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L’archéologie confirme la BibleLa Tour de Garde 1981 | 1er janvier
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admettre que les cieux et la terre proviennent du corps d’une déesse coupé en deux? Ce ne sont là que deux exemples des mythes de la création auxquels plusieurs générations ont jadis ajouté foi.
Aujourd’hui, des hommes très instruits nous demandent de croire que l’univers et toutes les formes de vie sont apparus spontanément, sans l’intervention d’un Être vivant supérieur, alors que Louis Pasteur a démontré de façon irréfutable que la vie naît de la vie. N’est-il pas plus logique d’accepter le récit biblique qui dit tout simplement que l’univers matériel est une expression de “l’énergie dynamique” de Dieu? (Einstein et d’autres ont montré que la matière est une forme d’énergie.) N’est-il pas plus raisonnable de croire les Saintes Écritures, qui disent que toutes les formes de vie doivent leur existence à Dieu, la grande Source de vie, et que l’homme a été créé “à l’image de Dieu”? — Gen. 1:27; Ps. 36:9; És. 40:26-28; Jér. 10:10-13.
ABRAHAM ET L’ARCHÉOLOGIE
Abraham est l’un des principaux personnages de la Bible. Non seulement il est l’ancêtre de tous les rédacteurs bibliques, ainsi que des Juifs et de beaucoup d’Arabes, mais il est aussi appelé “le père de tous ceux qui ont foi”. (Rom. 4:11.) Les hommes de toutes les nations devraient chercher à savoir si ce que la Bible dit au sujet d’Abraham est exact. Pourquoi? Parce que c’est à lui que Dieu fit la promesse suivante: “Grâce à ta postérité se béniront assurément toutes les nations de la terre.” (Gen. 22:16-18). Si nous désirons faire partie de “ceux qui ont foi” et qui seront bénis par la postérité d’Abraham, nous devrions porter le plus grand intérêt aux preuves qui viennent confirmer les détails bibliques relatifs à la vie et à l’époque du patriarche.
La Bible nous apprend qu’Abraham (dont le nom était alors Abram) grandit à “Ur des Chaldéens”. (Gen. 11:27, 28.) S’agit-il d’un site légendaire? Qu’ont révélé les pelles et les pioches des archéologues? Dès 1854, J. Taylor tenta d’identifier Ur au Tell el-Muqayyar (le Mont de bitume), qui se trouvait à quelques kilomètres à peine à l’ouest de l’Euphrate. En 1869, dans un rapport au Collège de France, à Paris, l’orientaliste Jules Oppert établissait que le site en question était bien Ur, se fondant pour cela sur les inscriptions cunéiformes de cylindres en argile trouvés par Taylor. Bien plus tard, entre 1922 et 1934, Sir Leonard Woolley, archéologue britannique, confirma l’identification du site et découvrit même qu’Abraham avait quitté une ville florissante et hautement civilisée, où les maisons étaient confortables et où se dressait une imposante ziggourat dédiée au culte du dieu-lune Nanna, ou Sin. Les historiens avaient longtemps mis en doute l’existence de l’Ur mentionnée par le récit biblique en rapport avec Abraham. Cependant, la pelle des archéologues a prouvé que la Bible était véridique.
L’archéologie a aussi confirmé le caractère historique de nombreuses coutumes évoquées dans le récit biblique sur Abraham. Par exemple, à Nuzu, ou Nuzi, une ancienne ville hurrite située au sud-est de Ninive, on a mis au jour des tablettes d’argile qui authentifient certaines coutumes, telles que celles-ci: un esclave pouvait devenir l’héritier de ses maîtres quand ces derniers n’avaient pas d’enfant (voir ce qu’Abraham dit à propos de son esclave Éliézer, en Genèse 15:1-4); une femme stérile était dans l’obligation de donner une concubine à son mari (Sara, ou Saraï, donna Agar à Abraham, selon Genèse 16:1, 2); les transactions commerciales s’effectuaient à la porte de la ville (comme lorsque Abraham acheta le champ et la caverne de Macpélah, près d’Hébron, selon Genèse 23:1-20). Les exemples de déclarations bibliques confirmées par les fouilles de Nuzi sont si nombreuses que le Supplément au Dictionnaire de la Bible (volume VI, colonnes 663-672) y consacre plus de huit colonnes en petits caractères. L’Encyclopédie britannique dit: “Les documents de Nuzi ont éclairé bien des passages difficiles des récits patriarcaux de la Genèse qui datent de la même époque.”
