-
Puisons notre joie à faire des disciplesLa Tour de Garde 1966 | 1er août
-
-
en arrière mes [cinquante-neuf années] passées comme témoin de Jéhovah.” En 1900, à l’âge de vingt et un ans, il se rendit aux États-Unis et eut connaissance de la vérité quatre ans plus tard. En 1909, il fut invité à travailler au siège de la Société Watchtower, et devint un serviteur de Dieu fidèle et zélé. Il ajoute : “En revoyant les [cinquante-neuf années] que j’ai passées dans le service de Jéhovah, je puis affirmer sans mentir qu’elles furent les plus heureuses de ma vie. J’ai vécu [cinquante-six] d’entre elles comme membre de la famille du Béthel de Brooklyn, privilège de service que je recommande de tout mon cœur à tout jeune chrétien. Bien sûr, il y a eu quelques épreuves, mais elles ont accru notre foi en Jéhovah. Je n’ai jamais douté que Dieu se sert de la Société pour diriger l’œuvre de témoignage mondial annoncé par Jésus dans Matthieu 24:14. Comme Paul l’a déclaré, les souffrances ‘ne sont pas à comparer à la gloire qui doit se révéler en nous’.”
26. Comment un grand nombre de membres âgés de la famille du Béthel de Brooklyn considèrent-ils la nécessité de s’assembler avec leurs frères ?
26 Les fidèles serviteurs de Dieu semblables à ceux-ci sont nombreux au siège central de Brooklyn. Ils sont âgés, mais ils continuent de servir Dieu fidèlement. Parfois ils ont des difficultés pour entendre tout ce qui est dit, mais ils ne manquent jamais une réunion. Bien que pour certains cela exige de gros efforts et l’aide de frères plus jeunes, ils sont toujours présents à la discussion biblique qui précède le petit déjeuner, aux assemblées, grandes ou petites, aux réunions de leur congrégation, bien que parfois celles-ci soient éloignées et qu’ils aient à marcher. La joie qu’ils éprouvent à se réunir avec ceux qui s’intéressent aux œuvres de Dieu demeure aussi intense.
27. Quelles sont quelques-unes des pensées que nous devrions garder présentes à l’esprit pour trouver le vrai bonheur ?
27 En vérité, ce ne sont pas les distractions qui font le bonheur, c’est le dur labeur. Encore faut-il que ce soit la bonne sorte de travail, c’est-à-dire l’activité déployée en faveur d’autrui. Aucun autre travail ne peut satisfaire à cette exigence comme l’œuvre consistant à faire des disciples de Jésus-Christ. Non seulement vous serez heureux de participer à l’activité elle-même, mais encore, vous trouverez le bonheur et le contentement dans tout ce que vous ferez. Oui, le fait de consacrer votre vie à cette œuvre aura un effet sur toute votre existence. Êtes-vous réellement heureux dans votre activité présente ? Sinon, vous n’avez certainement pas choisi la bonne carrière. Vous devriez puiser votre joie à faire des disciples.
-
-
Un moyen infaillible de reconnaître le MessieLa Tour de Garde 1966 | 1er août
-
-
Un moyen infaillible de reconnaître le Messie
1. Dès la chute de l’homme en Éden, quel espoir Dieu donna-t-il ?
DÈS le commencement, aussitôt après la chute de l’homme en Éden, Dieu prononça une prophétie très encourageante. Il promit de susciter une postérité qui écraserait la tête de l’ennemi de Dieu (Gen. 3:15). Précisant cette promesse, il affermit la foi des hommes d’autrefois en leur fournissant des renseignements relatifs à cette Postérité, indiquant finalement que celle-ci serait appelée en hébreu le Messie. C’est en lui que les nations fonderaient leur espoir. De la foi et de l’espérance en ce bon et vrai Messie dépendrait la vie ou la mort. Il ressort de ce fait que
-