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  • Ce que l’homme apprend des créations de Dieu
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1962
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1962
w62 15/2 p. 51

Ce que l’homme apprend des créations de Dieu

AU COURS de son périple historique, alors qu’il évoluait sans heurt sous la calotte polaire, le sous-marin atomique Nautilus n’avait aucune visibilité et il était guidé uniquement par le son. Le Sonar informait l’équipage de ce qui se trouvait sur son chemin, permettant au sous-marin de se mouvoir “ dans le noir ”, sans danger de collision. En mesurant le temps que les ondes émises par cet appareil mettaient pour revenir en écho, le navigateur savait à quelle distance se trouvaient les obstacles. Cette découverte est vraiment étonnante, mais elle n’a pas son origine dans les laboratoires des électroniciens.

Longtemps avant que l’homme ait pensé à utiliser le son pour détecter les obstacles sous-marins, des créatures de Dieu l’utilisaient dans la même intention. Par exemple, le marsouin est un expert dans l’art de localiser les objets par l’écho. Des expériences ont révélé qu’un marsouin auquel on avait bandé les yeux pouvait se mouvoir à merveille à travers des barres et des tuyaux qui avaient été disposés dans l’eau dans laquelle il évoluait. Si une cloison de verre sépare un marsouin de sa nourriture, il est capable de détecter sa présence à l’aide du principe du Sonar. Frappez la surface de l’eau avec la main et un marsouin se trouvant à une cinquantaine de mètres de distance surgira peu après à quelques centimètres près. Sa sensibilité au son est si aiguë et si précise qu’elle surpasse tout ce que l’homme a pu faire dans ce domaine. Les savants sont en train d’étudier le comportement du marsouin pour en percer le secret.

On étudie également le comportement des chauves-souris à ce sujet car elles possèdent aussi un système de navigation par l’écho auprès duquel les systèmes humains les plus perfectionnés de ce genre semblent bien grossiers. C’est à son propos que le Scientific American écrit : “ En nos jours de triomphe technique, il est bien que nous nous rappelions de temps à autre que les mécanismes vivants sont souvent incomparablement plus efficaces que leurs imitations artificielles. Il n’existe aucune meilleure illustration que le système du Sonar des chauves-souris ; il est des milliards de fois plus efficace et plus sensible que les radars et les sonars inventés par les hommes. ” Une espèce confond l’homme en faisant ce dont il est incapable : détecter depuis l’air à l’aide du principe du Sonar des poissons se trouvant sous lui dans l’eau.

Une chauve-souris peut voler dans une chambre noire qui est obstruée par des fils tendus ou des perches, sans en heurter aucun. Par ce système de guidage, elles peuvent localiser et attraper avec une habileté surprenante un minuscule insecte qui volette dans les parages. En dépit d’un fond sonore important, elle peut capter l’écho des signaux qu’elle a émis, même si ceux-ci sont jusqu’à 2 000 fois plus faibles que le fond sonore. Les savants en demeurent stupéfaits. Ils n’ont aucune idée des moyens dont disposent les chauves-souris et ils seraient très heureux de pouvoir percer leur secret. Le Scientific American dit encore : Les chauves-souris “ ont mis au point un sélecteur d’ondes avec un système d’audition qui ne pèse seulement qu’une fraction de gramme, tandis que nous nous confions à des machines qui semblent bien encombrantes en comparaison ”. Veuillez également noter cette observation faite par le National Geographic : “ Leurs grandes oreilles détectent l’écho en retour, et un cerveau qui ne pèse pas plus que quelques grammes enregistre le moment de l’émission en même temps qu’il contrôle la vitesse et la direction de ce qui se trouve en face de lui (...) Il peut percevoir l’écho qui s’est réfléchi sur une cible aussi menue qu’un moustique ; elle le reconnaît en un éclair et fond sur lui en rien de temps. C’est là un fait que l’homme doit considérer avec respect, malgré toute sa science électronique. ”

Dans ses efforts pour dessiner des coques convenant à ses sous-marins, l’homme s’est tourné vers le marsouin et la baleine. Il désire apprendre comment un marsouin peut arriver à nager à travers les eaux à grande vitesse sans presque aucune perte d’énergie due à la turbulence. Les ingénieurs inclinent à penser que le secret repose dans la présence de la double peau du marsouin. Ils éprouvent cette théorie en expérimentant des coques de sous-marins recouvertes de gomme. En appliquant ce qu’ils apprennent de l’étude du marsouin, ils espèrent avoir autant de succès que le jour où ils ont donné la forme de la baleine aux coques de leurs sous-marins. Le premier sous-marin nucléaire à bénéficier de cette nouvelle conception est le submersible américain Skipjack. Il en est résulté une plus grande maniabilité et des vitesses plus élevées.

Dans le domaine de l’aéronautique, les oiseaux ont bien aidé les hommes à résoudre leurs problèmes concernant les “ plus-lourds-que-l’air ”. “ Les aéronautes se penchent sur les oiseaux ”, dit The Encyclopedia Americana, “ pour obtenir des suggestions sur les problèmes du vol artificiel. Ils ont accordé une attention particulière à l’équilibre et au vol de la mouette pour parvenir aux principes de la navigation aérienne. ” Il fallut longtemps à l’homme pour percer le secret du vol chez les oiseaux ; et pourtant les oiseaux ne connaissent pas les lois de l’aérodynamique ou de l’aéronautique. Celui qui conféra à leurs ailes une structure mécanique hautement perfectionnée devant leur permettre de voler leur donna aussi la connaissance instinctive du vol et de la navigation aérienne. — “ Mais, de grâce, interroge les bêtes, et elles t’instruiront, les oiseaux du ciel, et ils te l’apprendront ; demande à la terre, et elle t’enseignera ; les poissons même de la mer te le raconteront. Qui ne sait, parmi tous ces êtres, que la main de Jéhovah a fait toutes choses. ” — Job 12:7-9, AC.

Des créatures de haute intelligence ne sont pas instruites par d’autres de moindre savoir mais, plutôt, les moins instruites sont enseignées par celles qui le sont le plus. Le fait que l’homme peut appliquer à ses inventions la connaissance qu’il acquiert en étudiant des créatures muettes indique qu’il apprend à connaître l’œuvre d’une intelligence supérieure. Ses inventions peuvent porter le label suivant : “ Fait de main d’homme ”, mais ce qui l’a inspiré dans la nature pour y parvenir peut porter celui-ci : “ Fait de la main de Dieu. ”

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