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  • Comment maintenir l’unité en des temps difficiles
    La Tour de Garde 1964 | 1er septembre
    • divin. Pleins de reconnaissance, nous pouvons dire avec David : “Jéhovah est mon pasteur ; je ne manquerai de rien. Il me fait reposer dans de verts pâturages, il me mène près des eaux rafraîchissantes. Il restaure mon âme.” — Ps. 23:1-3, AC.

      L’UNITÉ DANS LES PERSÉCUTIONS

      10, 11. Quelle ligne de conduite biblique est suivie par le peuple de Jéhovah dans les persécutions ?

      10 Conformément à la prophétie de Jésus consignée dans Matthieu chapitre 24, les témoins de Jéhovah ont subi de grandes persécutions en ce “temps de la fin”, à telle enseigne que les journaux du monde entier en parlent. À l’heure actuelle, il est particulièrement difficile d’effectuer l’œuvre chrétienne dans les États totalitaires, où les témoins sont soumis à des pressions et à des persécutions. Parce que Dieu les fortifie, ils arrivent à persévérer. Ils ne se rebellent pas contre les autorités politiques. Ils ne cherchent pas à se venger. Ce sont de fidèles chrétiens et non des révolutionnaires ou des contre-révolutionnaires. Ils ne s’attendent pas à recevoir le salut d’un système politique, quel qu’il soit, pas même du système démocratique. Ils n’espèrent qu’en le Royaume de Dieu, lequel fera toutes choses nouvelles. — Apoc. 21:5.

      11 S’il importe que les témoins de Jéhovah fassent en tout temps le maximum pour maintenir l’unité dans leurs rangs, cela est plus important encore lors des épreuves et des persécutions, quand l’œuvre doit s’effectuer clandestinement. Pour quelles raisons ?

      12. Qu’est-​ce qui peut se produire quand l’œuvre est interdite ?

      12 Dès que l’œuvre est interdite dans un pays, comme c’est le cas en Roumanie, en Hongrie et en Russie, la correspondance avec le bureau central de Brooklyn est immédiatement interrompue. Il se peut qu’il n’y ait aucun échange de lettres pendant des mois. À l’intérieur des pays totalitaires, les relations épistolaires entre les congrégations et les frères responsables sont pratiquement suspendues. Le facteur n’apporte plus chez les témoins les périodiques, lettres d’instruction et autres imprimés de la Société. La nourriture spirituelle qui, en temps normal, est donnée avec abondance aux congrégations et aux particuliers, devient rare tout à coup. De nombreuses publications sont confisquées par la police. Les Salles du Royaume sont fermées et on n’a plus la possibilité de consulter des bibliothèques contenant les livres de la Société Watch Tower.

      13, 14. Quels efforts sont parfois déployés pour arrêter notre ministère, aussi qu’est-​ce qui est indispensable ?

      13 Mais il y a plus. Vraisemblablement, le surveillant de la congrégation et les frères responsables du bureau ont été privés de leur liberté et se trouvent quelque part en prison. D’autres frères, moins connus qu’eux, ont dû les remplacer. Il n’y a plus de grandes réunions. On se réunit clandestinement, en petits groupes. Il va de soi que ces conditions mettent à rude épreuve l’unité du peuple de Dieu, d’où la nécessité impérieuse de tout faire pour la conserver.

      14 Un dicton latin déclare : “Divide et impera” (Divise et règne). Les gouvernements totalitaires essaient souvent de pratiquer ce principe pour faire éclater l’organisation des témoins de Jéhovah. Incapables de détruire notre organisation par une attaque de front, ils s’efforcent de l’atteindre à l’intérieur par des moyens rusés destinés à rompre notre unité.

