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    • Jéhovah manifesta son approbation et les confirma dans leur fonction en faisant sortir un feu miraculeux de la colonne de nuée située au-dessus du tabernacle, feu qui consuma ce qui restait du sacrifice sur l’autel. — Lév. 9:23, 24.

      La Bible ne signale pas de cérémonie d’installation pour les successeurs d’Aaron. À l’évidence, une seule cérémonie d’installation suffisait pour que la maison aaronique et tous ses descendants mâles soient établis dans leurs fonctions sacerdotales une fois pour toutes et pour des temps indéfinis, jusqu’à l’installation du grand prêtre véritable et éternel, Jésus Christ. — Héb. 7:12, 17; 9:11, 12; voir GRAND PRÊTRE; PRÊTRE.

  • Instructeur public
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    • INSTRUCTEUR PUBLIC

      Voir SCRIBE.

  • Instruction
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    • INSTRUCTION

      (dérivé de l’hébreu yârâh, “instruire” ou “enseigner”; gr. païdéuô, “instruire, corriger, châtier, discipliner”; katêkhéô, “instruire de vive voix, enseigner, renseigner”).

      Jéhovah est la source de l’instruction (És. 2:3; Michée 4:2). La Bible constitue son manuel d’enseignement (Ps. 119:105; II Tim. 3:16; Rom. 15:4). Jésus Christ, qui est “le chemin, et la vérité, et la vie”, instruit ceux qui s’approchent du Père par son entremise. — Jean 14:6.

      On peut aussi puiser de l’instruction dans ce qu’on appelle parfois “le livre de la création”, à condition toutefois de l’étudier convenablement (Ps. 19:1-4; Rom. 1:20; 10:18). Job déclara à ses compagnons qu’ils pourraient s’instruire en se tournant vers le règne animal (Job 12:7, 8). Cependant, l’instruction qui se dégage de la création physique ne peut à elle seule dispenser la sagesse de Dieu au chercheur. Pour l’acquérir, celui-ci doit encore posséder la crainte de Jéhovah, qui est ‘le commencement de la connaissance et de la sagesse’, et ajouter à l’étude des œuvres de Dieu l’examen de sa Parole. — Job 28:13-28; Prov. 1:7; Ps. 111:10; Prov. 30:5; És. 8:20.

      Pour apporter un profit maximal à celui qui la reçoit, l’instruction doit comprendre le châtiment, la correction, la discipline, comme les termes hébreux et grecs le laissent entendre. Certes, la discipline n’est pas toujours facile à accepter, mais quand quelqu’un réagit favorablement à cette forme d’instruction, elle lui rapporte alors “un fruit paisible, savoir la justice”. (Héb. 12:7-11.) Un enseignant plein d’amour instruira aussi ses élèves par l’exemple. Toutefois, si l’instructeur est essentiellement motivé par son salaire, comme l’étaient les prêtres au temps de Michée, il ne pourra donner le bon exemple ni former correctement ses disciples (Michée 3:11). Enfin, l’instruction que l’on va chercher au pied des idoles, auprès des spirites, des magiciens, des diseurs de bonne aventure et de leurs pareils est bien la plus douteuse, car elle vient en réalité des démons, les ennemis de Dieu (Hab. 2:19; I Cor. 10:20; És. 8:19; 2:6; Rév. 22:15). Les Écritures nous mettent en garde non seulement contre de telles sources de renseignements, mais encore contre la philosophie du présent monde. — Col. 2:8; I Tim. 6:20.

      La Bible annonce que, durant le règne millénaire du Christ, des rouleaux destinés à l’instruction seront ouverts pour le jugement de l’humanité. — Rév. 20:12.

  • Instrument à corde
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    • INSTRUMENT À CORDE

      {Article non traduit.}

  • Instruments agricoles
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    • INSTRUMENTS AGRICOLES

      Bien que la Bible parle de diverses opérations agricoles, elle ne décrit pas par le détail les instruments utilisés pour cultiver la terre. Cependant, les images d’instruments agricoles qui figurent sur les monuments égyptiens, ainsi que les spécimens retrouvés en Égypte et en Palestine complètent dans une certaine mesure le texte de la Bible sous ce rapport. En outre, il existe une grande similitude entre les instruments agricoles simples qu’on utilise aujourd’hui encore dans différentes régions d’Égypte et ceux qu’on emploie en Palestine. Or, nous savons que les siècles écoulés n’ont guère modifié les outils agricoles d’Égypte. Tout cela pèse en faveur de la conclusion suivante: les instruments agricoles dont on fait toujours usage dans plusieurs régions de Palestine ressemblent beaucoup, eux aussi, à ceux que l’on y utilisait dans l’Antiquité.

