BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Chenille
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • La tête de la chenille possède de courtes antennes, de deux à six yeux simples de chaque côté et des mâchoires puissantes. Outre la tête, elle se compose généralement de douze segments ou anneaux, dont les trois premiers portent chacun une paire de pattes jointes et armées de griffes qui se développent par la suite pour former les pattes de l’insecte adulte. Ces six pattes lui servent à se déplacer et à maintenir la nourriture en place quand elle mange. La plupart des chenilles ont cinq autres paires de “pseudo-pattes” munies de petits crochets. Quatre de ces paires sont rattachées respectivement aux anneaux six à neuf, et la cinquième paire au dernier anneau.

      Les chenilles sont presque exclusivement végétariennes. Elles ont un appétit vorace, certaines étant même capables de dévorer deux fois leur propre poids de feuilles en un jour. Par conséquent, en grand nombre, elles font des ravages dans la végétation. Cependant, beaucoup d’oiseaux se nourrissent essentiellement de ces larves des papillons et des phalènes.

  • Chérubin
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CHÉRUBIN

      Créature angélique de rang élevé, différente des séraphins, à qui sont confiés des devoirs particuliers. La Bible parle quelque 90 fois des chérubins, la première en Genèse 3:24. Après avoir chassé Adam et Ève de l’Éden, Dieu posta à l’entrée est du jardin des chérubins avec la lame flamboyante d’une épée “pour garder le chemin de l’arbre de vie”. Elle n’indique pas s’il y avait plus de deux chérubins.

      Le mobilier du tabernacle qui fut dressé dans le désert comprenait, entre autres choses, des représentations symboliques de chérubins. Ainsi, il y avait au-dessus du couvercle de l’Arche deux chérubins en or, en ouvrage martelé, un à chaque bout. Ils se faisaient face et étaient prosternés dans un geste d’adoration. Chacun des deux chérubins avait deux ailes déployées vers le haut qui abritaient le couvercle comme pour le garder ou le protéger (Ex. 25:10-21; 37:7-9). De même, les toiles de tente intérieures du tabernacle et le rideau qui séparait le Saint du Très-Saint étaient ornés de chérubins brodés. — Ex. 26:1, 31; 36:8, 35.

      Il ne s’agissait pas, contrairement à ce que certains prétendent, d’images grotesques qui auraient imité les statues ailées monstrueuses qu’adoraient les nations païennes d’alentour. Bien au contraire, ces chérubins avaient une forme humaine, comme l’attestent de façon unanime les anciennes traditions juives (la Bible ne dit rien à ce sujet); il s’agissait d’œuvres artistiques admirables qui représentaient des créatures angéliques d’une beauté glorieuse et qui avaient été réalisées dans les moindres détails ‘selon le modèle’ que Jéhovah Dieu lui-​même avait donné à Moïse (Ex. 25:9). L’apôtre Paul parle des “chérubins glorieux, qui ombrageaient le propitiatoire”. (Héb. 9:5.) En réalité, ces chérubins représentaient symboliquement la présence de Jéhovah: “C’est là que je me présenterai à toi et que je parlerai avec toi d’au-dessus du couvercle, d’entre les deux chérubins qui sont sur l’arche du témoignage.” (Ex. 25:22; Nomb. 7:89). Aussi disait-​on que Jéhovah était “assis sur [ou entre] les chérubins”. (I Sam. 4:4; II Sam. 6:2; II Rois 19:15; I Chron. 13:6; Ps. 80:1; 99:1; És. 37:16.) Les chérubins servaient figurément parlant, de “représentation du char” de Jéhovah sur lequel il se déplaçait (I Chron. 28:18), et leurs ailes symbolisaient à la fois la protection et leur grand rapidité de déplacement. C’est pourquoi, dans un cantique poétique où il parle de la rapidité avec laquelle Jéhovah lui était venu en aide, David dit qu’“il [Jéhovah] arriva monté sur un chérubin et il arriva en volant (...) sur les ailes d’un esprit”. — II Sam. 22:11; Ps. 18:10.

