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  • Un congrès de la Société du Monde Nouveau dans toute l’Argentine
    La Tour de Garde 1954 | 1er septembre
    • c’était l’heure de manger et aussitôt quelqu’un s’écria en espagnol : “ Mettez votre viande au gril ! ” L’asado commença bientôt.

      Des charbons ardents et du rôti grillé — que cela sent bon ! Une douzaine de frères apportèrent deux longues bûches et les posèrent non loin du feu, à environ un mètre de distance l’une de l’autre. À travers ces bûches on posa de longues plaques en fer galvanisé. Cette table improvisée avait une hauteur d’environ 60 cm. La fumée que nous avions aperçue en arrivant provenait de ce qu’on brûlait des branches et du charbon de bois pour obtenir des braises qui devaient être étendues sous le gril pour préparer l’asado. Cette coutume est typique pour l’Argentine où le gaucho vit de l’asado. Et qui ne le pourrait ?

      Près des grils on entretenait un feu pour obtenir d’autres braises qui devaient remplacer celles qui s’éteignaient. De cette façon la viande rôtit lentement et des gouttes tombent continuellement, provoquant chez l’asador et les spectateurs un appétit formidable ! C’était le signe que tout le monde attendait ; l’asador crie : “ Está lista. ” (“ C’est prêt ”). Il s’agit donc de ne pas perdre de temps, car la viande est à point. Si elle est grillée un tout petit peu trop longtemps elle sera sèche et dure.

      Avec des fourchettes les immenses morceaux de viande furent enlevés des grils et posés — à quelques pieds de distance — sur la “ table ” en métal bien propre. On peut aussi manger sans assiettes ! Et c’est beaucoup plus agréable de manger l’asado avec les doigts, comme le font les Argentins. Ainsi chacun mangeait comme eux. Il n’y a qu’une seule fourchette pour tous dans le grand plat d’étain qui contient un mélange de salade — aux rouelles de tomates, d’oignons, de poivrons verts — assaisonné d’huile, de sel et de citron. Cela va très bien avec la viande. Celle-ci était exquise. Le tout rappelait un grand melon d’eau, mais au lieu d’eau, c’était le jus de la viande qui vous coulait sur le nez, sur le menton et dans la bouche. Tandis que tous étaient debout autour de la table, on leur tendait du vin à boire, dans le verre de famille, car sans vin l’asado n’est pas complet en Argentine.

      Après le repas frère Knorr prononça une petite allocution d’adieu et prit congé de chacun. Puis il rejoignit le taxi qui le ramena à Mendoza où il arriva à 18 h 15.

      Lundi, le 20 décembre, le serviteur de la filiale, sa femme et frère Knorr étaient debout à cinq heures du matin pour faire leurs valises. À sept heures ils prirent l’avion pour Córdoba qui se trouve à une distance de 700 km. Un frère de Buenos-​Aires les y attendait avec sa voiture et devait les conduire de lieu en lieu, selon le programme, pour la suite du voyage. On mit les bagages dans l’automobile qui les emporta vers une petite ferme en dehors de la ville ; là, 241 frères de quatre groupes attendaient frère Knorr qui devait prononcer un discours fondé sur la Parole de Dieu. Comme les Argentins sont habitués à se saluer par une poignée de main, il fallut attendre quelques minutes avant de pouvoir leur adresser la parole ; il était alors environ 11 heures. Deux heures et demie furent consacrées à leur donner des conseils. Il n’y avait pas de place pour s’asseoir, tous étaient debout.

      Tandis qu’ils s’assimilaient les paroles de vie, ce fut une grande joie pour eux tous d’être réunis pour la première fois depuis plusieurs mois ! En Argentine ils ont régulièrement leurs études par groupes de 8 à 15 personnes et ils prêchent régulièrement la Parole de Dieu, mais pour le moment il n’y a pas de Salles du Royaume pour de plus grandes assemblées. À la campagne ils purent se réunir pour un grand pique-nique en commun, écouter un discours sur la Parole de Jéhovah et apprendre quelque chose sur leurs frères disséminés dans le monde entier. Ils en jouirent énormément et posèrent de nombreuses questions.