      La petite charrue de bois dont on se sert encore dans quelques régions des pays bibliques a subi peu de transformations au fil des siècles. C’est ce qui ressort quand on la compare aux charrues dessinées sur d’anciens monuments et même sur des tablettes d’argile. La charrue n’était pas équipée de roues ni destinée à retourner un sillon. Elle éraflait seulement la surface du sol sur une profondeur d’environ huit à dix centimètres. Exception faite du soc métallique, elle était entièrement en bois (voir I Samuel 13:20; I Rois 19:19, 21; Ésaïe 2:4). Le bâton auquel le soc était attaché constituait à lui seul la pièce principale de la charrue. Les socs (en forme de pointe) de cuivre et de bronze que l’on a retrouvés au cours de fouilles effectuées en Palestine sont généralement très bosselés par l’usage.

      La Bible mentionne particulièrement les cisailles à émonder à propos de la taille de la vigne (És. 18:5). Puisque les Écritures parlent de forger les lances en cisailles à émonder et, réciproquement, de changer les cisailles à émonder en lances, on peut penser que cet outil consistait en une lame acérée comme celle d’un couteau, emmanchée dans une poignée, et qu’il ressemblait à une faucille. — És. 2:4; Joël 3:10.

      On se servait essentiellement de faucilles pour récolter les céréales sur pied. Cependant, la Bible parle également de jeter la faucille pour vendanger la vigne (Joël 3:13; Rév. 14:18). Les faucilles que l’on a découvertes en Palestine sont légèrement recourbées. Certaines se composent de morceaux de silex dentelés mis bout à bout et fixés avec du bitume dans un châssis de bois ou d’os. On a aussi trouvé des lames de faucille en fer attachées à un manche par des rivets, par une soie ou une mortaise.

      Les fourches utilisées pour le vannage (És. 30:24; Jér. 15:7) étaient vraisemblablement en bois et comportaient plusieurs dents recourbées, comme celles qui étaient encore en usage à une époque plus récente.

      La herse n’est pas citée dans la Bible, mais le hersage, en revanche, est décrit comme une opération distincte du labourage (Job 39:10; És. 28:24; Osée 10:11). La herse des temps modernes est essentiellement conçue pour réduire les mottes et niveler le terrain, bien qu’on s’en serve également pour amender le sol, enfouir les semences et désherber. Autrefois, on tirait peut-être une planche alourdie ou un rondin sur le champ labouré pour briser les mottes et égaliser le sol.

      Les houes servaient à arracher les mauvaises herbes et sans doute aussi à briser les mottes de terre. Certains textes prophétiques montrent clairement qu’on utilisait la houe pour sarcler les vignes. — És. 5:5, 6; 7:23-25.

      Avec une pelle à vanner, probablement en bois, on lançait le grain battu en l’air, de façon que le vent emporte la paille et la bale. — Mat. 3:12.

      On avait vraisemblablement recours à une pioche pour remuer la terre et ameublir le sol. C’était l’un des outils que les Israélites devaient aller faire aiguiser chez les Philistins aux jours de Saül (I Sam. 13:20, 21). On a découvert des pioches de bronze et de fer qui offrent quelque ressemblance avec les hoyaux d’aujourd’hui.

      Le traîneau à battre servait à faire sortir le grain de l’épi. Cet instrument ressemblait probablement aux deux genres de traîneau qui sont encore en usage dans certaines régions bibliques. L’un d’eux se compose de planches de bois attachées les unes aux autres et relevées sur la partie antérieure. Au-dessous, le traîneau est pourvu de pierres ou de pointes acérées (voir I Chroniques 21:23; Job 41:30; Ésaïe 41:15). L’homme qui le dirige se tient dessus pour le rendre plus lourd. L’autre modèle comprend un siège pour le conducteur. Il s’agit d’un châssis de chariot bas dans lequel sont disposés parallèlement deux ou trois rouleaux ou cylindres tournants armés de dents de fer. — Voir Ésaïe 28:27, 28.

      [Illustration, page 716]

      Charrue syrienne qui ressemble sans doute à celles qu’on employait jadis en Palestine.

      [Illustration, page 717]

      Fourche et pelle à vanner.

  • Insulte
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    • INSULTE

      Les mots grecs loïdoréô et kakologéô emportent fondamentalement l’idée d’insulter quelqu’un, de l’accabler d’injures.

      Pour les Israélites, insulter ses parents ou appeler le mal sur eux était une faute qui méritait la mort (Ex. 21:17; Mat. 15:4; Marc 7:10). Les blessures infligées à des parents, tout comme les insultes, venaient d’un cœur mauvais; leur auteur encourait donc le même châtiment (Ex. 21:15). Puisque les parents représentaient Jéhovah auprès de leurs enfants, celui qui insultait ses parents insultait en fait Dieu. — Voir Exode 20:12.

      Il fallait aussi témoigner aux chefs d’Israël le respect qui leur était dû. C’est pourquoi, bien qu’ayant été traité injustement, l’apôtre Paul s’excusa de s’être adressé au grand prêtre, qu’il n’avait pas reconnu, en des termes que les autres personnes présentes avaient jugés insultants. — Ex. 22:28; Actes 23:1-5.

      Les propos délibérément injurieux n’avaient pas leur place chez les chrétiens du premier siècle (I Cor. 6:9, 10; I Pierre 3:8, 9). Celui qui, habituellement et intentionnellement, insultait d’autres chrétiens devait être exclu de la congrégation. — I Cor. 5:11-13.

      Les disciples de Jésus Christ qui, dans le monde, paraissaient insignifiants et étaient impopulaires en raison de leur activité et de leur message, étaient souvent insultés (voir Jean 9:28, 29; 17:14; I Corinthiens 1:18; 4:11-13). Mais ils ne devaient pas se venger en insultant leurs ennemis. Jésus Christ leur avait donné l’exemple dans ce domaine (I Pierre 2:21, 23). Il fut accusé d’être un buveur de vin, un glouton, un suppôt du Diable, un transgresseur du sabbat et un blasphémateur, mais il ne rendit pas l’insulte pour l’insulte à ses accusateurs (Mat. 11:19; 26:65; Luc 11:15; Jean 9:16). Quand, en présence de Pilate, les Juifs l’accusèrent faussement, il garda le silence (Mat. 27:12-14). L’attitude du chrétien qui imitait le Christ pouvait avoir un heureux effet sur certains ennemis, les incitant à reconnaître que leurs insultes n’étaient pas justifiées et les amenant peut-être même à glorifier Dieu. — Voir Romains 12:17-21; I Pierre 2:12.

      Les chrétiens devaient veiller à avoir une excellente conduite, afin de ne pas donner à leurs ennemis des raisons de les insulter. C’est ce qu’a montré l’apôtre Paul à propos des jeunes veuves de la congrégation. Comme elles avaient facilement tendance à bavarder et à se mêler des affaires d’autrui, l’apôtre les encouragea à se marier et à être bien occupées à élever leurs enfants et à diriger leur maisonnée. Ayant alors beaucoup à faire, ces veuves ne fourniraient aucun prétexte à un ennemi pour insulter les chrétiens parce qu’ils seraient bavards et se mêleraient des affaires d’autrui. — I Tim. 5:13, 14.

      Certains hommes qui n’accompagnaient pas Jésus lorsqu’il était sur la terre montrèrent néanmoins par leurs actions qu’ils étaient ‘de son côté’ et qu’ils ne s’empressaient pas de se joindre à ses ennemis pour l’insulter. Tel était le cas d’un homme qui expulsait les démons en faisant usage du nom de Jésus. Il avait vraisemblablement reçu ce pouvoir de Dieu. Jean et les autres apôtres conclurent qu’il fallait l’empêcher de continuer puisqu’il ne les suivait pas. Mais Jésus leur dit: “Ne cherchez pas à l’empêcher, car il n’est personne qui, faisant une œuvre de puissance en se servant de mon nom, puisse tout de suite m’insulter.” (Marc 9:38-40). Quand Jésus prononça ces paroles, la congrégation juive était toujours reconnue par Dieu et la fondation de la congrégation chrétienne était encore à venir (voir Matthieu 16:18; 18:15-17). De plus, Jésus n’exigeait pas que tous ses disciples le suivent en personne (Marc 5:18-20). Par conséquent, les œuvres puissantes que pouvait accomplir un Juif, membre du peuple de l’alliance de Dieu, en faisant usage du nom de Jésus, étaient alors une preuve qu’il avait l’approbation divine. Cependant, une fois que la congrégation chrétienne eut été fondée, quiconque désirait obtenir la faveur de Dieu devait se joindre à cette congrégation et devenir disciple de Jésus Christ (voir Actes 2:40, 41). Les seules œuvres puissantes accomplies en faisant usage du nom de Jésus n’étaient plus une preuve que leur auteur était du côté de Jésus Christ, ni une garantie qu’il n’insulterait pas le Fils de Dieu. — Mat. 7:21-23.

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