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  • Babylone
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    • trône (II Chron. 33:11). Sous le règne de Nébucadnezzar, Babylone était “une coupe d’or” dans la main de Jéhovah, coupe dont il se servit pour répandre son indignation sur Juda et Jérusalem qui lui étaient infidèles. Le roi Nébucadnezzar emporta à Babylone les ustensiles de valeur de la maison de Jéhovah et emmena des milliers de captifs. — II Rois 24:1 à 25:30; II Chron. 36:6-20; Jér. 25:17; 51:7.

      Le livre de Daniel relate des événements vécus par Daniel lui-​même et ses trois compagnons alors qu’ils étaient captifs à Babylone. On y trouve notamment l’interprétation des rêves et des visions du roi. Les livres d’Esdras et de Néhémie rapportent comment près de 50 000 hommes Juifs revinrent d’exil avec Zorobabel et Josué en 537, et environ 1 800 autres avec Esdras en 468. Les ustensiles du temples furent également rapportés à Jérusalem (Esdras 2:64-67; 8:1-36; Néh. 7:6, 66, 67). En 455, Artaxerxès Ier, empereur perse appelé aussi “roi de Babylone”, chargea Néhémie de se rendre à Jérusalem en qualité de gouverneur et d’en rebâtir les murailles (Néh. 2:7, 8). Mardochée était le descendant d’un Benjaminite qui avait été emmené captif à Babylone. — Esther 2:5, 6.

      Les Écritures grecques chrétiennes indiquent que Jéconias (Jéhoïakin), qui avait été déporté à Babylone, fut un maillon de la lignée de Jésus (Mat. 1:11, 12, 17). La première lettre canonique de l’apôtre Pierre fut écrite à Babylone (I Pierre 5:13), la ville des bords de l’Euphrate et non pas Rome comme le prétendent certains. — Voir PIERRE (LETTRES DE).

      “Babylone la Grande” figure dans le symbolisme du livre de la Révélation. Elle y est décrite comme “la mère des prostituées et des choses immondes de la terre” (17:5) et comme faisant boire “à toutes les nations le vin de la colère de sa fornication”. (14:8.) On lui donne “la coupe du vin de la colère” du courroux de Dieu (16:19); “en une heure” vient son jugement (18:10); les dix cornes de la bête sauvage de couleur écarlate qu’elle monte la désarçonnent, la rendent nue, mangent ses chairs et la brûlent par le feu, complètement (17:16). Elle est projetée d’un coup, comme une grande meule (18:21). C’est ainsi que la désolation de “Babylone la Grande” est aussi totale que celle de la ville impie qui se trouvait sur les bords de l’Euphrate.

  • Babylone la Grande
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    • BABYLONE LA GRANDE

      Les visions de Jean consignées dans le livre de la Révélation, renferment des jugements prononcés contre “Babylone la Grande”, ainsi qu’une description de son apparence et de sa chute. — Rév. 14:8; 16:19; chaps 17 et 18; 19:1-3.

      En Révélation 17:3-5, Babylone la Grande est décrite comme une femme vêtue de pourpre et d’écarlate, richement parée et assise sur une bête sauvage de couleur écarlate qui a sept têtes et dix cornes. Sur son front un nom était écrit, “un mystère: ‘Babylone la Grande, la mère des prostituées et des choses immondes de la terre.’” Elle est également dépeinte assise sur “de nombreuses eaux”, lesquelles représentent “des peuples et des foules et des nations et des langues”. — Rév. 17:1-15.

