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  • Pourquoi faire confiance à autrui ?
    La Tour de Garde 1977 | 15 octobre
    • de leurs faiblesses, ils le regrettent profondément.

      Dans la congrégation chrétienne, les anciens doivent être particulièrement attentifs à garder la bonne attitude vis-à-vis de leurs frères. S’ils restent conscients du fait que ceux-ci désirent sincèrement faire ce qui est bien, ils ne seront pas prompts à les réprimander pour de petites erreurs involontaires. Ils éviteront aussi de donner l’impression que rien ne sera fait convenablement s’ils n’exercent pas une surveillance permanente sur tout le monde. Celui qui s’attache à accomplir fidèlement son travail mérite certainement d’être traité comme une personne digne de confiance.

      Qui plus est, les anciens devraient consulter ceux qui sont éventuellement plus doués qu’eux-​mêmes sous le rapport des aptitudes, des possibilités ou de la perspicacité (Prov. 15:22). Il n’y a évidemment pas lieu d’être fier quand, après s’être lancé dans un projet, on le voit se terminer par un échec. Par contre, celui qui cherche à tirer parti des connaissances ou des possibilités d’autrui fait preuve de sagesse. Par son attitude humble, il contribue beaucoup à développer un esprit de coopération, augmentant ainsi le nombre de ceux qui partageront la joie que procure un travail bien fait.

      De même, le mari qui sait faire confiance à sa femme contribue beaucoup à préserver le bonheur de son foyer. La femme qui se voit refuser une liberté d’action suffisante dans l’accomplissement de ses diverses responsabilités ne trouve bientôt plus de joie dans son travail. Ne pouvant agir à la mesure de ses connaissances, de ses dons ou de ses aptitudes, elle éprouve un sentiment de frustration. Si au contraire son mari s’en remet à elle pour la conduite de certaines affaires importantes, elle aura à cœur de s’en occuper de façon à ce qu’il en retire la plus grande satisfaction.

      Il est bon également que les parents observent ce principe dans leurs rapports avec leurs enfants. Ils peuvent, par exemple, les aider à comprendre que les privilèges et les responsabilités qu’ils leur confient sont autant de marques de confiance. Voyant cela, les enfants seront plus enclins à démontrer par leur conduite que la confiance de leurs parents n’était pas mal placée.

      Oui, savoir faire confiance aux autres peut donner d’excellents résultats. Aussi avons-​nous de bonnes raisons de suivre l’exemple de Jéhovah Dieu sous ce rapport. Et de surcroît, nous devrions nous efforcer de ne pas décevoir ceux qui se fient en nous. Si nous savons faire confiance à notre prochain tout en lui prouvant que lui aussi peut compter sur nous, nous contribuerons beaucoup à maintenir de bonnes relations avec nos compagnons.

  • Questions des lecteurs
    La Tour de Garde 1977 | 15 octobre
    • Questions des lecteurs

      ● Ma femme, qui n’est pas un serviteur de Dieu, aime un autre homme. Serait-​il convenable que je divorce d’avec elle du fait qu’elle a probablement ‘commis l’adultère dans son cœur’, comme l’a mentionné Jésus dans Matthieu 5:28 ?

      En prononçant ces paroles consignées dans Matthieu 5:28, Jésus n’a pas fait de “l’adultère spirituel”, comme certains l’ont appelé, une cause de divorce.

      Notez les paroles de Jésus : “Vous avez entendu qu’il a été dit : ‘Tu ne commettras pas d’adultère.’ Mais moi je vous dis que quiconque continue à regarder une femme au point de la désirer, a déjà commis, dans son cœur, l’adultère avec elle.” — Mat. 5:27, 28.