      Bientôt nous poursuivîmes notre voyage ; il fallait trois heures jusqu’à San Francisco (Argentine). Nous arrivâmes peu après 19 heures. C’était très tranquille autour de la maison où allaient se réunir les frères, lorsque les visiteurs s’en approchèrent. Seul un frère était assis au bord de la route et attendait anxieusement. Lorsque la voiture arriva il conduisit les nouveaux arrivés vers les 35 personnes qui attendaient dans la maison.

      Puis, le même soir, nous partîmes pour Santa-Fé. Arrivée à 23 h 30, ensuite un peu de repos dans un hôtel. À sept heures du matin, ce mardi-​là, nos voyageurs se trouvaient déjà au bord du fleuve et attendaient le bateau qui devait les amener à Paraná. Le trajet dura une heure et demie. Puis on se rendit directement au lieu de réunion où se trouvaient déjà 55 personnes pour les écouter.

      À 10 h 15 le petit groupe traversa de nouveau le fleuve pour retourner à Santa-Fé. En route, le moteur du bateau prit feu et même le pilote eut peur. Un homme d’un embonpoint considérable s’effraya vraiment, prit son manteau et voulut monter sur le toit du bateau pour être le dernier à sombrer ; on l’avait entendu dire : “ Et c’est précisément aujourd’hui que cela doit se passer ! ” Le capitaine dirigea le bateau vers la rive qui se trouvait à une distance de 200 m environ. Mais lorsqu’il vit que l’on réussissait à éteindre le feu il changea de route, après avoir presque touché le fond, et reprit le large. Ce fut excitant, aussi longtemps qu’on était en danger, spécialement pour ceux qui ne savaient pas nager ! Le feu fut donc bientôt étouffé et chacun atteignit Santa-Fé sain et sauf. Dans cette ville il fallait visiter quatre groupes, chacun pendant une heure. Tous attendaient les frères et l’horaire fut respecté.

      Peu après 17 heures les frères se mirent en route pour une autre réunion qui devait avoir lieu dans les faubourgs de la prochaine ville, Rosario. Les quatre autres groupes de cette ville devaient attendre le lendemain, comme il était convenu. À 20 h 30, mardi soir, nous prîmes notre souper dans un home missionnaire où habite un couple. Le serviteur du circuit et sa femme, tous deux anciens élèves de Galaad, étaient également présents pour rencontrer nos frères. Ce fut une belle soirée et une journée qui nous fit grand plaisir.

      Le lendemain matin, le premier discours commença à 8 h 30 et jusqu’à 13 h 30 quatre groupes avaient été desservis et 189 personnes avaient entendu frère Knorr. Ensuite on prit le lunch au home missionnaire et à 15 h 30 nos voyageurs arrivèrent à Ciudád Evíta, la prochaine ville. Comme ce fut le cas tout le long du chemin, nous rencontrâmes toujours le serviteur du groupe qui put nous conduire au lieu de réunion. Cette fois-​ci, on avait choisi la ferme d’un frère, située à 6 km en dehors de la ville. Pendant que nous roulions sur des chemins poussiéreux nous aperçûmes les frères qui se promenaient autour de la ferme. Ils profitaient de ce jour-​là pour organiser un pique-nique et ce fut pour eux un véritable congrès, car trois groupes de deux villes voisines étaient également présents. Un couple aperçut de loin la voiture et courut l’annoncer aux autres. Au moment où la voiture arrivait et que nos voyageurs marchaient vers la partie arrière de la ferme, tous les auditeurs avaient pris place et l’on aurait entendu trotter une souris ! Les quatre visiteurs purent constater que la grande cour avait subi une transformation. On avait élevé une estrade et le texte annuel (Psaume 29:2) était apposé sur le mur de la maison, ce qui constituait un fond très approprié pour les conférenciers. On l’avait entouré de fleurs arrangées de différentes façons. La table du conférencier et les arbres étaient garnis de bouquets de fleurs. Ce fut très réjouissant de voir les auditeurs assis là et se pénétrant réellement du discours de frère Knorr. Toutes ces 115 personnes étaient des proclamateurs dévoués.