      Le luxe et la domination qui sont attribués à Babylone la Grande ne permettent pas d’identifier tout simplement celle-ci à la ville de Babylone, en Mésopotamie. Après avoir été conquise par Cyrus le Perse, en 539 avant notre ère, l’antique Babylone perdit sa position de puissance mondiale dominante et dut relâcher ses captifs, y compris les Juifs. Bien que la ville ait subsisté encore quelque temps après l’époque apostolique et qu’elle existât donc toujours à l’époque de Jean, elle avait cessé d’exercer une influence mondiale. Elle finit par tomber en décadence, puis dans une ruine totale. Il faut donc voir en Babylone la Grande une ville symbolique, dont la Babylone antique était le prototype. Du fait que l’ancienne cité donne son nom à la ville mystique, il est utile de considérer brièvement les caractéristiques principales de Babylone quant à l’identité de la ville symbolique décrite dans la vision de Jean. — Voir le livre “Babylone la Grande est tombée!” — Le Royaume de Dieu a commencé son règne!

  • Babylonie
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    • BABYLONIE

      Dans l’Antiquité, basse plaine de la Mésopotamie arrosée par le Tigre et l’Euphrate, qui correspond aujourd’hui à la région sud-est de l’Iraq. La Babylonie s’étendait à environ 50 kilomètres à l’ouest de l’Euphrate, jusqu’au désert de l’Arabie. À l’est du Tigre, elle était bornée par les collines de la Perse, et au sud-est par le golfe Persique. Au nord, les hauteurs proches de Bagdad constituaient une frontière naturelle. À ce niveau, les deux fleuves ne sont séparés que d’une quarantaine de kilomètres. La plaine s’étend du nord au sud sur une distance de quelque 400 kilomètres, et sa largeur maximum est de 160 kilomètres. Cette région a une superficie de 20 000 kilomètres carrés, soit les deux tiers de la Belgique. Elle est si plate que depuis sa frontière nord jusqu’au golfe Persique, la différence de niveau des deux fleuves n’excède pas 38 mètres.

      Certains historiens divisent la Babylonie en deux parties: au nord, Akkad (Accad), et au sud, Sumer ou la Chaldée. À l’origine, cette région était connue dans les Écritures sous le nom de “pays de Schinéar”. (Gen. 10:10; 11:2.) Plus tard, quand les envahisseurs firent de Babylone leur capitale, ils donnèrent à cette région le nom de Babylonie. Mais comme elle fut parfois dominée par des dynasties chaldéennes, on en parla aussi comme du “pays des Chaldéens”. (Jér. 24:5; 25:12; Ézéch. 12:13.) Au nombre des anciennes villes de Babylonie figuraient Adab, Akkad, Babylone, Borsippa, Érech, Kisch, Lagash, Nippur et Ur.

      Recouverte d’alluvions déposées par les eaux en crue du Tigre et de l’Euphrate, la Babylonie en général était très fertile. Un important système d’irrigation et de drainage rendait possibles de belles récoltes d’orge, de blé, de dattes, de figues et de grenades.

      Les fouilles entreprises dans cette région, berceau de la civilisation, ont permis de mieux connaître les peuples qui l’habitaient dans l’Antiquité ainsi que leur genre de vie. Le déchiffrement de milliers de tablettes d’argile et d’autres inscriptions a révélé que déjà à cette époque-​là les habitants de la région signaient des contrats ou des baux et commerçaient avec d’autres peuples. Ils disposaient d’un système de poids et mesures et connaissaient les mathématiques. Grâce à l’astronomie, qui était d’autre part utilisée par les astrologues adorateurs de démons, ils étaient capables de mesurer le mouvement des corps célestes et la durée de celui-ci, ce qui leur permit d’élaborer des calendriers très utiles.

