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  • Pour vivre alors, choisissez maintenant
    La Tour de Garde 1952 | 15 juillet
    • Créateur, alors vous aimerez aussi le monde nouveau. Si vous êtes de ceux qui aimeraient dominer sur les animaux sans fusil, sans fouet et sans barreaux mais avec amour et dans une confiance réciproque, si vous attendez avec impatience le jour où la vache et l’ourse auront un même pâturage, où le léopard et le chevreau mangeront ensemble, où le lion comme le bœuf mangera de la paille, si vous attendez le jour où tous les animaux obéiront à la voix d’un petit enfant, alors vous aimerez le monde nouveau. Si votre cœur se réjouit à la perspective de voir le temps où des glaives et des lances on forgera des hoyaux et des serpes, où il n’y aura plus d’écoles militaires pour apprendre la guerre, ni fabriques de bombes ni fomentateurs de guerres, alors vous rendrez grâce à Dieu pour son monde nouveau qui connaîtra de tels changements. Si vous attendez le jour où cessera le règne oppressif des politiciens, où les hommes ne seront plus poussés par l’appât du gain, où ils bâtiront des maisons et les habiteront, chacun demeurant en paix sous sa vigne et sous son figuier, le jour où la terre retentira du cri joyeux des enfants, où l’atmosphère vibrante du chant des oiseaux sera embaumée du parfum des fleurs, alors ce monde nouveau vous transportera d’allégresse. Si vous désirez sincèrement voir le jour où le boiteux sautera comme un cerf, où le muet chantera, où s’ouvriront les yeux des aveugles et les oreilles des sourds, où les soupirs et les pleurs se changeront en cris de joie, où le rire remplacera les larmes et le deuil, où la santé et la vie éternelle prendront la place de la douleur et de la mort, alors rien ne pourra vous arrêter sur le chemin menant dans ce monde béni où ces conditions existeront pour toujours. — És. 2:4 ; 11:6-9 ; 35:1-10 ; 55:13 ; 65:17-25 ; Apoc. 21:1, 4.

      21. Que devrions-​nous être disposés à faire, et de quoi devrions-​nous nous rendre compte ?

      21 Nous passons la plus grande partie des vingt-quatre heures que dure un jour à nous maintenir en vie. Huit heures sont consacrées au sommeil, huit au travail afin de pourvoir à notre subsistance et de prolonger une existence faite de peines et de misères. Et maintenant, combien de temps travaillerons-​nous pour gagner la vie dans le monde nouveau ? Huit heures par jour ? La vie du monde nouveau vaut-​elle trois fois plus que celle du vieux monde et, par conséquent, mérite-​t-​elle qu’on lui consacre vingt-quatre heures de travail ? Elle ne vaut ni trois, ni cent, ni mille fois plus, mais elle est à ce point meilleure que la vie actuelle qu’elle défie toute comparaison. Nous devrions tout consacrer pour trouver la voie qui nous mènera à cette vie. Nous devrions nous rendre clairement compte que ce n’est pas en faisant sincèrement du bien tel que nous le concevons, ni en pratiquant sincèrement une forme d’adoration telle que certaines organisations religieuses la comprennent, qui nous mettra sur la voie menant à la vie dans le monde nouveau, mais il nous faut discerner que c’est l’accomplissement sincère de la volonté divine telle qu’elle est exposée dans sa Parole, la Bible, qui nous mettra sur une telle voie. Nous devrions nous rendre compte, qu’en ce jour de jugement où Christ le Roi divise les personnes de toutes les nations, comme un berger sépare les brebis d’avec les boucs, tous les hommes sont en train de déterminer leur destinée éternelle. Selon ce qu’ils font ou ne font pas, ils choisissent la vie ou la mort (Mat. 25:31-46). C’est maintenant qu’il faut choisir. Choisissez-​vous la vie ou la mort ? Quelle est la réponse que donne votre ligne de conduite ?

  • Le pape prêche l’unité contre le communisme
    La Tour de Garde 1952 | 15 juillet
    • Le pape prêche l’unité contre le communisme

      LE 12 septembre 1951, le pape lança un nouvel appel à l’unité des sectes pour la lutte contre le communisme. Dans une encyclique il désigna sa secte comme celle qui doit réaliser l’unification, reprenant ainsi le thème du “ grand retour ” qui caractérisa l’“ Année sainte ” de 1950. Il avait alors affirmé que tous ceux qui “ étaient séparés depuis longtemps du Saint-Siège ” seraient cordialement accueillis à leur retour.

      Rome se vante de son unité, mais en réalité elle fut depuis le début déchirée par des divisions, témoin le schisme orthodoxe grec et la Réforme protestante. Son histoire est pleine de compromis conclus tant sur le plan politique que religieux, dans un effort désespéré pour subsister. En est-​il autrement aujourd’hui dans sa lutte contre le communisme dont le pape parla comme des “ assauts violents de l’infernal ennemi ”?

      Non, car au moment même où l’on publiait l’encyclique papale, les “ assauts violents ” du communisme athée brisaient les chefs de l’opposition catholique derrière le rideau de fer de l’Europe orientale. Dans son édition du 22 septembre 1951, le Saturday Evening Post relatait l’effondrement du catholicisme dans un pays après l’autre, en Pologne, en Hongrie, en Tchécoslovaquie, en Roumanie, en Albanie et en Yougoslavie. À maintes reprises, des prélats catholiques ont accepté de prêcher serment de fidélité à des régimes athées, faisant seulement une légère restriction mentale qui théoriquement n’était pas grand-chose et pratiquement moins encore. Maintenant, dans quelques pays, d’actives organisations de “ prêtres renégats ” dénoncent ouvertement et avec violence l’influence de Rome.

      Suivant leur tactique, les communistes ont soigneusement éliminé de la hiérarchie catholique officielle de chacun de ces pays les personnes opposées en principe à l’Église et l’État en ne laissant que celles qui étaient disposées à collaborer pleinement avec le “ nouvel ordre ” rouge. Le cas de la Pologne, tel que nous le relate l’article du Post, est typique. En avril 1950, la hiérarchie catholique polonaise montra comment elle concevait l’unité inébranlable sous le feu de l’ennemi. Cédant sur toute la ligne à la pression, elle condamna officiellement toute attitude “ antigouvernementale ”, promettant d’inculquer la loyauté dans l’esprit de ses ouailles et de punir tout prêtre indocile qui ne s’alignerait pas. À cette nouvelle, Rome dit-​on, commença par être stupéfiée. Après quoi elle battit en retraite par une série d’opérations de retardement plus ou moins claires. Elle répliqua qu’elle pouvait souffrir toutes les concessions, tant que l’on n’abandonnait ni le dogme ni le principe moral. Mais si le fait de renoncer à la liberté d’adoration sous la pression d’un dictateur rouge n’est pas un abandon de “ principe moral ”, qu’est-​ce donc ?

      L’unité fait la force. Mais l’unité nécessaire pour combattre un agresseur impie doit être édifiée sur la Parole de Dieu et sur une pieuse fermeté. Est-​ce que Jésus résista au Diable en lui prêtant serment de loyauté avec seulement une “ restriction mentale ” ? Non, car sans détours et sans avoir recours à quelque ruse diplomatique il déclara ouvertement : “ Va-​t’en Satan, car il est écrit : C’est Jéhovah ton Dieu que tu dois adorer, et c’est à lui seul que tu dois rendre un service sacré. ” (Mat. 4:10, NW). Il en est de même aujourd’hui ; et ce n’est que par une pieuse fermeté semblable que les vrais chrétiens peuvent résister à l’oppression diabolique, prêter leur appui à la vérité et à la justice et obtenir l’approbation de Dieu.

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