      Selon les plans détaillés que Dieu lui donna pour édifier son magnifique temple, Salomon dut faire deux immenses chérubins pour le Très-Saint. Ils étaient en bois d’arbre à huile et recouverts d’or, chacun ayant une hauteur de dix coudées. Ils étaient tournés vers l’est et se tenaient debout sur une ligne nord-​sud qui croit-​on, passait par le milieu de la pièce. Bien qu’étant distants l’un de l’autre de dix coudées, l’aile déployée de l’un rejoignait l’extrémité de l’aile de l’autre au centre de la pièce, leurs ailes ombrageant ainsi l’arche de l’alliance et ses barres qui se trouvaient au-dessous des deux chérubins. L’autre aile de chaque chérubin touchait respectivement les murs nord et sud du Très-Saint. Leurs ailes se déployaient donc sur toute la largeur de la pièce, soit vingt coudées. Des sculptures gravées de chérubins, recouvertes d’or décoraient également les murs et les portes du temple. De même, les parois latérales des chariots de cuivre servant à porter l’eau étaient ornées de chérubins (I Rois 6:23-35; 7:29-36; 8:6, 7; I Chron. 28:18; II Chron. 3:7, 10-14; 5:7, 8). Pareillement, des chérubins étaient sculptés sur les murs et les portes du temple qu’Ézéchiel vit en vision. — Ézéch. 41:17-20, 23-25.

      Ézéchiel rapporte également plusieurs visions dans lesquelles il vit des chérubins symboliques décrits de façon inhabituelle. Il parle de “créatures vivantes” (1:5-28) qu’il identifie ensuite à des “chérubins”. (9:3; 10:1-22; 11:22.) Dans ces images vues en vision, les chérubins sont étroitement associés à la personnes glorieuse de Jéhovah qu’ils escortent constamment.

      Ézéchiel reçoit également l’ordre d’‘entonner un chant de deuil au sujet du roi de Tyr’. Dans ce chant de deuil, il parle du roi de Tyr comme d’un glorieux chérubin qui se trouvait autrefois “en Éden, le jardin de Dieu”, mais qui fut dépouillé de sa beauté et réduit en cendres sur le sol. “Voici ce qu’a dit le Souverain Seigneur Jéhovah: (...) ‘Tu es le chérubin oint qui couvre, et je t’ai placé. Tu te trouvais sur la montagne sainte de Dieu. Au milieu de pierres ardentes tu circulais. Tu fus sans défaut dans tes voies depuis le jour où tu fus créé jusqu’à ce que l’injustice fût trouvée en toi. (...) Et je t’expulserai comme profane de la montagne de Dieu, et je te détruirai, ô chérubin qui couvre [chérubin protecteur, Vg].’” — Ézéch. 28:11-19.

  • Cheval
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CHEVAL

      Quadrupède que la Bible nous présente comme ayant des sabots de silex (És. 5:28) et une crinière frémissante (Job 39:19), et qui, depuis les temps anciens, a été étroitement associé à l’homme, qui s’est servi de la bride et du fouet pour le dominer (Ps. 32:9; Prov. 26:3; Jacq. 3:3). Jéhovah, le Créateur de cet animal, décrit quelques-unes de ses principales caractéristiques dans la réprimande qu’il adressa à Job: sa grand puissance, son ébrouement, la façon dont il piaffe d’impatience, l’excitation qui le gagne dès qu’il flaire la bataille et le fait qu’il n’est pas terrifié par le fracas des armes. — Job 39:19-25.

      LE CHEVAL DANS L’ARMÉE

      Dans les temps anciens, le cheval était essentiellement employé pour la guerre (Prov. 21:31; És. 5:28; Jér. 4:13; 8:16; 46:4, 9), bien qu’il servît aussi pour le transport et la chasse. L’utilisation du cheval à des fins autres que militaires est généralement indiquée dans les Écritures en rapport avec les rois, les princes, les fonctionnaires d’État et les moyens de communication rapides. — II Sam. 15:1; Eccl. 10:7; Esther 6:7, 8; 8:14; Jér. 17:25; 22:4.

