, Jésus Christ déclare: “Je suis vivant à tout jamais, et j’ai les clés de la mort et de l’Hadès.” Luc 8:31 révèle le pouvoir de Jésus sur l’abîme. Que le Christ détient le pouvoir de détruire, notamment celui d’anéantir Satan, c’est ce que montre à l’évidence Hébreux 2:14 où il est dit qu’il a participé au sang et à la chair, “afin de réduire à néant, par sa mort, celui qui a le moyen de causer la mort, c’est-à-dire le Diable”. En Révélation 19:11-16, Jésus est clairement décrit comme le Destructeur désigné par Dieu, celui qui exécute ses jugements.

  • Abagtha
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    • ABAGTHA

      {Article non traduit.}

  • Abanah
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    • ABANAH

      (probablement “pierreux”).

      Rivière qui arrose Damas et qu’on identifie généralement au Barada, qui prend sa source dans les monts de l’Anti-Liban. Après avoir traversé les montagnes, le Barada débouche d’une gorge juste à l’ouest de Damas. Il traverse ensuite la partie nord de la ville, puis se divise en plusieurs bras pour irriguer une vaste plaine, après quoi il se perd dans des marécages à l’est de Damas. Ses eaux, qui permettent d’irriguer des champs et des vergers grâce à tout un système de canaux et de conduits, ont créé une vaste oasis verdoyante. On peut dire que Damas doit son existence au Barada qui alimente depuis longtemps les citernes, les fontaines et les bains de la ville. Les auteurs classiques l’appelaient le “fleuve d’or”. (Chrysorrhoas.) L’admiration que Naaman, chef de l’armée syrienne, avait pour l’Abanah était donc légitime. — II Rois 5:12.

  • Abarim
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    • ABARIM

      {Article non traduit.}

  • Abba
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    • ABBA

      Ce mot araméen apparaît trois fois dans les Écritures. La plupart des traductions françaises l’écrivent ainsi, c’est-à-dire tel qu’il a été transcrit dans le grec. Utilisé dans les trois cas pour désigner Jéhovah, le Père céleste, il est chaque fois suivi de sa traduction: ὁ patêr, en grec, “Père”, en français.

      ʼAbbaʼ, qui signifie “père” en araméen, correspond à l’hébreu ab (père), mais à la forme d’insistance, c’est-à-dire “le père”. Pour s’adresser à leur père dans l’intimité, les enfants employaient ce mot qui exprimait à la fois un peu de la familiarité qui se dégage de notre “papa” et le respect que sous-entend l’usage du mot “père”. Le terme ʼabbaʼ est donc en même temps familier et respectueux. C’était un des tout premiers mots qu’apprenait un enfant et, plutôt qu’un titre, il s’agissait d’un terme affectueux par lequel il s’adressait à son père. D’après la Gémara juive, il n’était pas permis aux esclaves d’utiliser l’expression “abba” pour s’adresser au chef de la maison.

      Marc rapporte que lorsque, peu avant sa mort, Jésus pria Jéhovah Dieu dans le jardin de Gethsémané, il employa ce terme, en disant: “Abba, Père, toutes choses te sont possibles; écarte de moi cette coupe. Cependant, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux.” (Marc 14:36). C’était là une prière fervente qu’un fils adressait à son père bien-aimé, mais dans laquelle il affirmait aussitôt après que, quoi qu’il arrive, il lui obéirait. On trouve ce mot deux autres fois, dans les lettres de Paul, en Romains 8:15 et Galates 4:6. Dans les deux cas, il est employé à propos des chrétiens qui sont engendrés de l’esprit pour devenir des fils de Dieu et il exprime le caractère intime de leurs relations avec le Père. Bien qu’étant des “esclaves de Dieu” qui ont été “achetés à un prix”, ils sont aussi des fils dans la maison d’un Père aimant. L’esprit saint, par l’intermédiaire de leur Seigneur Jésus Christ, leur en donne l’assurance formelle (Rom. 6:22; I Cor. 7:23; Rom. 8:15; Gal. 4:6). Certains voient dans la juxtaposition des deux mots ʼabbaʼ et “Père” non pas simplement la présence d’un mot araméen suivi de sa traduction en grec, mais, avec le premier mot, l’expression de la confiance et de la soumission d’un enfant, et, avec le second, la reconnaissance mûrement réfléchie de ses relations filiales et des responsabilités qui en découlent. Ces textes semblent bien indiquer qu’aux jours des apôtres les chrétiens utilisaient le mot ʼabbaʼ quand ils priaient Dieu.