      Dans la première moitié du huitième siècle avant notre ère, la Babylonie fut dominée par un roi assyrien du nom de Tiglath-Piléser III (Pul) (II Rois 15:29; 16:7; I Chron. 5:26). Par la suite, sous le règne de Sargon II, Mérodach-Baladan, un Chaldéen, se proclama roi de Babylone avec le soutien des Élamites et de certains Araméens. Mais quelques années plus tard, il fut renversé par Sargon. Sennachérib, qui succéda à Sargon II, dut faire face à une nouvelle révolte des Babyloniens conduite par Mérodach-Baladan. Après que Sennachérib eut vainement tenté de prendre Jérusalem en 732 avant notre ère, Mérodach-Baladan envoya des messagers à Ézéchias, roi de Juda, peut-être pour obtenir son soutien dans sa lutte contre l’Assyrie (És. 39:1, 2; II Rois 20:12-18). Quelques années plus tard, Sennachérib chassa Mérodach-Baladan et se couronna lui-​même roi de Babylone, royauté qu’il conserva jusqu’à sa mort. Ésar-Haddon, son fils, reconstruisit Babylone. Assurbanipal, qui lui succéda, domina Babylone par l’entremise d’un vice-roi. Après la mort d’Assurbanipal, les Babyloniens se rallièrent à Babopolassar à qui ils accordèrent la royauté. C’était le début de la dynastie néo-babylonienne qui allait se perpétuer jusqu’à Belschazzar.

      En 632, l’Assyrie se trouvait probablement sous la domination de cette nouvelle dynastie chaldéenne qui bénéficiait du soutien de ses alliés mèdes et scythes. En 625, le fils de Nabopolassar, Nébucadnezzar II, infligea une défaite à Néco, le pharaon d’Égypte, à la bataille de Carkémisch, et, un peu plus tard la même année, il prit en main la direction de l’empire (Jér. 46:1, 2). En 620, il obligea Jéhoïakim à lui payer le tribut, mais deux ans après Jéhoïakim se révolta. En 618, durant la troisième année de Jéhoïakim en tant que roi tributaire de Babylone, Nébucadnezzar monta contre Jérusalem (II Rois 24:1; II Chron. 36:6). Cependant, Jéhoïakim mourut avant que les Babyloniens ne puissent le capturer. Jéhoïakin, qui succéda à son père, se rendit sans tarder aux Babyloniens et fut emmené captif à Babylone avec d’autres Juifs de famille noble. C’était en 617 (II Rois 24:12). Nébucadnezzar plaça donc Sédécias sur le trône de Juda. Mais en 609, Sédécias s’étant rebellé lui aussi, les Babyloniens mirent de nouveau le siège devant Jérusalem et ouvrirent finalement une brèche dans ses murailles en 607. — II Rois 25:1-10; Jér. 52:3-12.

      Parmi les tablettes portant une écriture en caractères cunéiformes qui ont été découvertes, au moins une se réfère à la campagne que Nébucadnezzar mena contre l’Égypte dans la trente-septième année de son règne (588/587 av. n. è.). Peut-être était-​ce lorsque la puissante Égypte fut assujettie à la domination babylonienne, conformément à ce que le prophète Ézéchiel avait annoncé, probablement en 591 (Ézéch. 29:17-19). Finalement, après un règne de 43 ans au cours duquel il assujettit de nombreuses nations et entreprit un vaste programme de construction à Babylone, Nébucadnezzar II mourut, et Évil-Mérodach (Awêl-Marduk), son fils, lui succéda en 581. Le nouveau roi se montra bienveillant envers Jéhoïakin, son prisonnier (II Rois 25:27-30). Après ces événements, l’histoire babylonienne devient très obscure.

      On dispose de renseignements historiques plus complets à propos de Nabonide et de son fils Belschazzar qui, selon toute apparence, régnaient ensemble au moment de la chute de Babylone.

      À cette époque-​là, les Mèdes et les Perses, conduits par Cyrus le Grand, étaient en voie de s’approprier la domination de la Babylonie et de devenir la Quatrième Puissance mondiale. Dans la nuit du 5/6 octobre 539 (selon le calendrier grégorien), Babylone fut prise et Belschazzar tué. Deux ans après, Cyrus promulgua le célèbre décret qui permettait à près de 50 000 captifs de retourner à Jérusalem. Environ deux siècles plus tard, la domination perse de la Babylone prit fin quand Alexandre le Grand conquit Babylone en 331. Au milieu du deuxième siècle avant notre ère, la Babylonie était assujettie aux Parthes, qui avaient pour roi Mithridate Ier. Comme des communautés juives prospéraient dans cette région du monde, Pierre, l’apôtre des Juifs, se rendit à Babylone d’où il écrivit au moins une de ses lettres divinement inspirées (Gal. 2:7-9; I Pierre 5:13). Les chefs juifs de ces communautés orientales produisirent le targum babylonien, connu aussi sous le nom de targum d’Onkelos, ainsi qu’un certain nombre de manuscrits des Écritures hébraïques. Un des plus importants de ces textes orientaux ou babyloniens est enregistré au catalogue sous le nom de codex Babylonicus Petropolitanus. Ce manuscrit, qui date de 916 de notre ère, se trouve actuellement à Leningrad (U.R.S.S.). En 226 de notre ère, les rois parthes qui régnaient sur la Babylonie furent remplacés par la dynastie sassanide (perse) et, vers 640, les Arabes musulmans devinrent les nouveaux maîtres de la Babylonie. — Voir BABYLONE.

  • Baca
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    • BACA

      (héb. bâkâ).

      Plante qui joua un rôle important lors du combat que David engagea avec les prêtres “dans la basse plaine de Réphaïm”. (II Sam. 5:22-25; I Chron. 14:13-16.) On ne trouve qu’une seule autre mention de cette plante, en Psaume 84:6: “Passant par la basse plaine des bacas, ils la transforment en source.” C’est peut-être une allusion à la même “basse plaine de Réphaïm” où se déroula le combat de David et que l’on situe au sud-ouest de Jérusalem.

      Le mot hébreu pour baca est dérivé d’une racine signifiant “verser des larmes” ou “dégoutter”. Il semble donc désigner une plante, un arbuste ou un arbre qui secrète des larmes de gomme ou un suc laiteux. Toutefois, on ne peut l’identifier avec certitude. La Bible ne spécifie pas ce qui provoqua le “bruit de gens qui marchent”. Étaient-​ce les feuilles, les branches ou d’autres parties de la plante, les cosses ou les épines par exemple? Elle dit seulement que ce bruit se produisit “dans les cimes” des bacas. Ce ne fut peut-être qu’un simple bruissement qui servit de signal ou bien, comme le suggèrent certains, un bruit assez fort causé par un vent impétueux qui servit à couvrir ou même à simuler le bruit d’une armée en marche.

  • Bacbaccar
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    • BACBACCAR

      {Article non traduit.}

  • Bacbuc
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    • BACBUC

      {Article non traduit.}

  • Bacbukiah
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    • BACBUKIAH

      {Article non traduit.}

  • Bagages, I
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    • BAGAGES, I

      {Article non traduit.}

  • Bagages, II
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    • BAGAGES, II

      {Article non traduit.}

  • Baharumite
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • BAHARUMITE

      {Article non traduit.}

  • Bahurim
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    • BAHURIM

      {Article non traduit.}

  • Bain
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    • BAIN

      Voir PUR, PURETÉ.

  • Baiser
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    • BAISER

      Dans les temps bibliques, le baiser sur les lèvres (Prov. 24:26), sur la joue ou, exceptionnellement, sur les pieds (Luc 7:37, 38, 44, 45) était une marque d’affection ou de respect. Il était courant pour les membres d’une même famille de s’embrasser, non seulement entre hommes et femmes (Gen. 29:11; 31:28), mais aussi entre hommes (Gen. 27:26, 27; 45:15; Ex. 18:7; II Sam. 14:33). C’était également une marque d’affection entre amis intimes (I Sam. 20:41, 42; II Sam. 19:39). Une bénédiction pouvait s’accompagner de baisers. — Gen. 31:55.

      Un accueil affectueux s’exprimait par des baisers auxquels se mêlaient parfois des larmes et des étreintes (Gen. 33:4). Dans l’illustration de Jésus sur le fils prodigue, le père se jeta au cour de son fils à son retour et il “l’embrassa tendrement”. (Luc 15:20.) On embrassait aussi une personne aimée lorsqu’on se séparait d’elle (Gen. 31:55; Ruth 1:9, 14). Quand l’apôtre Paul fut sur le point de quitter Milet, les anciens de la congrégation d’Éphèse furent si émus qu’ils versèrent des larmes, “se jetèrent au cou de Paul et l’embrassèrent tendrement”. — Actes 20:17, 37.

