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    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • des individus qui, comme les humains, jouissaient du libre arbitre; ils avaient la capacité de choisir entre le bon et le mauvais (Gen. 6:2, 4; II Pierre 2:4). Par ce choix personnel, des hordes d’anges se joignirent ainsi à Satan dans sa rébellion. — Rév. 12:7-9; Mat. 25:41.

      LEURS POUVOIRS ET LEURS PRIVILÈGES

      Puisque Dieu a créé l’homme “quelque peu au-dessous des anges” (Héb. 2:7), ceux-ci ont des capacités mentales supérieures à celles des humains. Ils ont aussi une force suprahumaine. “Bénissez Jéhovah, ô vous, ses anges, puissants par la force, qui exécutez sa parole.” La connaissance et la force des anges furent rendues manifestes quand deux d’entre eux provoquèrent la destruction par le feu de Sodome et Gomorrhe. Un seul ange tua également 185 000 soldats assyriens. — Ps. 103:20; Gen. 19:13, 24; II Rois 19:35.

      D’autre part, les anges sont capables de se déplacer à des vitesses prodigieuses, bien au delà des limites du monde physique. Ainsi, un jour que Daniel priait, Jéhovah envoya un ange pour exaucer sa prière, et cet ange arriva quelques instants après, avant même que Daniel eût fini de prier. — Dan. 9:20-23.

      Cependant, les capacités mentales et spirituelles des anges, aussi grandes soient-​elles, ont des limites. Ainsi, selon Jésus, ils ne connaissaient pas ‘le jour et l’heure’ où le présent système de choses sera balayé (Mat 24:36). Ils s’intéressent vivement à la réalisation des desseins de Jéhovah, mais ils n’en comprennent pas certains aspects (I Pierre 1:12). Ils se réjouissent quand un pêcheur se repent et ils regardent le “spectacle théâtral” que sont les chrétiens dans leur activité publique sur la scène du monde. Ils observent aussi le bon exemple que donnent les chrétiennes quand elles portent sur la tête un signe de soumission. — Luc 15:10; I Cor. 4:9; 11:10.

      En tant que serviteurs de Jéhovah, les anges ont reçu de nombreux privilèges au cours des siècles. Dans l’accomplissement de leur service, ils sont intervenus en faveur d’Abraham, de Jacob, de Moïse, de Josué, d’Ésaïe, de Daniel, de Zacharie, de Pierre, de Paul et de Jean, pour n’en citer que quelques-uns (Gen. 22:11; 31:11; Josué 5:14, 15; És. 6:6, 7; Dan. 6:22; Zach. 1:9; Actes 5:19, 20; 7:35; 12:7, 8; 27:23, 24; Rév. 1:1). Par leurs messages, ils ont apporté leur contribution à la rédaction de la Bible. Selon la Révélation, qui mentionne plus souvent les anges que n’importe quel autre livre de la Bible, Jean vit d’innombrables anges autour du grand trône de Jéhovah. Sept anges firent sonner sept trompettes, tandis que sept autres versaient les sept bols de la colère de Dieu. Un ange qui volait au milieu du ciel avait “une bonne nouvelle éternelle”, et un autre annonçait que “Babylone la Grande est tombée”. — Rév. 5:11; 7:11; 8:6; 14:6, 8; 16:1.

      Ils servent et soutiennent le Christ et ses disciples

      Les saints anges de Dieu suivirent avec grand intérêt, et du commencement jusqu’à la fin, le séjour de Jésus sur la terre. Ils annoncèrent sa conception et sa naissance, et ils le servirent après qu’il eut jeûné pendant quarante jours. Un ange fortifia Jésus après que celui-ci eut prié dans le jardin de Gethsémané, la dernière nuit de sa vie d’homme. Quand la foule vint pour l’arrêter, pas moins de douze légions d’anges étaient prêts à intervenir à son commandement. Des anges annoncèrent également sa résurrection et assistèrent à son ascension au ciel. — Mat. 4:11; 26:53; 28:5-7; Luc 1:30, 31; 2:10, 11; 22:43; Actes 1:10, 11.

      Après cela, des messagers spirituels de Dieu continuèrent à intervenir en faveur de ses serviteurs sur la terre, ce que Jésus avait promis en ces termes: “Ayez donc soin de ne mépriser aucun de ces petits, car, je vous le dis, leurs anges au ciel voient continuellement la face de mon Père.” (Mat. 18:10). “Ne sont-​ils pas tous des esprits pour le service public, envoyés pour servir ceux qui vont hériter le salut?” — Héb. 1:14.