  • Abda
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    • ABDA

      {Article non traduit.}

  • Abdéel
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    • ABDÉEL

      {Article non traduit.}

  • Abdi
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    • ABDI

      {Article non traduit.}

  • Abdias
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    • ABDIAS

      Voir OBADIAH.

  • Abdiel
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    • ABDIEL

      {Article non traduit.}

  • Abdon
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    • ABDON

      {Article non traduit.}

  • Abednégo
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    • ABEDNÉGO

      (serviteur de Négo, le Mercure des Chaldéens).

      Nom donné à Azariah, un des jeunes Juifs de sang royal ou noble qui furent emmenés en captivité par Nébucadnezzar en 617 avant notre ère (Dan. 1:3, 4, 7). Certains biblistes croient que Négo est une déformation volontaire de Nébo, nom d’une divinité babylonienne, afin de ne pas offenser Azariah. Le nom Azariah signifie, quant à lui, “Jah aide”. Entre eux, ces jeunes Hébreux continuèrent à s’appeler par leurs noms d’origine juive (Dan. 2:17). À Babylone, Abednégo ainsi que Daniel, Hananiah et Mischaël reçurent, avec tous les honneurs, une formation de trois ans au terme de laquelle ils passèrent un examen présidé par le roi Nébucadnezzar lui-​même. Entre-temps, ils avaient démontré leur fidélité religieuse dans le domaine du manger et du boire (Dan. 1:4, 5, 8-20). Plus tard, sur la demande de Daniel, le roi confia à Azariah et à ses deux compagnons l’administration du district juridictionnel de Babylone. — Dan. 2:49.

      Abednégo ainsi qu’Hananiah et Mischaël furent jetés dans une fournaise chauffée outre mesure parce qu’ils avaient refusé de se prosterner devant la statue d’or dressée par le roi Nébucadnezzar. Après avoir été délivrés miraculeusement par le représentant angélique de Dieu, les trois hommes retrouvèrent la faveur du roi. — Dan. 3:5, 8, 12, 15-30.

  • Abeille
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    • ABEILLE

      (héb. debôrâh).

      Le simple fait que Canaan soit appelé un “pays ruisselant de lait et de miel” indique que les abeilles y étaient très nombreuses dès les temps les plus anciens (Ex. 3:8). En raison de la chaleur de son climat et de la profusion des fleurs, la Palestine est aujourd’hui un pays très propice à la présence d’une immense population d’abeilles. L’apiculture y est d’ailleurs très populaire.

      Si l’on en juge d’après un relief du “temple du soleil”, les Égyptiens se seraient livrés à l’apiculture à une époque antérieure à Abraham. Cependant, la première preuve formelle de la domestication des abeilles en Palestine remonte à l’époque de la rédaction de la Mishna (qui fut couchée par écrit au deuxième siècle de notre ère), époque à laquelle l’élevage des abeilles était courant. La plupart des références bibliques à cet insecte concernent l’abeille sauvage. Durant une campagne militaire, Jonathan mangea du miel qu’il trouva dans la forêt, les abeilles ayant sans doute fait leur nid dans le creux d’un arbre (I Sam. 14:25-27). Ce sont les abeilles sauvages de la vallée du Jourdain qui procurèrent à Jean le Baptiste une bonne partie de sa nourriture (Mat. 3:4). Les abeilles nidifient non seulement dans les arbres, mais aussi dans d’autres cavités, dans les fentes des rochers ou des murs par exemple. — Deut. 32:13; Ps. 81:16.

      Le récit consigné en Juges 14:5-9 a soulevé des objections. Samson tua un lion et, quelque temps plus tard, trouva “dans le corps du lion un essaim d’abeilles et du miel”. On connaît bien la grande aversion de la plupart des abeilles pour les cadavres et les charognes. Notons, cependant, que Samson retourna vers le lion “quelque temps après” ou littéralement, selon l’hébreu, “après des jours”, expression qui peut désigner une période assez longue, voire une année (comparez avec I Samuel 1:3 [l’expression “d’année en année” correspond à l’hébreu littéral “des jours après des jours”]; Néhémie 13:6). Le temps ainsi écoulé permit aux oiseaux ou aux animaux qui se nourrissent de charogne de dévorer pratiquement toute la chair du lion et au soleil brûlant de dessécher ce qui restait. Il est également évident qu’un temps assez long avait passé quand on considère que non seulement un essaim d’abeilles s’était formé dans la carcasse du lion, mais qu’elles avaient produit une certaine quantité de miel.

