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Visite du président en Birmanie, aux Philippines et à Hong-KongLa Tour de Garde 1957 | 1er janvier
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furent prononcés en anglais et traduits simultanément en tagala et ilocano. Les auditeurs assis au nord de la tribune de l’orateur entendaient le discours en ilocano, tandis que ceux du centre, juste devant l’estrade, l’entendaient en anglais, et ceux de la partie sud, en tagala. Chaque interprète portait des écouteurs afin de ne pas être troublé par l’audition d’un autre dialecte. Dans ces îles, quatre-vingt-six dialectes sont parlés, mais les deux principaux furent employés pendant l’assemblée afin que la majorité des frères pût comprendre.
À l’assemblée, de nombreuses expériences intéressantes furent relatées. Une sœur, pionnier spécial, dans son secteur (une ville) depuis quatre mois seulement, rapporta que bien qu’il n’y eût aucun intérêt dans la ville lorsqu’elle y arriva, douze personnes de bonne volonté l’avaient accompagnée à l’assemblée et deux d’entre elles seraient baptisées. Beaucoup de pionniers spéciaux, se rendant dans des territoires isolés, trouvent facilement des personnes de bonne volonté et fondent rapidement de nouveaux groupes.
Les sessions du premier jour se terminèrent par un discours du président, qu’entendirent 11 460 assistants. Immédiatement après la clôture de la session du soir, les frères furent invités à rester un peu plus longtemps pour entendre une émission de la radio, à 8 h 30. Frère Knorr était interviewé par deux célèbres personnalités de la radio au cours d’un programme appelé “ Les dernières nouvelles inédites ”. Normalement, ce programme dure trente minutes, mais les interviewers étaient si intéressés par le sujet que l’émission dura quarante-cinq minutes. Les frères disaient que cette interview constituait un puissant témoignage dans les Philippines parce qu’elle figurait dans l’un des programmes les plus écoutés. Pendant les quarante-cinq minutes, les doctrines et l’œuvre des témoins de Jéhovah furent discutées, et frère Knorr put parler de l’expansion de l’œuvre des témoins de Jéhovah.
Le baptême fut organisé pour le samedi matin à huit heures ; à cette heure-là, 10 000 frères se trouvaient dans le stade. Les candidats étaient divisés en neuf groupes, selon leurs dialectes ; et, quand on les en pria, ils s’avancèrent vers la piste en face de l’estrade pour entendre les deux questions posées à la fin du discours et pour y répondre. Bien que ces candidats parlassent différentes langues, chacun entendit ces questions et y répondit dans la sienne, parce qu’elles furent traduites de l’anglais en tagala, ilocano, cébu-visayan, hiligaynon-visayan, benguet, pampango, ibanag et pangasinan, par des frères compétents. C’était vraiment émouvant de voir ces 434 frères de diverses langues qui s’étaient voués à Jéhovah parler tous une seule langue pure, la vérité de la Parole de Dieu.
Les visiteurs prononcèrent à cette assemblée des Philippines les discours qu’ils avaient faits ailleurs. Le samedi soir, l’assistance s’éleva au maximum de 11 567. Les frères qui écoutèrent le récit émouvant du président sur l’œuvre en Russie furent bouleversés en entendant parler de la brutalité et des persécutions dont leurs compagnons de service sont l’objet derrière le rideau de fer, mais leur intégrité les émut. L’endurance merveilleuse, l’unité et la force des frères harcelés en Russie sont encourageantes pour tous les témoins de Jéhovah.