      Ce fut une journée merveilleuse pour eux et plus encore pour frère Knorr. Le long de notre tournée et dans toutes les parties du pays, tous ces frères étaient venus de loin, abandonnant leur travail au milieu de la semaine, uniquement pour se réunir avec leurs frères de la même foi précieuse et pour entendre de bonnes paroles de la part d’un serviteur de Jéhovah.

      Après le discours, frère Knorr et ceux qui l’accompagnaient furent invités à souper et la table était déjà mise, mais le programme de leur voyage ne leur permettait pas de manger là. Ils se contentèrent donc d’une boisson froide, mais quand ils quittèrent la maison on les chargea d’un immense gâteau et d’un poulet rôti. Au moment de monter en voiture, ils entendirent les frères groupés à proximité de la voiture chanter des chants théocratiques. L’un d’eux les accompagnait à l’accordéon. Cela sonnait bien en espagnol, tout aussi bien qu’en anglais.

      Ils roulèrent d’abord sur un chemin non asphalté, puis atteignirent la route principale qui les conduisit à la prochaine halte, à Bell Ville. Là aussi tous les attendaient. Chez une des sœurs habitant un faubourg ils avaient préparé un lieu de réunion le long de sa maison. Les arbres et les arbrisseaux ne le couvrant pas assez, on avait suspendu des couvertures de laine et d’autres étoffes pour détourner l’attention des passants. Ici se réunissaient 75 auditeurs de trois groupes. Pour parvenir aux deux derniers endroits, les frères durent rouler sur des chemins très poussiéreux. Quelquefois il fallait fermer les fenêtres à cause des voitures qui passaient et qui soulevaient de grands nuages de poussière.

      À 20 h 30 ils partirent de là et restèrent en route jusqu’à 1 h 40 du matin, lorsqu’ils arrivèrent à la ville nommée Rio Cuarto. Suivirent environ cinq heures de sommeil à l’hôtel et déjà frère Knorr était debout et — parti, car à neuf heures, ce matin-​là, il devait prononcer son prochain discours ! Ce discours sur le service fut très sérieux et impressionnant. Environ 30 proclamateurs de ce groupe avaient provoqué une scission parmi les frères et ne reconnaissaient pas ce groupe, cependant ils vinrent chercher des publications et des secteurs. Parmi eux il y avait quatre pionniers. Après son discours frère Knorr répondit à des questions du serviteur de ce groupe, en présence de tous les frères, au sujet de la bonne façon d’exclure des personnes qui provoquent des scissions. Cela fut très intéressant pour tous.

      Il était stupéfiant de constater la façon excellente dont cette assemblée était organisée, car les infidèles ne purent trouver le lieu de réunion. Le serviteur du groupe avait indiqué aux frères un certain endroit dans un faubourg de la ville, où un frère les attendait. Là seulement il leur dit exactement où aurait lieu l’assemblée. De cette façon les infidèles ne pouvaient s’y infiltrer. Il y avait 48 personnes à cette assemblée formée des trois groupes appartenant à cette ville et à deux localités voisines.

      Après que nos voyageurs eurent dit “ au revoir, à la prochaine fois ”, ils partirent pour Pergamino à dix heures et y arrivèrent à seize heures. En route ils achetèrent des fruits et ne perdirent donc pas de temps pour le lunch, poursuivant leur voyage jusqu’à destination. Un groupe de Junin était venu se joindre à ceux qui s’étaient réunis ici ; ainsi 28 personnes assistèrent à l’assemblée. Après que frère Knorr eut terminé son discours, les frères, comme l’avaient fait tous les autres rencontrés dans toute la tournée, prièrent frère Knorr de bien vouloir transmettre leurs cordiales salutations à tous les autres frères auxquels il rendrait encore visite.