      L’Écriture compare la façon dont les Amorites poursuivirent les Israélites hors de leur territoire montagneux à la férocité avec laquelle un essaim d’abeilles s’attaque à celui qui le dérange (Deut. 1:44). De même, un psalmiste compara à des “abeilles” les nations ennemies qui l’entouraient et qu’il ne maintenait à distance qu’en exerçant la foi dans le nom de Jéhovah (Ps. 118:10-12). Les recherches effectuées par l’Université Cornell ont démontré que, proportionnellement, le venin de l’abeille est aussi toxique que celui du cobra. En effet, si avec son dard une abeille n’injecte qu’une infime quantité de venin dans le corps de sa victime, les piqûres d’un essaim de plusieurs centaines d’abeilles peuvent être mortelles pour un homme. Une grande colonie d’abeilles peut compter jusqu’à 60 000 insectes.

      Le prophète Ésaïe décrivit de façon pittoresque l’invasion de la Terre promise par les armées d’Égypte et d’Assyrie. Il compara ces armées à des essaims de mouches et d’abeilles que Jéhovah allait ‘siffler’, afin qu’elles viennent et se posent sur les ouadis et sur les fentes des rochers (És. 7:18, 19). La plupart des commentateurs sont d’avis que ce “sifflement” ne correspond pas à une pratique courante des apiculteurs, mais qu’il s’agit seulement d’une image pour indiquer que c’est Jéhovah qui attire l’attention de ces nations agressives sur le pays du peuple qui est lié à lui par une alliance. Qu’il ne s’agisse pas là d’un “sifflement” spécial pour appeler les abeilles, c’est ce que montre le fait que Jéhovah n’appelle pas seulement des “abeilles”, mais aussi des “mouches” symboliques.

  • Abel
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    • ABEL

      (souffle, vapeur, existence précaire).

      Deuxième fils d’Adam et Ève, et frère cadet de Caïn, leur premier-né (Gen. 4:2). Abel a probablement eu des sœurs alors qu’il était encore vivant, car le récit rapporte qu’Adam et Ève engendrèrent des filles (Gen. 5:1-4). Il devint gardien de moutons, et son frère, cultivateur. — Gen. 4:2.

      Au bout d’un certain temps, Abel et Caïn firent l’un et l’autre une offrande à Jéhovah Dieu. Chacun ayant apporté ce qu’il possédait, Abel offrit quelques premiers-nés de son troupeau, et Caïn, des fruits de sa culture (Gen. 4:3, 4). Tous deux croyaient en Dieu, que leurs parents leur avaient sans doute fait connaître. Ils savaient donc pourquoi ils vivaient hors du jardin d’Éden et pourquoi son accès leur était interdit. Par leur offrande, ils reconnaissaient être éloignés de Dieu et exprimaient le désir d’obtenir sa faveur. Jéhovah approuva l’offrande d’Abel, mais pas celle de Caïn. Le récit ne nous dit pas comment Dieu exprima sa faveur et sa désapprobation. Cependant, des écrits postérieurs révèlent clairement pourquoi Dieu n’agréa que l’offrande d’Abel. Ainsi, l’apôtre Paul parle d’Abel comme du premier homme de foi et, en Hébreux 11:4, il ajoute que c’est en raison de sa foi que son sacrifice fut “de plus grande valeur” que celui de Caïn. En revanche, I Jean 3:11, 12 dit que le cœur de Caïn devait être mauvais. Celui-ci l’a d’ailleurs prouvé, d’abord en rejetant le conseil et l’avertissement de Dieu, puis en assassinant son frère, après avoir prémédité son crime.

      On ne peut évidemment pas dire qu’Abel savait à l’avance comment s’accomplirait finalement la promesse divine relative à la “postérité” promise, promesse consignée en Genèse 3:15. Cependant, son offrande de quelques premiers-nés de son troupeau était certainement très appropriée, et si elle fut agréée par Dieu, c’est sans doute aussi en raison de sa nature. À l’Auteur de la vie, Abel offrit des vies, même si ce n’étaient que des vies animales, quelques moutons. — Comparez avec Jean 1:36.

      Jésus parle d’Abel comme du premier martyr, victime de la persécution religieuse de Caïn, son frère intolérant. Ainsi dit-​il qu’Abel vécut à la “fondation du monde”. (Luc 11:48-51.) Ici, le mot “monde”, qui traduit le grec kosmos, désigne ‘le monde des hommes’. Par “fondation [katabolês] du monde”, Jésus

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