Le programme du dimanche était riche. Le frère Adams et le frère Barry, serviteur de la filiale japonaise, parlèrent le matin. Le programme de la journée atteignit son point culminant à dix-sept heures au moment où le discours public fut prononcé. Quand frère Knorr commença à parler, le soleil était bas dans le ciel ; une ombre fraîche s’étendit sur une grande partie de la foule qui emplissait le stade et recouvrit les places découvertes à droite et à gauche de l’estrade. Il y avait 17 259 assistants, ce qui signifiait que 5 000 personnes de bonne volonté s’étaient rassemblées pour entendre le message “ Unification de l’humanité sous le règne du Créateur ”. Quand le soleil tropical se coucha sur le dernier jour de l’assemblée du Royaume triomphant, tous ceux qui s’étaient réunis se sentirent fortifiés et réconfortés ; plus que jamais ils étaient décidés à accomplir l’œuvre que Jéhovah leur a assignée : prêcher partout la bonne nouvelle de son royaume.
Dans les dernières années, des progrès considérables ont été réalisés dans l’œuvre de rassemblement aux Philippines. En 1945, il y avait 2 000 prédicateurs de la bonne nouvelle, mais aujourd’hui ce nombre s’élève à plus de 24 000. Les frères sont enthousiastes et aiment parler. Naturellement, quand ils parlent, c’est la vérité qui vient en premier lieu à leur esprit, et c’est ainsi qu’elle s’est répandue rapidement dans tout le pays. Beaucoup de frères essaient sincèrement de mettre les intérêts du Royaume à la première place dans leur vie. En vérifiant les rapports des pionniers, on découvrit que les cinq cents pionniers (frères et sœurs) et les trente-cinq serviteurs de circuit, sont presque tous des célibataires, ils consacrent ainsi les meilleures années de leur jeunesse à l’œuvre à plein temps avant d’assumer les obligations et les responsabilités de la vie conjugale. Tous étaient très heureux, et on voit que Jéhovah bénit abondamment leurs efforts. Nombre de ces frères ont de grands accroissements dans leurs territoires car les personnes de bonne volonté écoutent la vérité et se joignent à eux dans l’œuvre du service.
EN AVANT VERS LA CHINE
De bonne heure le lendemain matin, les frères Knorr, Adams et Barry montaient à bord d’un avion pour Hong-Kong. Ils laissaient derrière eux le souvenir de la plus grande et de la plus joyeuse assemblée qui fût jamais tenue aux Philippines, et les frères philippins sont fermement résolus à appliquer les conseils donnés et à faire leur part en apportant toutes les dîmes à la maison du trésor, le temple de Jéhovah. — Mal. 3:10.
En l’espace de quelques heures, l’avion qui transportait les frères passa au ras des collines qui entourent très étroitement l’aéroport de Hong-Kong. (C’est un des aéroports où les voyageurs espèrent que le pilote connaisse bien sa route afin d’atterrir en sécurité). Les missionnaires et les frères de Hong-Kong qui attendaient leur arrivée furent très heureux de les saluer. Une grande activité règne à Hong-Kong. De nombreux changements sont en cours. Tandis qu’ils quittaient l’aéroport, les frères remarquèrent une équipe d’ouvriers occupés activement à tailler le roc et la terre d’une grande colline, la nivelant pour donner plus d’espace à cette ville surpeuplée. Ce travail se fait en de nombreux endroits. Près de 2 250 000 personnes sont entassées dans le petit territoire du port franc de Hong-Kong et de Kowloon qui lui est contigu. Nombre d’entre elles sont des réfugiées du continent chinois, venues à Hong-Kong au cours des cinq dernières années. Arrivant en foule dans une ville déjà surpeuplée, ne sachant où aller, elles furent obligées de se tirer d’affaire du mieux qu’elles purent dans de petites cabanes en bois ou en tôle ondulée. Cependant, cette situation s’est maintenant fortement améliorée. Après l’incendie de décembre 1953, qui détruisit de grandes parties de ces zones, le gouvernement intervint immédiatement et fit construire des maisons en béton. Bien que ces bâtiments soient pourvus seulement du strict nécessaire, ils ont toutefois amélioré considérablement la situation car les gens ont maintenant un toit au-dessus de leurs têtes et ne sont pas obligés de vivre dans les rues.