      Le cheval jouait un rôle si important dans l’effectif des forces militaires, que le simple bruit d’un grand nombre de chevaux et de chars était suffisant pour inspirer l’effroi et semer la panique dans les rangs d’une armée, qui, pourtant, se croyait supérieure en nombre, et pour lui faire prendre la fuite (II Rois 7:6, 7). La puissance militaire de l’Égypte, de l’Assyrie, de Babylone, des Mèdes et des Perses et d’autres nations dépendait en grande partie du nombre de leurs chevaux (És. 31:1, 3; Jér. 6:22, 23; 50:35, 37, 41, 42; 51:27, 28; Ézéch. 23:5, 6, 23; 26:7, 10, 11; Nahum 3:1, 2; Hab. 1:6, 8). À maintes reprises, les chevaux harnachés — mors, rênes, ornements de tête, housse, etc., — sont représentés sur les monuments anciens.

      Les Israélites, qui furent le peuple élu de Dieu dans l’Antiquité, ne devaient pas ressembler aux Égyptiens et autres nations contemporaines qui considéraient les chevaux et les chars comme étant indispensables à leur sécurité et à leur indépendance. Interdiction avait été faite aux rois d’Israël d’accroître le nombre de leurs chevaux (Deut. 17:15, 16). Au lieu de mettre leur confiance dans la puissance militaire, les chevaux et les chars, les Israélites devaient se tourner vers Jéhovah pour avoir de l’aide et ne pas craindre le matériel de guerre de leurs ennemis. — Deut. 20:1-4; Ps. 20:7; 33:17; Osée 1:7.

      Le roi David d’Israël garda toujours présente à l’esprit l’interdiction divine relative à l’accroissement du nombre des chevaux. Lorsqu’il remporta la victoire sur Hadadézer de Zobah, il aurait pu augmenter de beaucoup de nombre des chevaux de son armée; au lieu de cela, il ne garda que ce qui allait lui être utile pour ses projets immédiats et il fit couper les jarrets au reste des animaux (II Sam. 8:3, 4; I Chron. 18:3, 4). Cette décision était conforme à la prescription de Jéhovah observée par Josué au temps de la conquête de la Terre promise. — Josué 11:6, 9; voir JARRETS.

      DE SALOMON AU RETOUR DE L’EXIL

      Mais Salomon, fils de David et son successeur, se mit à accroître le nombre des chevaux (I Rois 4:26 [on pense généralement que les “quarante mille écuries de chevaux” mentionnées dans ce passage sont une erreur de scribe; il faudrait lire “quatre mille”]; comparez avec II Chron. 9:25). Salomon faisait venir ses chevaux d’Égypte et aussi d’autres pays (II Chron. 9:28); quant aux visiteurs qui venaient pour entendre ses paroles de sagesse, ils lui apportaient, entre autres présents, des chevaux (I Rois 10:24, 25; II Chron. 9:23, 24). Ces bêtes étaient logées dans des villes spécialement réservées aux chars et aussi à Jérusalem (I Rois 9:17-19; 10:26). L’orge et la paille servant de fourrage aux chevaux étaient fournies par les mandataires régionaux chargés de pourvoir à la nourriture pour la table royale. — I Rois 4:27, 28.

      Plus tard, les rois de Juda et d’Israël utilisèrent les chevaux à des fins militaires (I Rois 22:4; II Rois 3:7). Parlant de Juda, le prophète Ésaïe dit que le pays était rempli de chevaux (És. 2:1, 7). Bien qu’il y eût des périodes dans l’histoire d’Israël où la sécheresse, la famine et les défaites militaires réduisirent de beaucoup le nombre des chevaux (I Rois 17:1; 18:1, 2, 5; II Rois 7:13, 14; 13:7; Amos 4:10), le peuple continua néanmoins à mettre sa confiance dans ces animaux et se tourna vers l’Égypte pour recevoir une aide militaire (És. 30:16; 31:1, 3). Les mauvais rois de Juda allèrent même jusqu’à dédier certains chevaux au culte païen du soleil, les introduisant dans l’enceinte sacrée du temple de Jéhovah (II Rois 23:11). Sédécias, le dernier roi de Juda, se rebella contre Nébucadnezzar, roi de Babylone, et demanda des chevaux et une aide militaire à l’Égypte (II Chron. 36:11, 13; Ézéch. 17:15). En conséquence, et conformément à la prophétie, Juda alla en exil. — Ézéch. 17:16-21; Jér. 52:11-14.