LES NOMS PROPRES TROUVENT CONFIRMATION
L’archéologue français André Parrot procéda à des fouilles importantes sur l’emplacement de l’ancienne ville royale de Mari, dans la région du moyen Euphrate. La cité-état de Mari fut l’une des principales puissances de la haute Mésopotamie au début du deuxième millénaire avant notre ère, jusqu’au jour où elle fut prise et détruite par le roi babylonien Hammourabi. Dans les ruines de l’immense palais qu’ils ont exhumé, les archéologues français ont découvert plus de 20 000 tablettes d’argile. Certains de ces documents en écriture cunéiforme mentionnaient des villes appelées Péleg, Serug, Nahor, Térah et Haran, noms que l’on retrouve dans le récit de la Genèse comme étant ceux des ancêtres d’Abraham. — Gen. 11:17-26.
À propos de la ressemblance entre ces noms propres de l’Antiquité, John Bright écrivit dans son Histoire d’Israël (angl.): “Nulle part (...) il n’est fait mention des patriarches de la Bible eux-mêmes. Mais les innombrables preuves fournies par des documents contemporains de ces personnages montrent clairement que leurs noms concordent parfaitement avec les noms amorites du début du deuxième millénaire, plutôt qu’avec ceux de toute autre époque ultérieure. Sous ce rapport, les récits patriarcaux sont donc absolument authentiques.”
Plus près de nous, en 1976, des archéologues italiens et syriens ont identifié, dans le nord de la Syrie, l’ancienne cité-état d’Ebla. Le nom d’Ebla, pas plus que celui de Mari, n’apparaît dans la Bible. En revanche, il est fait mention de ces deux villes dans des textes qui datent de la période patriarcale. Qu’ont découvert les chercheurs sur ce nouveau site? Ils ont trouvé, dans la bibliothèque royale, des milliers de tablettes d’argile datant de la fin du troisième millénaire avant notre ère ou du début du deuxième. À propos de cette découverte, l’hebdomadaire Le Point a écrit ce qui suit dans son numéro du 19 mars 1979: “On relève d’étonnantes similitudes [avec les Écritures] entre des noms propres. Dans la Bible, ‘Abraham’; sur les tablettes d’Ebla, ‘Ab-ra-um’. Ésaü, E-sa-um; Michael, Mi-ki-ilu; David, Da-u-dum; Ismaël, Ish-ma-ilum; Israël, Ish-ra-ilu. Autres analogies: on trouve dans les archives d’Ebla des noms de villes qui figurent dans la Bible, mais dont la réalité historique avait été longtemps contestée par les exégètes: Sodome et Gomorrhe. (...) D’autres noms de villes citées dans la Bible se trouvent sur les tablettes — et, qui plus est, dans l’ordre même où elles sont énumérées dans l’Ancien Testament: Sodome, Gomorrhe, Admah, Zeboiim, Béla [Gen. 14:2].” Boyce Rensberger écrit dans le New York Times: “Certains biblistes croient que [les tablettes d’Ebla] valent les rouleaux de la mer Morte pour ce qui est d’appuyer et d’augmenter notre connaissance de la vie aux temps bibliques.”
LOIS ET COUTUMES
L’archéologie a joué un grand rôle pour ce qui est d’expliquer les coutumes auxquelles la Bible fait allusion et d’attester ainsi l’exactitude du récit biblique. Citons, à titre d’exemple, le chapitre 31 de la Genèse, où nous lisons que Rachel, la femme de Jacob, “vola les téraphim qui appartenaient à son père”, Laban (Gn 31 v. 19). Il est dit que Laban se mit ensuite en devoir de poursuivre sa fille et son gendre pendant sept jours pour retrouver ses “dieux”. (Vv. Gn 31:23, 30.) Or, une découverte archéologique faite à Nuzi, l’ancienne ville du nord de la Mésopotamie, a précisément révélé l’existence d’une loi patriarcale aux termes de laquelle la possession des dieux familiaux donnait à un homme le droit de propriété sur les biens de son défunt beau-père. Quand on se souvient que Laban était originaire du nord-est de la Mésopotamie et que l’on sait de quelle fourberie il usa envers Jacob. la connaissance de cette loi nous permet de mieux comprendre le geste étrange de Rachel et les efforts démesurés de Laban pour reprendre possession de ses “dieux”. Le musée du Louvre, à Paris, expose plusieurs de ces “dieux domestiques” découverts dans différentes villes de Mésopotamie. Leur petite taille (entre 10 et 15 centimètres) nous aide aussi à comprendre comment Rachel réussit à les cacher en s’asseyant sur le panier de la selle où elle les avait mis et en refusant de se lever quand Laban fouilla la tente. — Vv. Gn 31:34, 35.