Par suite des relations politiques de Hong-Kong avec le continent chinois, il a été possible de rester en contact avec les frères de Shanghaï. Là, ils continuent à bien travailler au rassemblement des “ autres brebis ”, bien qu’il soit presque impossible d’exercer cette activité de maison en maison sans rencontrer de l’opposition. Frère Knorr fut très heureux de recevoir une lettre des frères de Shanghaï pendant qu’il visitait Hong-Kong. En voici des extraits :
“ Au nom de Jéhovah, nous vous envoyons à vous et aux frères qui voyagent avec vous les salutations des frères qui sont ici à Shanghaï. Le groupe de Shanghaï se réjouit de l’occasion que vous avez de rencontrer les frères de Hong-Kong. Combien nous regrettons qu’il ne vous soit pas possible de venir vers nous, ici, ou à quelques-uns d’entre nous de descendre et de vous rencontrer là-bas. C’est en raison de circonstances tout à fait indépendantes de notre volonté, mais nous penserons à vous tout le temps et demandons à Jéhovah, par la prière, de vous bénir et que son esprit repose sur vous tandis que vous visiterez Hong-Kong et les autres groupes en Asie. Nous ne pouvons qu’espérer en la proximité du jour où nous pourrons jouir du plaisir de votre visite.
“ Nous saisissons cette occasion pour vous assurer de notre amour sincère et vous demander de remettre nos cordiales salutations à tous les frères que vous rencontrerez encore pendant votre voyage à l’Est et de les transmettre aussi à la famille du Béthel à Brooklyn.
“ Soyez assurés en tous temps de notre sincère désir de faire progresser le service du royaume de Jéhovah, répandant la bonne nouvelle du Royaume par n’importe quel moyen, nous attachant étroitement à la société du monde nouveau, vivant et agissant comme elle, cela grâce à la bonté imméritée de Jéhovah par l’intermédiaire de Jésus-Christ, notre Roi régnant. Nous sommes très reconnaissants de l’aide que nous recevons, par exemple les toutes dernières publications bibliques mises en circulation aux assemblées d’été de l’année 1955, et pour le flot constant de vérité qui nous parvient régulièrement par le canal actuel de communication de Jéhovah. Notre prière est de pouvoir continuer de faire un bon usage de cette nourriture spirituelle en rassemblant encore un plus grand nombre d’habitants de cette ville dans le seul lieu de sécurité, la société du monde nouveau sous le royaume triomphant de Jéhovah, notre Dieu. ”
Les témoins de Jéhovah du monde entier apprécient l’amour et le zèle de leurs frères de Shanghaï, Chine, et seront heureux de se souvenir d’eux dans leurs prières.
À Hong-Kong, l’assemblée eut un bon départ le dimanche, au Social Club, à la Nathan Road, au cœur de Kowloon, et elle fut renforcée le lundi par l’arrivée des trois frères de Manille. Frère Barry fit un beau discours dans l’après-midi pendant que frère Knorr était à la filiale, examinant avec le serviteur de la filiale les difficultés des frères dans ce territoire. Chaque minute était comptée car le programme comportait seulement deux jours à Hong-Kong. Le soir, les frères Knorr et Adams parlèrent aux frères. C’était agréable d’observer leur attention soutenue et avec quelle rapidité ils prenaient des notes ou considéraient les citations tirées de l’Écriture, dans leurs Bibles chinoises. Il y a un très beau groupe à Kowloon ainsi qu’à Hong-Kong. Un grand nombre de jeunes gens sont associés avec ces groupes et nombre d’entre eux travaillent bien dans le service, car ils prennent plaisir à étudier et à apprendre de nouvelles choses.