  • Angle (Porte de l’)
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    • ANGLE (PORTE DE L’)

      {Article non traduit.}

  • Aniam
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    • ANIAM

      {Article non traduit.}

  • Anim
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    • ANIM

      {Article non traduit.}

  • Animaux
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    • ANIMAUX

      Jéhovah Dieu forma tous les animaux en créant au départ les divers spécimens de chaque espèce ou famille animale. En effet, le récit biblique nous affirme que Dieu fit chacun “selon son espèce”. (Gen. 1:25.) Dans cet article, nous traiterons particulièrement des animaux terrestres.

      Puisque Dieu accorda à l’homme parfait la domination sur les différentes créatures de la terre, il était logique qu’Adam reçut le privilège de leur donner un nom (Gen. 1:26; 2:19, 20). Mais, en réalité, l’homme se voyait confier une gestion pour laquelle il allait toujours devoir rendre des comptes à Dieu. — Luc 12:48.

      De par leur création même, les animaux allaient rester dans la crainte et la terreur vis-à-vis de l’homme, qui leur est supérieur (Gen. 9:2, 3). D’après les naturalistes, les créatures sauvages, telles que le léopard ou le cobra royal, préfèrent habituellement fuir la présence de l’homme, bien qu’elles puissent attaquer celui-ci quand elles sont excitées, blessées, acculées ou surprises. On a laissé entendre que le tigre ne devient mangeur d’hommes qu’en raison des circonstances, par exemple lorsque, étant trop vieux ou blessé, il n’est plus capable d’attaquer ses proies habituelles, ou encore lorsque l’homme a détruit le gibier dont il se nourrissait habituellement.

      Déjà avant le déluge, l’homme tuait des animaux pour se faire des vêtements et pour offrir des sacrifices (Gen. 3:21; 4:4). Mais ce n’est qu’après le cataclysme universel que Noé et sa famille reçurent de Jéhovah l’autorisation d’ajouter la chair animale à leur nourriture, à condition toutefois de la vider de son sang (Gen. 9:3, 4). Si l’homme n’agissait pas mal en tuant des animaux pour se procurer la nourriture dont il avait besoin, il n’avait pas pour autant le droit de tuer inutilement, pour le simple plaisir de chasser ou en guise de prouesse, ce que fit sans aucun doute Nimrod, qui se rebella contre Dieu. — Gen. 10:9.

      Certains prétendent que la présence d’animaux dans des régions isolées de la terre, telles que l’Australie et la Nouvelle-Zélande, est une preuve que le déluge n’a pas provoqué la destruction de tous les animaux qui n’étaient pas dans l’arche. Cependant, les découvertes océanographiques nous permettent de croire qu’à une certaine époque des continents aujourd’hui séparés étaient reliés les uns aux autres par des crêtes ou dorsales Par exemple, les recherches océanographiques dont parle René Malaise ont abouti à des découvertes qui laissent entendre qu’il y avait autrefois une “dorsale médio-atlantique”. Il est donc possible qu’il y eut ailleurs d’autres dorsales qui permirent aux animaux d’émigrer avant qu’elles ne s’abaissent et disparaissent sous les eaux. D’autres études océanographiques ont apporté des preuves qu’à une certaine époque il y avait un immense continent là où est aujourd’hui le Pacifique Sud et qu’il englobait l’Australie et un grand nombre d’îles des mers du Sud. S’il en a bien été ainsi, les animaux n’eurent alors aucune peine à émigrer dans ces pays.

      ANIMAUX PURS ET IMPURS

      On note une certaine classification des animaux dans les instructions que Jéhovah donna à Noé, afin qu’il prenne avec lui dans l’arche sept individus de toute bête pure et deux de toute bête impure, mâle et femelle (Gen. 7:2, 3, 8, 9). Puisque Dieu n’avait pas encore autorisé les hommes à manger de la viande, cette distinction entre animaux purs et impurs se fit probablement d’après ce que Jéhovah jugeait convenable pour les sacrifices. C’est pourquoi, lorsqu’il sortit de l’arche, Noé sut très bien distinguer les animaux purs qu’il convenait d’offrir sur l’autel (Gen. 8:20). À cette époque-​là, il n’y avait aucune restriction quant aux animaux que Noé et sa famille pouvaient manger ou non. En effet, Jéhovah leur dit: “Tout animal qui se meut et qui est vivant pourra vous servir de nourriture.” — Gen. 9:3.