      15. Comment certains témoins ont-​ils résisté à la tentation ?

      15 Par exemple, dans certains pays totalitaires, on s’est adressé aux frères avec des paroles flatteuses, leur disant quels grands avantages ils auraient s’ils coopéraient avec le gouvernement, au lieu de se faire punir à cause de leur attachement “extrême” et opiniâtre aux principes chrétiens. Certains frères se sont vu offrir par le gouvernement des fonctions avec responsabilités dans l’organisation des témoins de Jéhovah, avec des promesses d’un régime de faveur s’ils acceptaient. Mais les frères ont refusé cette offre non théocratique. L’un d’eux répondit : “Je ne me laisse pas acheter.” Ces frères avaient compris qu’une nomination à une charge dans l’organisation théocratique ne pouvait venir d’un gouvernement du présent monde, mais seulement de l’organisation elle-​même. Ils repoussèrent les flatteries. — Ps. 12:3 12:2, NW.

      16. Quelles méthodes ont été utilisées pour semer la confusion parmi les témoins de Jéhovah ?

      16 Dans un pays communiste, la police secrète de l’État envoya à certains frères des circulaires polycopiées, portant de graves accusations contre ceux qui occupaient des postes comportant des responsabilités au sein de l’organisation des témoins de Jéhovah. Ils étaient accusés d’être des ivrognes, des adultères et des traîtres. Le but de ces lettres était clair : semer la confusion et ébranler la confiance que les frères mettaient en ces serviteurs responsables. Il va de soi que ces circulaires ne précisaient pas qu’elles provenaient de la police secrète. Bien au contraire, les enveloppes portaient, comme expéditeurs, les noms de frères fidèles, ce qui laissait croire que les lettres étaient envoyées par ces frères. Dans un autre pays, la police secrète alla jusqu’à éditer de faux numéros de La Tour de Garde, toujours dans le dessein d’embrouiller l’esprit des frères. Elle prit des articles authentiques de ce périodique et les récrivit en les altérant, mais les frères décelèrent la différence, et ainsi ce projet échoua.

      17. Quelle est notre responsabilité ? Donnez un exemple.

      17 Une autre méthode utilisée pour “diviser et régner” dans certains pays où notre œuvre est interdite, consiste à dresser les frères les uns contre les autres. Par exemple, un juge instructeur qui a pu recueillir des faits sur notre œuvre clandestine, les expose au frère qu’il interroge et lui dit : “Votre frère N... m’a révélé ces faits. Vous voyez, il a coopéré avec nous. Pourquoi refusez-​vous de faire comme lui ?” Ainsi le juge donne au frère l’impression qu’il a été trahi. Mais certains frères qui se sont trouvés dans cette situation, ont demandé à être confrontés avec le frère qui est censé avoir fait de telles révélations à la police. En général, on n’accède pas à cette requête et alors les frères savent qu’il s’agit d’un piège. En aucun cas il ne faut vous laisser impressionner par de tels mensonges et manœuvres. Mais que ferez-​vous s’il est établi qu’un frère a effectivement capitulé et trahi ses frères ? Vous n’avez aucune raison de suivre son exemple. Vous n’êtes pas responsable de ses actions, mais vous répondrez de votre propre comportement, et vous avez le devoir de protéger vos frères fidèles. N’oubliez pas qu’il faut suivre les bons exemples, et de nombreux cas d’hommes fidèles des temps passés sont relatés dans Hébreux chapitre 11.

      18. Pourquoi les Écritures nous déconseillent-​elles de nommer un nouveau converti à une position comportant des responsabilités ?