Cependant, à la réunion des missionnaires, le lendemain matin, on apprit qu’au cours des dernières années, beaucoup s’étaient associés avec l’organisation pendant un temps, avaient appris les vérités fondamentales et étaient tombés, soit par suite de la vive opposition de leurs familles, soit par apathie. Que pouvait-on faire ? Le seul fait, expliqua-t-on, qu’une personne commence à s’associer avec le groupe et à aller dans le champ ne signifie pas qu’elle est mûre et capable de résister à la persécution et de persévérer dans la foi. Une connaissance exacte et une association constante sont nécessaires, aussi les frères furent-ils encouragés à faire preuve de patience et d’amour envers les nouveaux en continuant à étudier avec eux jusqu’à ce qu’ils soient complètement affermis dans la vérité et aient atteint une certaine mesure de maturité.
Sous ce rapport il fut observé que la langue est encore une barrière pour les missionnaires, les empêchant de mieux servir leurs frères d’expression chinoise. Étant donné que plusieurs dialectes chinois sont parlés dans cette région et que beaucoup de gens parlent couramment l’anglais, les frères n’ont pas cru nécessaire de travailler ferme pour apprendre la langue. Cependant, aux réunions, tous les discours étaient traduits. La Tour de Garde est traduite en chinois. Il y a donc un besoin évident de communiquer avec le peuple dans la langue qu’il connaît le mieux. Des dispositions ont été prises pour que les missionnaires s’appliquent dès lors à se familiariser avec la langue, et l’on croit que cela les aidera beaucoup à servir le commun peuple. Même le groupe fut invité par frère Knorr à apporter son aide, car il conseilla aux frères de ne jamais parler aux missionnaires en anglais, mais seulement en chinois jusqu’à ce qu’ils aient appris à le parler couramment. Après ce discours, une petite Chinoise vint vers frère Knorr et lui dit qu’elle voulait qu’il apprît lui aussi le chinois, c’est pourquoi elle allait lui parler seulement en chinois. On espère que tous les frères et sœurs chinois deviendront des professeurs et les missionnaires leurs élèves dans la langue chinoise.
À la plupart des sessions, il y eut entre 80 et 100 assistants, ce qui permit de faire la connaissance de nombreux frères et d’entendre leurs expériences. Le mardi soir fut le moment le plus important de l’assemblée. Le discours public était prévu pour 20 heures au Boy Scouts Hall de Kowloon. Les proclamateurs et les missionnaires amenèrent de toutes parts leurs amis et les personnes de bonne volonté pour entendre cet important message et tous furent heureux de voir 294 assistants. Cependant le territoire a été seulement effleuré et il reste encore beaucoup de travail à faire. Les frères furent encouragés à entrer si possible dans l’œuvre de pionnier pour satisfaire au besoin de frères mûrs dans ce territoire. Et tandis que les membres de la société du monde nouveau à Hong-Kong continueront à planter et à arroser les graines de vérité, tous regarderont vers Jéhovah pour qu’il donne l’accroissement en grand nombre.
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Le mariage sous les contraintes de l’imperfectionLa Tour de Garde 1957 | 1er janvier
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les empêchaient de trouver le bonheur l’un dans l’autre. Adam avait perdu sa parfaite maîtrise de soi. C’est en dehors de l’Éden qu’il eut, pour la première fois, des relations avec son épouse. Il ne se sentit pas transporté d’allégresse au spectacle de sa femme se tordant dans les douleurs pour donner naissance à leur premier-né, un fils. Cet enfant, Caïn, devint un assassin, qui se souilla du sang de son propre frère ; il fut le meurtrier du premier témoin humain de Jéhovah, le fidèle Abel. Caïn encourut la malédiction du Dieu dont Abel était le témoin. Il fut désigné pour l’exécution, la destruction, par nul autre que Dieu. Sa vie conjugale avec une de ses sœurs dans le pays de l’Éphémère ne fut pas heureuse. — Gen. 4:1-17 ; I Jean 3:12 ; Héb. 11:2, 4 ; 12:1.