      Le Christ expliquait ici que le septième des Dix Commandements aurait dû signifier davantage pour ses auditeurs juifs que la simple interdiction de l’acte physique de l’adultère (Ex. 20:14 ; Deut. 5:18). Il montra que la transgression prend sa source dans le cœur d’une personne. Comme Jacques l’expliqua par la suite, les mauvais désirs du cœur peuvent conduire à des actes de péché, ce qui est souvent le cas (Jacq. 1:14, 15 ; Prov. 6:25). C’est ce qui arriva à David qui, fixant ses regards sur la femme d’un autre homme, se mit à la désirer, ce qui l’amena à commettre le péché d’adultère (II Sam. 11:2-4). Jésus exhorta donc ses auditeurs à éviter, non seulement de commettre une action qui en elle-​même est répréhensible, mais également de nourrir des désirs coupables pouvant conduire à des actes de péché.

      Si quelqu’un, homme ou femme, cultive de tels désirs sensuels (“continue à regarder une femme”), Dieu s’en aperçoit, car il “voit ce qu’est le cœur”. (I Sam. 16:7 ; Prov. 24:12 ; Héb. 4:13.) Dieu n’ignore pas que celui qui, au fond de lui-​même désire commettre l’immoralité, n’a peut-être tout simplement pas encore eu l’occasion de concrétiser son désir par des actes. Cette personne est donc déjà coupable aux yeux de Dieu.

      Mais ce désir adultère constitue-​t-​il en lui-​même un motif biblique permettant au conjoint de cette personne d’obtenir le divorce, et ainsi d’être libre de se remarier ? Non. Jésus n’a pas donné le droit aux humains de régler les choses sur la base des désirs qu’une personne a peut-être dans son cœur. Par exemple, l’apôtre Jean écrivit que “quiconque hait son frère est un homicide”. (I Jean 3:15.) Toutefois, les anciens d’une congrégation chrétienne ne peuvent exclure pour meurtre quelqu’un qui, pensent-​ils, a peut-être une certaine mesure de haine dans le cœur. Contrairement à Dieu, ils ne possèdent pas la capacité de lire dans les cœurs, ni le pouvoir de juger.

      Par conséquent, quand Jésus déclara que le seul motif de divorce reconnu par les Écritures était la “fornication” (en grec, pornéïa, qui désigne l’immoralité sexuelle), il entendait des actes physiques impurs. — Mat. 19:9.

      Si votre femme est disposée à raisonner, peut-être pourriez-​vous discuter ensemble de cette vérité. Dieu, qui est notre Créateur, sait quelle voie est la meilleure pour les humains, et c’est donc en connaissance de cause qu’il nous certifie que si nous nous engageons dans une voie immorale, nous n’en retirerons aucun bonheur durable. Ceci se confirme quand nous considérons franchement les effets produits par l’immoralité dans la vie de la plupart de ceux qui l’ont pratiquée. La voie de la sagesse consiste donc à agir rapidement pour redresser les choses, en rejetant les désirs impurs avant qu’ils ne nous conduisent aux actes immoraux et au chagrin qui en découle. Même les “idées romantiques” dont on entoure l’amour physique impur entravent les efforts d’une personne qui désire atteindre le bonheur dans sa situation véritable.

      Quand des problèmes surgissent dans le mariage, chacun des deux conjoints peut généralement faire quelque chose pour consolider les liens matrimoniaux et ranimer l’amour réciproque qui les a conduits au mariage. Dans cet ordre d’idées, peut-être pouvez-​vous, votre femme et vous, examiner ensemble le contenu des différents articles regroupés sous le titre “Comment résoudre les problèmes familiaux”, dans le périodique Réveillez-vous ! du 22 octobre 1974.

  • En qui peut-on avoir confiance ?
    La Tour de Garde 1977 | 15 octobre
    • En qui peut-​on avoir confiance ?

      Peut-​on faire confiance au boucher, à l’avocat, à l’homme politique ou au prêtre ? La malhonnêteté est partout. Nous avons grand besoin de pouvoir faire confiance à quelqu’un ou à quelque chose.

      La Tour de Garde et Réveillez-vous ! disent la vérité. Vous pouvez leur faire confiance. Pourquoi ? Parce qu’ils se basent entièrement sur la Bible. Lisez-​les régulièrement.

      Renvoyez le coupon-réponse ci-dessous à l’une des adresses indiquées à la deuxième page de ce périodique.

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