L’une des plus belles pièces du Louvre est une stèle de pierre noire qui fait exactement 2,25 mètres de haut et que l’on connaît sous le nom de “code d’Hammourabi”. Sous un relief représentant le roi babylonien Hammourabi en train de recevoir l’autorité des mains du dieu-soleil Shamash. on trouve, sous forme de colonnes en caractères cunéiformes, le texte de 282 lois. Hammourabi ayant régné, suppose-t-on, de 1728 à 1686 avant notre ère, certains critiques de la Bible ont dit que Moïse, lorsqu’il rédigea les lois d’Israël plus d’un siècle et demi plus tard, ne fit que plagier le code du roi babylonien. Démentant cette accusation, W. Martin écrit (dans Documents from Old Testament Times):
“En dépit de nombreuses ressemblances, rien ne nous autorise à penser que le texte hébreu est directement issu du texte babylonien. Même là où les deux codes de lois diffèrent peu quant à la lettre, ils diffèrent beaucoup quant à l’esprit. Par exemple, dans le code d’Hammourabi, le vol et le recel d’objets volés sont passibles de mort (lois 6 et 22), alors que, dans les lois d’Israël, le châtiment consiste à dédommager la victime (Ex. 22:1; Lév. 6:1-5). Contrairement à la Loi mosaïque qui interdisait de ramener chez son maître un esclave qui s’était échappé (Deut. 23:15, 16), les lois babyloniennes condamnaient à mort quiconque hébergeait le fugitif. — Lois 15, 16, 19.”
L’orientaliste français Joseph Plessis écrit dans le Supplément au Dictionnaire de la Bible: “Il ne semble pas que le législateur des Hébreux ait utilisé les différents codes de Babylonie et d’Assyrie. On ne trouve point dans son œuvre de disposition qui apparaisse comme un emprunt indiscutable. Les ressemblances, pour intéressantes qu’elles soient, ne sont pas tellement caractéristiques qu’elles ne puissent s’expliquer aisément par la codification de coutumes communes à des peuples de commune origine.”
Alors que le code d’Hammourabi reflète un esprit de vengeance, la Loi mosaïque dit: “Tu ne devras pas haïr ton frère en ton cœur. (...) Tu ne devras pas te venger, ni garder de rancune contre les fils de ton peuple; et tu devras aimer ton prochain comme toi-même.” (Lév. 19:17, 18). Non seulement nous avons donc la preuve que Moïse ne fit aucun emprunt au code d’Hammourabi, mais une comparaison des lois bibliques avec celles qui sont gravées sur les tablettes et les stèles exhumées par les archéologues montre que les premières sont nettement supérieures à la législation des autres peuples de l’Antiquité.
L’ARCHÉOLOGIE ET LES ÉCRITURES GRECQUES
Que dire des Écritures grecques, que l’on appelle communément le “Nouveau Testament”? L’archéologie a-t-elle confirmé l’exactitude de cette partie importante de la Bible? Oui, et on a même écrit des livres entiers sur ce sujet. Dès 1890, le bibliste français F. Vigouroux publia un ouvrage de plus de 400 pages intitulé “Le Nouveau Testament et les découvertes archéologiques modernes”, dans lequel il apportait d’abondantes preuves à l’appui des Évangiles, des Actes des Apôtres et des différentes lettres chrétiennes. En 1895, W. Ramsay publia son livre Saint Paul, voyageur et citoyen romain (angl.), qui est devenu un classique du genre. On y trouve des renseignements très précieux sur l’authenticité des Écritures grecques chrétiennes.