      18 Les Écritures nous conseillent de ne pas nommer un nouveau converti à une charge dans la congrégation chrétienne. “Ni un homme fraîchement converti, de peur qu’il ne s’enfle d’orgueil et ne tombe dans le jugement passé sur le Diable.” (I Tim. 3:6, MN). Ce principe est à respecter tout particulièrement en des temps de persécution. Un homme nouvellement converti est peut-être zélé dans le service du Royaume, mais possède-​t-​il la maturité ? Dans des conditions normales, on peut mieux surveiller et aider un tel homme, mais lorsque le Royaume de Dieu est annoncé clandestinement, cette surveillance est plus difficile à assurer. Un nouveau converti peut provoquer des divisions s’il agit à sa guise. Il se peut qu’il n’ait pas encore appris à suivre les directives de l’“esclave fidèle et avisé”. Il est trop sûr de lui. Il suit ses propres idées au lieu de celles de Dieu. Il ne s’aperçoit pas que son comportement peut avoir des conséquences néfastes pour lui-​même et pour les autres. Il peut soit être prêt à transiger avec sa conscience, soit être un extrémiste fanatique. S’il était le surveillant d’une congrégation, il pourrait causer la désunion. C’est pourquoi, quand l’œuvre s’effectue dans la clandestinité, il faut faire très attention à ne nommer aux positions de service que des frères éprouvés et dignes de confiance. “De plus, que ceux-ci soient d’abord éprouvés quant à l’aptitude, puis qu’ils servent comme ministres, lorsqu’ils ne sont pas sous le coup d’accusations.” (I Tim. 3:10, MN). Cela est vrai de tous les surveillants, mais plus particulièrement des serviteurs de circonscription et de district, qui constituent le moyen de contact entre les congrégations dans un pays.

      19. Quel procédé biblique peut être utilisé pour mettre fin à une dispute ?

      19 Si la désunion devait se manifester, les frères devraient accepter sans hésitation les directives données par les serviteurs chargés de la direction de l’œuvre dans un pays, car leurs conseils seraient basés sur la Parole de Dieu. Si la situation l’exige, il se peut même que le bureau central de la Société écrive une lettre renfermant des conseils et faisant connaître certaines décisions. Dans l’Église primitive, il y eut un cas où une différence d’opinion fut réglée par une lettre du collège central. La question qu’il fallait trancher concernait la circoncision. D’aucuns répandaient l’idée que la circoncision était indispensable au salut. Or, cette opinion était erronée (Actes 15:1), et elle semait la dissension. Dès que les frères responsables à Jérusalem eurent éclairci la question, la réponse déclarant que la circoncision n’était plus nécessaire, fut communiquée aux congrégations au moyen d’une lettre. Le contenu très intéressant de cette lettre est consigné dans Actes 15:23-29. La lettre du collège central encouragea et aida les frères. “Après l’avoir lue, ils se réjouirent de l’encouragement.” — Actes 15:31, MN.

      20. Quel problème impliquant la neutralité chrétienne rencontre-​t-​on parfois, et comment peut-​on le résoudre ?

      20 Le chrétien mûr sait quelle attitude il doit adopter lors des élections politiques. Dans les pays totalitaires, souvent on oblige les gens à voter et on vient les chercher chez eux pour les emmener au bureau de vote. Même dans certaines démocraties, le vote est obligatoire. Quel que soit le pays où ils se trouvent, les témoins de Jéhovah ne prennent pas part à la politique, car ils ne font pas partie de ce monde (Jean 17:14). C’est pourquoi ils ne participent pas aux élections. Cependant, ils ne violent pas leur neutralité s’ils se rendent aux urnes et invalident le bulletin de quelque manière, soit en le barrant ou en y portant la mention : “Je vote pour le Royaume de Dieu.” Ils indiqueraient ainsi quelle est leur préférence et en rendant leur bulletin nul, ils ne participeraient pas à l’élection d’un homme. Ils auraient respecté la loi en se rendant au bureau de vote et évité probablement de se faire punir. N’oubliez pas ce conseil de Jésus : “Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups ; montrez-​vous donc prudents comme les serpents et cependant innocents comme les colombes.” (Mat. 10:16, MN). Personne ne devrait être condamné s’il agit de la sorte. “Mais pourquoi juges-​tu ton frère ? Ou toi aussi, pourquoi méprises-​tu ton frère ? Car nous nous tiendrons tous devant le siège de justice de Dieu.” — Rom. 14:10, MN.

