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Le pouvoir transformateur de la Parole de DieuLa Tour de Garde 1968 | 15 septembre
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années, un ministre visitait les foyers des îles Fidji quand il rencontra un homme d’affaires important qui le reçut avec chaleur et lui dit : “Depuis des années la ville était harcelée par une bande de malfaiteurs qui occasionnaient aux hommes d’affaires de nombreux ennuis et la perte de certains biens. Puis, il y a environ un an, les témoins de Jéhovah sont venus dans la ville. Peu de temps après, plusieurs chefs de cette bande de voyous sont devenus témoins de Jéhovah, et ce sont maintenant des citoyens paisibles et respectables. À la suite de ce changement, la situation générale s’est considérablement améliorée au cours de l’année dernière.”
Apprenez à connaître le pouvoir de la Parole de Dieu. Acceptez l’offre des témoins de Jéhovah consistant à étudier gratuitement la Bible avec vous et votre famille. Vous constaterez vous-même la véracité de la déclaration suivante faite autrefois par un des premiers présidents des États-Unis, Thomas Jefferson : “La lecture réfléchie du Livre sacré fera de meilleurs citoyens, de meilleurs pères, de meilleurs maris (...). La Bible fait les meilleurs habitants du monde.”
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Le papyrus au premier siècleLa Tour de Garde 1968 | 15 septembre
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Le papyrus au premier siècle
Le papyrus fut la matière sur laquelle furent écrites les Écritures grecques chrétiennes. Formée de la partie interne de la plante appelée papyrus, cette substance était résistante quoique relativement peu coûteuse. C’est pourquoi elle était universellement utilisée à l’époque de Jésus et de ses apôtres. Camden M. Cobern nota certains faits intéressants concernant le papyrus de ce temps-là, dans son ouvrage The New Archeological Discoveries. Il dit : “Les dimensions ordinaires d’une feuille de papyrus aux jours des apôtres étaient d’environ douze centimètres sur vingt-cinq, et la qualité courante se vendait souvent en rouleaux d’environ une vingtaine de feuilles, le prix de chaque feuille s’élevant à un peu plus de vingt-cinq cents (soit 1,25 fr.). Bien que la largeur des papyrus bon marché ne fût que de quinze centimètres, il existait une qualité supérieure appelée Charta Livia (...) dont la largeur était de vingt centimètres ou plus ; et la qualité la meilleure, appelée Hieratica (...) avait une largeur d’un peu plus de vingt-quatre centimètres (...). Il est douteux que l’un quelconque des rédacteurs du Nouveau Testament ait jamais utilisé dans sa vie les papyrus de qualités supérieures, et l’on peut tenir pour un fait établi que tous les livres qui composent le Nouveau Testament furent écrits sur des papyrus de qualité médiocre ou inférieure. Mais depuis, au cours des années, on en vint à faire un usage courant du papier toilé, au huitième ou au neuvième siècle de notre ère ; il n’a jamais connu la vogue des humbles papyrus de ce premier siècle qui reçurent les autographes des apôtres et des évangélistes au fur et à mesure qu’ils racontaient l’histoire de l’Homme de Nazareth, ‘un pauvre travaillant avec les pauvres’.”
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