      Les chevaux sont mentionnés parmi les bêtes de somme qui allaient amener à Jérusalem le peuple de Jéhovah dispersé (És. 66:20). Il est par conséquent intéressant de noter que, lors du premier accomplissement des prophéties relatives au rétablissement, les Juifs revinrent d’exil en ramenant 736 chevaux. — Esdras 2:1, 66; Néh. 7:68.

      EMPLOI FIGURÉ

      Dans les Écritures, le cheval apparaît fréquemment dans un contexte symbolique. Les fils adultères de la Jérusalem infidèle sont comparés à “des chevaux saisis par le rut”. (Jér. 5:7, 8.) L’entêtement et l’absence de repentir chez le peuple apostat sont comparés à l’impétuosité avec laquelle le cheval s’élance dans la bataille, sans se soucier des conséquences (Jér. 8:6). La Jérusalem infidèle se prostitua aux dirigeants de nations païennes, les désirant à la manière de certaines concubines portées à l’incontinence, tels des chevaux. — Ézéch. 23:20, 21.

      L’attention toute particulière accordée au coursier royal ainsi que les ornements dont on le pare sont les figures employées pour représenter l’intérêt bienveillant que Jéhovah porte à son peuple repentant, le rendant semblable à un cheval de guerre victorieux. — Zach. 10:3-6.

      Le matériel de guerre invisible et céleste de Jéhovah est représenté par des chevaux et des chars de feu (II Rois 2:11, 12). Un jour, Élisée pria pour que s’ouvrent les yeux de son serviteur terrifié, afin qu’il voie que “la région montagneuse était pleine de chevaux et de chars de feu, de chars de guerre, autour d’Élisée”, en vue de le protéger des forces syriennes venues l’encercler pour le capturer. — II Rois 6:17.

      Des siècles plus tard, Zacharie reçut une vision représentant quatre chars; le premier avait des chevaux rouges, le second des chevaux noirs, le troisième des chevaux blancs, et les chevaux du quatrième étaient mouchetés, bigarrés. Ces chevaux sont identifiés aux “quatre esprits des cieux”. — Zach. 6:1-8; voir également Zacharie 1:8-11.

      La prophétie de Zacharie relative à ceux qui auront fait du service militaire contre Jérusalem, indique que Jéhovah viendrait au secours de son peuple et frapperait de destruction les ennemis et leurs chevaux (Zach. 14:12-15; voir aussi Ézéchiel, chapitres 38 et 39). L’un des bienfaits qui devaient découler de cette action, c’est que le cheval ne serait plus utilisé pour la guerre; au contraire, il servirait d’instrument de service pour la gloire de Dieu, comme le laissent entendre les paroles suivantes: “Il y aura sur les clochettes du cheval: “La sainteté appartient à Jéhovah!’” (Zach. 14:20; comparez avec Exode 28:36, 37). En outre, le fait que les chars de guerre et les chevaux doivent être retranchés annonce le rétablissement de la paix. — Zach. 9:10.

      Dans la vision symbolique donnée à l’apôtre Jean, Jésus Christ glorifié est représenté assis sur un cheval blanc et suivi d’une armée qui chevauche, elle aussi, des montures blanches. La vision en question fut donnée à Jean pour souligner que c’est avec justice et droiture que Christ fait la guerre à tous les ennemis, au nom de son Dieu et Père, Jéhovah (Rév. 19:11, 14). Avant cela, l’action menée par le Christ intronisé Roi et les calamités qui s’ensuivent sont représentées par différents cavaliers et leurs montures. — Rév. 6:2-8.

      Jean a vu aussi des armées de cavaliers au nombre de deux myriades de myriades (200 000 000) investis de pouvoirs pour exécuter les jugements de destruction de Dieu. Le pouvoir de donner la mort réside dans la bouche et la queue des chevaux qu’ils montent. Tous ces animaux sont apparemment sous les ordres des quatre anges qui avaient été liés près du fleuve Euphrate. — Rév. 9:15-19.