      21. En cas de doute, comment pouvons-​nous nous laisser diriger par la sagesse divine ?

      21 Mais que ferez-​vous lorsque vous vous trouverez dans une situation nouvelle qui n’a jamais été discutée et que vous aurez une décision à prendre ? Il se peut que vous n’ayez personne à consulter. L’homme voué qui connaît les principes divins énoncés dans la Bible devrait être à même de prendre de bonnes décisions sans difficulté. Nous sommes conscients de nos devoirs vis-à-vis des hommes, mais avant tout nous savons quels sont nos devoirs envers Jéhovah. Nous devons l’aimer et lui obéir en premier lieu (Mat. 22:36-40). Nous sommes dans le monde mais nous n’en faisons pas partie. D’où notre neutralité à l’égard de la politique et des guerres. Nous savons quel doit être notre comportement envers les personnes de l’autre sexe. Nous sommes renseignés sur l’emploi abusif qu’on fait du sang. Nous n’ignorons pas ce que les Écritures déclarent à propos de l’ordre qui doit régner au sein des familles et des congrégations chrétiennes, et concernant la bonne attitude à adopter envers notre patron et le gouvernement. Si notre conscience est éclairée par les principes bibliques, nous serons à même de prendre de bonnes décisions. Dans le doute, la voie de la sagesse consiste à obéir à notre conscience. Dans une situation qui exige une prise de position, nous devrions prier Jéhovah pour qu’il nous guide. “À cause de ton nom tu me conduiras, tu me dirigeras.” — Ps. 31:4 31:3, NW.

      22. Comment le corps humain constitue-​t-​il un excellent exemple de l’unité d’une organisation ?

      22 La Bible contient une image très appropriée de l’unité et de la bonne coopération qui doivent exister. Lisez I Corinthiens chapitre 12. Ici, le corps humain est pris comme exemple. En effet, le corps bien uni et complet donne une belle image de l’unité. Il fonctionne harmonieusement en vue du bien-être de tout l’organisme. Dès qu’un organe cesse de fonctionner normalement, en général des dérangements ou des maladies se déclarent. Bien que dispersés dans le monde entier, les témoins de Jéhovah organisés en société d’un monde nouveau, peuvent se comparer à un corps humain. Leur organisation dans un pays donné ressemble également à un corps humain. Tous ses membres ne remplissent pas la même fonction. “S’ils étaient tous un seul membre, où serait le corps ? Mais maintenant ils sont beaucoup de membres, cependant un seul corps. L’œil ne peut dire à la main : ‘Je n’ai pas besoin de toi’ ; ou, encore, la tête ne peut pas dire aux pieds : ‘Je n’ai pas besoin de vous.’” — I Cor. 12:19-21, MN.

      23. Comment notre unité pourra-​t-​elle résister aux pressions venant de l’extérieur, et quelle erreur convient-​il d’éviter ?

      23 Dans la clandestinité, il ne faut pas oublier ce principe. Dans une telle situation, l’œuvre est dirigée par des frères responsables à partir d’un point central. C’est la tête du corps. Elle reçoit non seulement la nourriture spirituelle à distribuer dans tout le pays, mais encore des instructions et des conseils utiles. Souvenons-​nous que la Parole de Dieu sera toujours pour nous un guide véridique. Si nous vivons en chrétien, à l’exemple de Jésus, et que nous prêchions la bonne nouvelle du Royaume de Dieu, nous ferons ce qui est juste. En agissant ainsi, nous maintiendrons notre unité, même lorsque nous serons soumis à des pressions et à des persécutions. Autant que possible, nous tâcherons de rester en contact avec l’agence responsable de l’œuvre dans notre pays. Nous devrions connaître les frères qui sont fidèles. Ainsi, nous éviterons de commettre la même erreur que certains des frères de Corinthe, dont il est écrit : “Ce que je veux dire est ceci, que chacun de vous dit : ‘J’appartiens à Paul,’ ‘Mais moi à Apollos’, ‘Mais moi à Céphas,’ ‘Mais moi à Christ.’ Le Christ existe-​t-​il divisé ?” (I Cor. 1:12, 13, MN). Évidemment, la réponse à cette question est Non ! C’est pourquoi, partout où ils se trouvent, les témoins de Jéhovah resteront unis à tous leurs frères fidèles.