      La loi que Dieu donna plus tard aux Israélites introduisit donc une distinction nouvelle en décrétant que certains animaux pouvaient être mangés, alors que d’autres, jugés impurs, étaient interdits à la consommation. L’Écriture donne ces précisions: “Toute créature qui a le sabot divisé et qui présente une fente aux sabots et qui rumine parmi les bêtes, voilà ce que vous pourrez manger.” (Lév. 11:3). “Tu ne devras manger aucune chose détestable, d’aucune sorte. Voici la sorte de bête que vous pourrez manger: le taureau, le mouton, et la chèvre sauvage, et l’antilope, et le mouflon, et le chamois; et toute bête qui a le sabot divisé et qui présente une fente formant deux sabots, et qui rumine parmi les bêtes.” — Deut. 14:3-6.

      Les animaux qui ne remplissaient pas une ou plusieurs de ces conditions requises ne pouvaient être mangés par ceux qui étaient soumis aux exigences de l’alliance de la Loi. Parmi ces animaux interdits figuraient le daman, le lièvre, le porc et le chameau. Il était également interdit de manger un animal “qui marche sur ses pattes”, catégorie qui incluait sans doute le lion, l’ours et le loup. — Lév. 11:4-8, 26, 27; Deut. 14:7, 8.

      Ces restrictions dans le domaine de l’alimentation ne s’appliquaient qu’aux hommes qui étaient soumis aux exigences de la Loi de Moïse, car Lévitique 11:8 dit: “Ils sont impurs pour vous”, c’est-à-dire pour les Israélites. Quand, grâce à la mort sacrificielle de Jésus Christ, la Loi fut abrogée, ces interdictions furent annulées, et tous les humains purent de nouveau s’en tenir aux dispositions très larges que Dieu fit connaître à Noé après le déluge. — Col. 2:13-17; Gen. 9:3, 4.

      Puisque les restrictions relatives aux aliments impurs furent abolies en même temps que le reste de la Loi, on peut se demander pourquoi, trois ans et demi après, Pierre n’avait encore jamais mangé d’animaux ‘impurs’. (Actes 10:10-15.) N’oublions pas que l’annulation de la Loi amena de grands changements dans la vie des disciples du Christ. Il leur fallut donc naturellement un certain temps pour en apprécier toute la signification.

      UTILISATION SYMBOLIQUE

      Les rédacteurs de la Bible se sont servis des caractères propres aux animaux, ou y ont fait allusion, pour représenter symboliquement diverses qualités ou aptitudes. Certains de ces caractères peuvent parfois symboliser de belles qualités, divines ou humaines (Ézéch. 1:10, 11; Rév. 4:6, 7). Dans d’autres exemples, des animaux sont utilisés pour représenter des puissances bestiales et sauvages qui oppriment et écrasent les peuples. — Dan. 7:2-7; 8:5-8, 20, 21; Rév. 13:1-17.

      EMPLOI ET TRAITEMENT DES ANIMAUX

      Concernant le culte prévu par la Loi de Moïse, les bovins, les moutons et les chèvres étaient au nombre des animaux qui pouvaient être offerts en sacrifice. Ils devaient toutefois être sains, et tout animal castré était rejeté (Lév. 22:23-25). On n’avait pas le droit de consommer le sang des animaux ni de l’utiliser à d’autres fins qu’aux sacrifices (Lév. 17:13, 14). Il était strictement interdit d’adorer une représentation quelconque d’un animal, pas plus d’ailleurs qu’une autre création, qu’elle qu’elle fût. — Ex. 20:4, 5.

      La Bible nous apprend à traiter les créatures inférieures avec justice et bonté. En fait, Jéhovah se présente lui-​même comme celui qui, avec amour, prend soin de leur vie et pourvoit à leur bien-être (Prov. 12:10; Ps. 145:15, 16). La Loi de Moïse ordonnait de prendre bien soin des animaux domestiques. Si quelqu’un trouvait un animal domestique égaré, il devait le ramener sain et sauf à son propriétaire. Celui qui voyait un animal domestique écrasé sous sa charge devait le dégager (Ex. 23:4, 5). Il fallait traiter les animaux avec bonté (Deut. 22:10; 25:4). Comme les humains, ils devaient bénéficier de repos sabbatiques (Ex. 20:10; 23:12; Deut. 5:14). Les animaux dangereux devaient être maîtrisés ou mis à mort (Gen. 9:5; Ex. 21:28, 29). Il était interdit de croiser des animaux d’espèces différentes. — Lév. 19:19.

      Les hommes qui craignent Dieu rangent les animaux parmi les dons généreux qu’il leur a faits pour leur bonheur. Les animaux portent leurs fardeaux, leur procurent de la nourriture et des vêtements, nettoient leur habit et les aident dans l’accomplissement de tâches vitales, telles que le labourage et la moisson. Leurs formes et leurs couleurs si variées sont un régal pour l’œil. Leurs habitudes et leur instinct constituaient et constituent toujours un champ d’investigation très vaste qui permet à l’homme

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