      La Bible parle très peu des baisers associés aux relations amoureuses entre un homme et une femme (Cant. 1:2; 8:1). Dans une mise en garde contre les artifices de la femme de mauvaise vie, le livre des Proverbes conseille de se défier du baiser séducteur de la prostituée. — Prov. 7:13.

      Les baisers pouvaient être hypocrites. Quand Absalom intriguait pour s’emparer du pouvoir, il embrassait les hommes qui s’approchaient pour se prosterner devant lui (II Sam. 15:5, 6). Le baiser du traître Joab signifia la mort pour Amasa qui l’avait accueilli sans méfiance (II Sam. 20:9, 10). C’est aussi par un baiser trompeur que Judas Iscariote trahit Jésus Christ. — Mat. 26:48, 49; Marc 14:44, 45.

      DANS LE FAUX CULTE

      Jéhovah interdisait de donner un baiser aux faux dieux en signe d’adoration, et il parla de 7 000 hommes qui n’avaient pas plié les genoux devant Baal et qui ne l’avaient pas embrassé (I Rois 19:18). Éphraïm fut tancé pour avoir fait des idoles et dit: “Que les sacrificateurs qui sont des hommes embrassent de simples veaux!” (Osée 13:1-3). Les Grecs et les Romains avaient coutume de se baiser la main en l’honneur de leurs idoles quand celles-ci leur étaient inaccessibles et de saluer de la même manière le soleil levant. Job 31:27 fait peut-être allusion à une telle pratique idolâtrique.

      LE “SAINT BAISER”

      Les premiers chrétiens pratiquaient le “saint baiser” (Rom. 16:16; I Cor. 16:20; II Cor. 13:12; I Thess. 5:26) ou “baiser d’amour” (I Pierre 5:14) qui ne s’échangeait peut-être qu’entre personnes du même sexe. Il est possible que cette façon de faire des premiers chrétiens corresponde à la coutume qu’avaient les anciens Hébreux de se saluer par un baiser. Bien que les Écritures ne fournissent aucun détail à ce sujet, le “saint baiser” ou “baiser d’amour” reflète de toute évidence les saines relations fraternelles empreintes d’amour et l’unité qui existaient dans la congrégation chrétienne. — Jean 13:34, 35.

      EMPLOI MÉTAPHORIQUE

      Quand les Écritures nous exhortent à ‘servir Jéhovah avec crainte’ et à ‘embrasser le fils pour qu’Il n’entre pas en courroux et que vous ne périssiez pas de dessus la voie’, le baiser symbolise alors le respect et l’attachement que l’on doit accorder à Jéhovah et à Jésus Christ (Ps. 2:11, 12). Ceux qui adoptent la bonne attitude et qui se soumettent au Roi et au Royaume de Dieu recevront de grandes bénédictions quand on pourra dire: “La justice et la paix — elles se sont embrassées”, parce que le lien entre ces deux choses sera aussi évident pour tous que les relations étroites et affectueuses qui unissent deux amis. — Ps. 85:10.

  • Balaam
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    • BALAAM

      (peut-être, dévorant ou dévoreur).

      Fils de Béor, il vécut au quinzième siècle avant notre ère à Péthor, ville araméenne de la haute vallée de l’Euphrate, près d’un autre fleuve, le Sajur. Sans être lui-​même Israélite, Balaam avait toutefois une certaine connaissance de Jéhovah qu’il reconnaissait comme le vrai Dieu. Il l’appela en une certaine occasion “Jéhovah, mon Dieu”. (Nomb. 22:5, 18.) C’était peut-être parce que de pieux adorateurs de Jéhovah (Abraham, Lot et Jacob) avaient séjourné

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