      Encore une halte, la dernière avant notre arrivée à Buenos-​Aires ! Nous traversâmes un pays plat et assez vert le long du chemin. Après avoir roulé pendant quelque temps nos voyageurs se trouvaient sur un chemin boueux et durent encore voyager 30 km, jusqu’à Salto. Mais ce fut un voyage intéressant, grâce aux nids d’oiseaux, faits de boue, fixés au haut des haies et des poteaux de téléphone, et grâce aux douzaines de chouettes. En route nos voyageurs avaient reçu une lettre des frères de cette petite ville, les invitant à souper avec eux. Ils acceptèrent volontiers cette invitation, d’autant plus qu’ils avaient été au régime de fruits tout le jour. Après leur arrivée et après avoir suivi le chemin le long de la maison, nos voyageurs aperçurent deux agneaux à la broche, asando. Une extrémité de la broche était plantée dans le sol, tenant la viande en l’air, dans une position inclinée au-dessus des braises. Les visiteurs apprirent que de cette façon il faut trois heures de rôtissage lent. Auparavant la viande avait été salée, et au moment de la servir chacun reçut sa portion, assaisonnée d’une sauce.

      Ce fut la veille de Noël, le soir où dans le monde on célèbre une grande fête. Mais les témoins de Jéhovah utilisèrent cette occasion de fête pour se réunir en un congrès destiné aux desseins véritablement chrétiens. D’abord ils reçurent la nourriture spirituelle. La réunion devait commencer à 19 heures et nos quatre voyageurs, après tous ces jours de route où ils s’étaient tenus strictement à leur programme bien chargé, n’arrivèrent que cinq minutes en retard. La dernière assemblée en dehors de Buenos-​Aires, qui eut lieu dans cette maison, fut une réunion plaisante et édifiante pour tous. Frère Knorr parla pendant plus d’une heure à 38 personnes et ensuite on mit le couvert.

      À table il y eut environ 26 personnes et toutes se réjouirent lorsque frère Knorr leur raconta des expériences faites aux États-Unis et ailleurs. Avant de partir elles exprimèrent leur joie de ce qu’il n’avait pas plu, car il aurait été impossible de voyager sur ces chemins boueux. Toute l’après-midi on craignit un changement de temps et les quatre visiteurs se demandaient également s’ils pourraient continuer sur des chemins fangeux. Lorsqu’ils étaient en route une pluie torrentielle les surprit ! Un frère de Salto les conduisit jusqu’à la prochaine ville pour être sûr qu’ils ne s’égareraient pas. Il y arriva peu avant 23 heures, juste assez tôt pour prendre le train qui devait le reconduire.

      Frère Knorr, frère et sœur Eisenhower et le chauffeur poursuivirent leur voyage et arrivèrent finalement à Buenos-​Aires, à deux heures du matin. C’était le jour de Noël et il y avait grande circulation, aussi était-​il difficile de conduire l’automobile. Tous étaient reconnaissants envers Jéhovah du grand privilège de service qu’ils avaient eu pendant toute la tournée et ils appréciaient que les frères eussent fidèlement suivi les instructions reçues. Cela les aidait à parler à autant de personnes.

      Depuis le moment où ils étaient arrivés à Mendoza jusqu’à leur arrivée à Buenos-​Aires ils avaient parcouru plus de 2 400 km en automobile et 640 km en avion ; tout cela du samedi 19 décembre au jeudi suivant. Le rapport signalait 19 discours et 1 232 auditeurs.