  • Chevaux (Porte des)
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CHEVAUX (PORTE DES)

      {Article non traduit.}

  • Cheveux
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CHEVEUX

      Au cours de l’Histoire, les hommes et les femmes en général ont considéré leurs cheveux comme un ornement qui rehaussait leur beauté et dans bien des cas comme un signe de force et de jeunesse. Aussi ont-​ils apporté beaucoup de soin à leur chevelure.

      LES HÉBREUX

      De tout temps les Hébreux ont eu l’habitude de porter la barbe, mais elle était soignée, et ils se coupaient les cheveux à une longueur raisonnable. La Bible cite l’exemple d’Absalom à ce sujet, même si les cheveux de ce dernier poussaient avec une telle abondance que lorsqu’il les coupait une fois par an, leur poids était de 200 sicles, soit deux kilogrammes environ (ils étaient vraisemblablement alourdis par l’emploi d’huile et d’onguents) (II Sam. 14:25, 26). La loi de Dieu défendait aux hommes israélites de ‘couper court et en rond les côtés de leur chevelure’ et de détruire “l’extrémité” de leur barbe. Ce commandement ne leur interdisait pas de raccourcir les cheveux et la barbe, mais visait manifestement à les empêcher d’imiter les coutumes païennes (Lév. 19:27; Jér. 9:25, 26; 25:23; 49:32). Négliger ses cheveux en s’abstenant de les tailler, ou sa barbe en ne la soignant pas, était un signe de deuil (II Sam. 19:24). Par l’intermédiaire du prophète Ézéchiel, Dieu ordonna aux prêtres de couper, mais non de raser, les cheveux de leur tête et de ne pas les laisser flotter lorsqu’ils servaient au temple. — Ézéch. 44:15, 20.

      Les femmes israélites prenaient soin de leurs cheveux qui étaient l’un des attributs de leur beauté (Cant. 7:5) et elles les portaient très longs (Jean 11:2). La femme qui se rasait la tête le faisait en signe de deuil et d’affliction (És. 3:24). Quand une vierge avait été capturée, dans une ville ennemie et qu’un soldat israélite voulait l’épouser, elle devait tout d’abord se raser la tête, se faire les ongles et prendre pendant un mois le deuil de ses parents tués lors de la conquête de la ville. — Deut. 21:10-13; 20:10-14.

      LES CHRÉTIENS

      Les apôtres Pierre et Paul jugèrent bon de conseiller aux chrétiennes de ne pas prêter une trop grande attention au style et à l’ornementation de leur coiffure, comme les femmes de cette époque en avaient la coutume. Ils les exhortèrent à chercher plutôt à se parer du vêtement incorruptible qu’est l’esprit calme et doux. — I Pierre 3:3, 4; I Tim. 2:9, 10.

      L’apôtre Paul attira également l’attention sur la situation et les usages qui existaient parmi les personnes auxquelles il écrivait, afin de montrer qu’il était naturel pour l’homme d’avoir les cheveux plus courts que ceux de la femme. Il était honteux pour une femme d’être tondue ou rasée. Certes, Dieu a donné à la femme des cheveux longs “en guise de coiffure”, dit Paul, mais cette coiffure naturelle, qui est une gloire pour elle, ne la dispense pas de porter quelque chose sur la tête, un “signe d’autorisation” quand elle prie ou prophétise dans la congrégation chrétienne. En acceptant cet état de fait et en se couvrant la tête en de telles circonstances, la chrétienne reconnaît l’autorité théocratique et manifeste sa soumission chrétienne. Elle glorifie non seulement son mari et chef, mais aussi Jéhovah Dieu, le Chef de tous. — I Cor. 11:3-16.

      EMPLOI MÉTAPHORIQUE

      Job se rasa la tête pour exprimer la désolation dans laquelle l’avait plongé la perte de ses enfants et de ses biens. — Job 1:20.

      Ézéchiel reçut l’ordre de se couper les cheveux et la barbe, puis de diviser les poils en trois portions et de s’en défaire de façon à décrire prophétiquement les divers malheurs qui frappaient les habitants de

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager