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  • L’hiver chez les animaux sauvages
    Réveillez-vous ! 1974 | 8 mai
    • ces cavernes étaient situées dans la paroi d’un cañon et toutes se trouvaient sur des versants exposés au nord. De cette façon, même pendant les brèves périodes plus chaudes, ces ours n’étaient pas assez réchauffés pour risquer de se réveiller. Les cavernes étaient confortablement tapissées de branches de pin qui constituent une excellente isolation. Mais à quel moment le grizzli pénètre-​t-​il dans sa caverne pour son sommeil hivernal ?

      Après plusieurs années d’observation, les chercheurs ont découvert que le grizzli n’entre pas dans sa caverne toute préparée avant que ne se déchaîne une tempête de neige qui couvrira rapidement ses traces. En quelques heures, la neige tombant par rafales s’amoncelle et dissimule toutes les empreintes. Qui peut deviner à présent qu’un ours est caché ici et dort paisiblement ?

      Le voyage vers le Sud

      De même que certains hommes, de nombreuses créatures sauvages, surtout des oiseaux, se dirigent vers des climats méridionaux quand vient l’hiver. En fait, environ les deux tiers des espèces d’oiseaux séjournant dans le nord des États-Unis et au Canada s’envolent alors vers les États du Sud, le Mexique, l’Amérique centrale ou l’Amérique du Sud. Ce n’est pas seulement pour s’éloigner du froid, mais aussi afin de trouver de quoi manger. Durant l’été, dans le Nord, les oiseaux vivent de graines, de baies et d’insectes. En hiver, il y a pénurie de ces délicieuses friandises ; de plus, la période journalière de clarté est trop courte pour qu’il leur soit possible de rechercher assez de nourriture.

      Pour la plupart des oiseaux, le voyage est très long. Par exemple, à l’approche de l’hiver, les cigognes blanches quittent l’Europe pour aller jusqu’en Afrique du Sud. Le plus curieux, c’est que ce sont les jeunes cigognes, celles qui n’ont jamais quitté leur nid, qui s’en vont les premières, sans avoir avec elles un oiseau plus âgé pour les guider. Les cigognes parcourent chaque année plus de 20 000 kilomètres ! La Bible parle ainsi de l’instinct que Dieu a donné à la cigogne : “La cigogne dans les cieux — elle connaît bien ses temps fixés.” (Jér. 8:7). Le comportement des bêtes sauvages en hiver nous remplit d’admiration et rend gloire à leur Créateur.

      N’oublions pas que beaucoup de ces voyageurs ailés volent presque tout le temps au-dessus de la mer, faisant de longs trajets sans s’arrêter. Une variété de pluvier doré du Pacifique passe l’été dans les toundras de l’Alaska. À l’automne, cet oiseau s’envole jusqu’à Hawaii, parcourant au-dessus de l’océan Pacifique quelque 4 800 kilomètres. Comme si Hawaii ne suffisait pas, il s’en va ensuite plus au Sud jusqu’aux îles Marquises, quelque 4 000 kilomètres plus loin. Il n’est pas rare qu’il fasse encore un vol de 800 kilomètres vers les petites îles de l’archipel des Touamotou, dans le Pacifique Sud.

      Autres moyens de passer l’hiver

      S’en aller vers le Sud est certainement le meilleur moyen d’échapper au froid. Mais pour des créatures qui ne volent pas, c’est hors de question. Un moyen courant de surmonter les difficultés de l’hiver consiste à faire des provisions. Une variété d’écureuil, qui aime les champignons, en entrepose de grandes quantités pendant l’été. Cependant, il les fait d’abord sécher en les étalant sur les plus hautes branches des arbres. Ensuite il les conserve dans un endroit sec où ils sont prêts à être consommés en hiver.

      D’autres animaux revêtent un manteau d’hiver spécial pour résister au froid. Il leur pousse un épais pelage comportant une couche de poils fins et doux immédiatement sur la peau.

      Bien avant que l’homme n’eût commencé à fabriquer des vêtements isolants, le cerf en portait un. L’air est un très bon isolant. Tandis que l’automne approche, l’animal se débarrasse de son vêtement léger d’été qu’il remplace par un confortable pelage d’hiver dont chaque poil est creux. Couvert de ce manteau isolant, il n’a besoin de rien de plus, même par les plus mauvais jours, que d’aller chercher protection au fond des bois, parmi les sapins.

      Mais, si le cerf risque d’enfoncer dans une épaisse couche de neige, cela n’arrivera pas au lapin, car en hiver il est chaussé de raquettes. En effet, à l’approche de la mauvaise saison, une abondante fourrure blanche pousse sur les pattes des lapins. Quand le sol est recouvert de neige, leurs pattes sont transformées en larges et soyeux bourrelets qui leur permettent de se déplacer très facilement.

      Dans l’hémisphère Nord, un grand nombre d’animaux ont leur façon bien à eux de combattre le froid et le vent. Tandis que les uns dorment dans une caverne ou sous la neige, d’autres bondissent joyeusement à travers la campagne. Quel merveilleux sujet d’étonnement que cette diversité parmi les bêtes sauvages !

  • Êtes-vous un bon enseignant ?
    Réveillez-vous ! 1974 | 8 mai
    • Êtes-​vous un bon enseignant ?

      “MAMAN, montre-​moi ! Je veux le faire toute seule !”, réclame une petite fille de cinq ans. En fait l’enfant demande à sa mère de l’instruire.

      Quelle que soit votre situation dans la vie, on vous demande souvent d’être un enseignant. Quand vous indiquez le chemin à quelqu’un en vous servant d’une carte routière, lorsque vous montrez à un nouvel employé comment se servir d’une machine ou quand vous expliquez à un enfant comment attacher ses chaussures, vous enseignez.

      Nous avons donc intérêt à améliorer nos capacités d’enseignant. Il y a bien entendu différentes sortes et différents niveaux d’enseignements. Pourquoi écoute-​t-​on certaines personnes avec plus de plaisir que d’autres ? Qu’est-​ce qui fait d’elles de bons enseignants ?

      Quand on posa ces questions à un écolier danois, il répondit. “Un bon enseignant connaît bien son sujet. Il est aussi très pratique dans ses explications, car il montre pourquoi il est important d’apprendre telle ou telle chose. De cette façon je vois comment je peux employer les informations reçues.” Un étudiant canadien mit en évidence un autre aspect de la question : “Un bon enseignant s’intéresse personnellement à vous. Vous n’êtes pas pour lui un simple numéro.”

      Les relations entre enseignants et élèves

      Comme tous les humains, les élèves ont besoin de sentir qu’on s’intéresse personnellement à eux. Dans l’ouvrage Le métier d’enseignant (angl.), H. C. Rose dit : “Les étudiants réagissent très vite si l’on s’intéresse sincèrement à eux.”

      Un bon enseignant commence par une bonne attitude générale envers les autres. Nous intéressons-​nous suffisamment à eux pour leur fournir des explications avec patience ? Si oui, nous accorderons volontiers le temps nécessaire à notre élève ; mais au préalable, nous aurons réfléchi à la meilleure manière de l’aider et de le

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