  • Donner pour le bon motif
    La Tour de Garde 1954 | 1er septembre
    • qu’il y a à donner. Certaines organisent des bazars, des loteries et tombolas, tandis qu’à la fin de l’année quelques-unes publient une brochure dans laquelle elles mentionnent noir sur blanc combien chaque membre aurait dû donner et ce qu’il a versé effectivement. Il y a encore les bassins pour la quête qu’on trouve partout et qu’on passe souvent. Point n’est besoin de réfléchir longuement à laquelle de ces méthodes il faut donner la préférence, car elles ont toutes un point commun : Aucune d’elles ne s’appuie sur les saintes Écritures.

      LA MÉTHODE SCRIPTURALE

      Quelle est la méthode scripturale ? On communique simplement qu’une possibilité ou privilège de donner nous est offert, puis, selon les contributions volontaires, on détermine dans quelle mesure l’œuvre doit être étendue tant en ce qui concerne la mission intérieure qu’extérieure. C’est ainsi qu’on procéda du temps de Moïse, lorsque fut bâti et décoré le beau tabernacle ou tente d’assignation. Les Israélites obtempérèrent de bon cœur à cet appel de sorte que bientôt il leur fut ordonné de ne plus apporter d’offrandes volontaires, les dons reçus étant amplement suffisants. — Ex. 35:4, 5, 21 ; 36:3-7.

      En effet, les vrais chrétiens voués à Dieu donnent spontanément. Pour les engager à se séparer de leur argent gagné avec peine il n’est pas nécessaire de leur appliquer les procédés de la psychologie. Ils reconnaissent qu’“ il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir ”, que “ l’âme bienfaisante sera rassasiée ” et qu’ils ont le privilège “ d’être riches en œuvres justes, d’être libéraux, prêts à partager ” selon leurs moyens (Actes 20:35 ; Prov. 11:25 ; I Tim. 6:18, NW). Ils savent aussi que “ celui qui sème abondamment moissonnera abondamment ” et “ que chacun donne comme il l’a résolu en son cœur, sans tristesse ni contrainte ; car Dieu aime celui qui donne avec joie ”. “ L’empressement du vouloir ” règne parmi eux, ce qui est particulièrement acceptable quand “ on fait plaisir avec ce qu’on a ”. (II Cor. 9:6, 7, Seg ; 8:11, 12, Jé.) Ils apprécient aussi les pensées émises avec tant d’à propos par David, lorsque furent rassemblés les matériaux destinés à la construction du temple, c’est-à-dire que ces offrandes ne constituaient qu’une restitution partielle des dons que Dieu leur avait offerts auparavant. — I Chron. 29:14.

      Pour toutes les personnes qui ont cette foi il suffit de leur rappeler une fois par an qu’elles ont le privilège de communiquer à la Société ce qu’elles espèrent donner au cours de l’année à venir. Cela permettra à la Société de faire des projets relatifs à l’œuvre, et à tous ceux qui ont l’intention de faire des contributions, de considérer sérieusement cette question.

      Les personnes domiciliées en Suisse adresseront leur carte ou lettre à la Watch Tower Bible and Tract Society, 39, Allmendstrasse, Berne 22. Quiconque écrit au sujet des “ Bonnes Espérances ” peut le faire dans ce sens : “ Pendant les douze prochains mois j’espère pouvoir contribuer à l’œuvre de glorification de Jéhovah le montant de F ______ Je vous ferai parvenir cette somme par acomptes selon la prospérité dont je jouirai grâce à la bonté imméritée de Jéhovah par Jésus-Christ (Signature). ” Il est recommandé de conserver pour vous une copie de votre carte ou lettre. À la page 258 de La Tour de Garde se trouvent les adresses d’autres filiales.

      Sachant que tout dépend de Jéhovah Dieu, ses serviteurs lui demanderont, dans la prière, de bénir leur œuvre et de la faire progresser afin que tout concoure à sa gloire. — I Cor. 3:6.

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