14 Adam et Ève vécurent assez longtemps pour voir se multiplier le mauvais fruit de leur union imparfaite. Aucun des mariages de leur postérité ne fut une félicité parfaite. À quoi en attribuer la responsabilité ? D’abord au fait que l’homme et son épouse n’aimèrent pas Dieu d’un amour commun et plus fort que celui qu’ils se portaient réciproquement. Par suite de ce manque d’amour, aucun d’eux ne respecta sa place de mari ou de femme, celle que Dieu leur avait assignée dans le mariage, ni n’assuma les responsabilités et les devoirs attachés à leurs rôles respectifs. Adam, en tant que chef, portait la plus lourde responsabilité dans ce drame. Le désignant comme le principal responsable de la condition de péché et de mort à laquelle nous sommes tous asservis, étant issus de leur union, la Parole du Dieu-Juge déclare : “ Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et (...) la mort s’est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché (...) La mort a régné depuis Adam. ” (Rom. 5:12-14). Ainsi le préjudice causé par les fautes commises dans ce mariage originellement institué par Dieu fut très étendu et désastreux.
15. a) Que peut-on dire du mariage de Jéhovah ? b) Quel était le dessein divin à l’égard du mariage humain ? En signe de cela, que fit Dieu aux jours de Noé ?
15 Loin de se rompre, le mariage de Jéhovah avec son épouse-organisation, la communauté universelle céleste, est éclairé par le bonheur. Il a été très fécond, en dépit de toutes les entreprises de Satan, le briseur de mariages. La postérité de la femme de Jéhovah a vu le jour. Elle écrasera bientôt la tête du Serpent et veillera à ce que la souveraineté du Très-Haut sur l’univers soit exaltée. Connaissant le bonheur nuptial, Jéhovah Dieu voulait originellement que la vie conjugale de ses fils et serviteurs fidèles fût également heureuse, à l’abri des “ tribulations de la chair ”, aujourd’hui inévitables par suite de l’imperfection des couples et du fait qu’ils vivent dans un monde dont le dieu est Satan le Diable (I Cor. 7:28). En signe de cela, aux jours de Noé, Dieu extermina tous les ménages faisant partie du monde corrompu d’alors en les engloutissant dans les eaux du déluge qui s’élevèrent à hauteur de montagne et subsistèrent toute une année solaire. En ces jours-là, “ les hommes (...) se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ”. Dieu n’épargna que quatre couples, tous témoins de Jéhovah, à savoir Noé et sa femme, ainsi que leurs trois fils mariés chacun à une femme. — Luc 17:26, 27.
16. a) Quelles furent, en ce qui concerne le mariage, les circonstances qui régnèrent aussitôt après le déluge ? b) Quelle fut la bénédiction divine sur les survivants ? Que signifiait-elle ?
16 Le monde antédiluvien était entièrement disparu quand les quatre couples débarquèrent de l’arche sur le mont Ararat pour donner un nouveau départ à la vie sur la terre purifiée. Les circonstances étaient alors à peu près comparables à celles que connurent Adam et Ève en Éden. Toute la terre était vide d’humains, c’est pourquoi Dieu les bénit et leur ordonna de procréer et de remplir la terre. À l’exception des quatre couples humains sur le mont Ararat, il n’y avait aucun homme sur la terre. Ainsi, confirmant son dessein originel envers la terre, Dieu bénit les quatre couples survivants, après qu’ils eurent rétabli le culte de Jéhovah sur la terre sèche. Il est écrit : “ Dieu bénit Noé et ses fils, et leur dit : Soyez féconds, multipliez, et remplissez la terre (...) Et vous, soyez féconds et multipliez, répandez-vous sur la terre et multipliez sur elle. ” (Gen. 9:1-7). Cela signifiait la formation de nombreux mariages dans les millénaires à venir. Aujourd’hui la terre fourmille d’humains et les mariages se multiplient. Les contraintes de l’imperfection et des conditions ont créé de multiples problèmes conjugaux complexes. Comment les résoudre d’une façon qui soit agréable à Jéhovah et qui apporte un bonheur durable ? Les prochains numéros de La Tour de Garde expliqueront plus particulièrement les solutions qui leur sont données au sein de la société du Monde Nouveau.
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