      24. Le lien de l’amour est-​il fort, et comment nous protégera-​t-​il ?

      24 Jéhovah a appelé son peuple et l’a fait sortir de la confusion du présent monde (I Pierre 2:9). Il a invité son peuple à s’unir ; les frères doivent être en union avec lui et les uns avec les autres. Le nouveau système de choses, qui approche tous les jours, connaîtra cette unité. L’ordre du jour adressé à nous tous qui vivons en ces temps difficiles est de préserver l’unité et de rester unis au sein de l’organisation de Jéhovah, quelles que soient les circonstances, que nous nous trouvions en liberté ou dans les persécutions. Un lien parfait nous a été donné : “Mais, en plus de toutes ces choses, revêtez-​vous de l’amour, qui est un parfait lien d’union.” (Col. 3:14, MN). L’amour pour Jéhovah et pour notre prochain peut être très fort et constituer un lien que rien ne pourra briser. Il nous lie ensemble, que nous habitions au Nord ou au Sud, à l’Est ou à l’Ouest. Il nous unit, que nous soyons libres de prêcher l’évangile et de nous réunir, ou contraints de servir Dieu clandestinement. L’amour nous empêchera de faire un mauvais usage de notre langue et de blesser nos frères. L’amour nous aidera à reconnaître en tous temps l’ordre théocratique qui règne au sein de la famille de Dieu. Grâce à cette qualité, nous nous garderons d’agir avec présomption et indépendance. Nous éviterons d’être égoïstes, de nous complaire en nous-​mêmes et d’agir soit en extrémistes, soit en lâches. Enfin, l’amour nous empêchera de briguer un poste de responsabilité auquel nous n’avons pas été nommés. Nous attendrons la décision de Jéhovah.

      25. Quels bons conseils Paul nous donne-​t-​il pour nous aider à maintenir l’unité en des temps difficiles ?

      25 Cultivons donc le merveilleux attribut qu’est l’amour, et cela d’autant plus que le présent système de choses approche de sa chute et que le peuple élu de Jéhovah passera alors par des épreuves. Par ces paroles émouvantes, l’apôtre Paul nous exhorte à l’unité : “Seulement, conduisez-​vous d’une manière digne de la bonne nouvelle sur le Christ, afin que, soit que je vienne vous voir ou que je sois absent, j’apprenne à propos des choses qui vous concernent, que vous tenez ferme dans un même esprit, combattant côte à côte d’une même âme pour la foi de la bonne nouvelle, et n’étant effrayés en rien par vos adversaires. Cette chose même est un signe de destruction pour eux, mais de salut pour vous ; et cette indication est de Dieu.” — Phil. 1:27, 28, MN.

  • Aidés par les articles de La Tour de Garde
    La Tour de Garde 1964 | 1er septembre
    • Aidés par les articles de La Tour de Garde

      PROMPT À OFFRIR SON AIDE

      Le surveillant d’une congrégation de témoins de Jéhovah de l’Illinois rapporte le fait suivant : “Un matin, en rentrant chez moi en voiture, j’écoutais le programme au cours duquel il était permis aux auditeurs de téléphoner pour poser des questions ou exprimer leur opinion à la radio sur un sujet quelconque. Un auditeur téléphona pour demander qu’on lui donnât des renseignements sur la PES (perception extrasensorielle). Ayant lu, dans La Tour de Garde, l’article sur “Qu’est-​ce que la perception extrasensorielle ?” et me rappelant les renseignements fournis dans la brochure Les Écritures enseignent-​elles la “survivance” ?, je courus à la maison et téléphonai au directeur de la station pendant près de quinze minutes ; je lui laissai mon numéro de téléphone pour le cas où l’on voudrait m’appeler.

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