Plus récemment sont parus d’autres livres et des articles d’érudition qui expliquent comment l’archéologie a prouvé la véracité de la Bible tout entière. Dans son livre L’archéologie du Nouveau Testament (angl.), dont la première édition est parue en 1970, E. Blaiklock écrit: “L’historiographie biblique a reçu des confirmations si frappantes que les historiens ont appris à respecter l’autorité de l’Ancien et du Nouveau Testament, ainsi qu’à admirer l’exactitude, le profond souci de vérité et la clairvoyance inspirée des différents rédacteurs qui donnèrent à la Bible ses livres historiques.”
L’archéologie confirme donc bien la Bible. Mais peut-on en dire autant des autres disciplines scientifiques?
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La science atteste l’exactitude de la BibleLa Tour de Garde 1981 | 1er janvier
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La science atteste l’exactitude de la Bible
LES découvertes scientifiques contredisent-elles la Bible? Répondons tout de suite que la Bible n’est pas un livre de science. Cependant, quand elle aborde des sujets scientifiques, elle réfute les spéculations ou les théories gratuites des humains. La découverte des lois de l’univers a confirmé à maintes reprises que les Saintes Écritures sont exactes et que le psalmiste avait raison de dire à propos de Dieu: “La substance de ta parole est la vérité.” (Ps. 119:160). Passons donc en revue l’astronomie, la médecine, la botanique, l’anatomie et la physiologie pour voir si ces sciences confirment bien l’exactitude de la Bible.
L’ASTRONOMIE
Personne n’ignore que les premiers chapitres de la Genèse ont fait l’objet de moqueries et de critiques particulièrement virulentes. À l’inverse de nombreux ecclésiastiques de la chrétienté, pour qui la Genèse n’est qu’un simple recueil de poésies et de légendes, Augustin, exégète et “Père de l’Église” catholique, déclara que le récit de la Genèse “ne relève pas de ce genre littéraire où les choses sont dites, en figure, (...) mais relate de bout en bout des faits qui se sont réellement passés, comme dans le livre des Rois et autres livres historiques”. (De Genesi ad litteram, VIII, 1, 2.) Un examen du premier chapitre de la Genèse nous montrera en fait que la Bible était fort en avance sur les conceptions de son temps.
Longtemps avant Aristote (384-322 avant notre ère), qui croyait que les étoiles étaient plantées dans le ciel comme des clous, la Genèse (1:6-8) parlait de la voûte céleste comme d’une “étendue” (Traduction du monde nouveau) ou d’un “firmament” (Bible Osty). Ce mot “firmament” vient du latin firmare, qui veut dire donner de la consistance, de la fermeté, ou rendre solide. Jérôme employa ce terme dans la Vulgate latine pour rendre l’hébreu raqiaʽ qui signifie, au contraire, “étendue”, “expansion”. Selon T. Moreux, ancien directeur de l’Observatoire de Bourges, en France, “cette expansion, qui constitue pour nous l’apparence du ciel, est désignée dans le texte hébreu par un mot que les Septante, influencés pas les idées cosmologiques de leur époque, ont traduit par stéréôma, firmament, voûte solide; rien de tout cela dans la bouche de Moïse: le mot hébreu raqiaʽ n’évoque que l’idée d’étendue ou mieux d’expansion”. La Bible a donc décrit l’étendue ou atmosphère qui est au-dessus de nous avec la plus grande exactitude.
La Genèse parle également de luminaires qui éclairent la terre “pour faire une séparation entre le jour et la nuit”. (Gen. 1:14-18.) Souvenez-vous que ces mots ont été écrits par Moïse au XVIe siècle avant notre ère. Maintenant, considérez l’une seulement des conceptions fantaisistes qui avaient alors cours. Paul Couderc, astronome de l’Observatoire de Paris, écrit ceci: “Jusqu’au Ve siècle avant notre ère, les hommes se sont trompés sur la question essentielle du jour et de la nuit. Pour eux, la lumière était une vapeur claire, les ténèbres une vapeur noire qui montait le soir de la Terre.” Quel contraste avec la déclaration succincte, mais scientifiquement exacte, de la Bible au sujet de ce qui détermine le jour et la nuit sur notre planète!
Les gens qui vivaient à l’époque de la rédaction de la Bible entretenaient d’étranges idées sur la forme et le fondement de la terre. Dans la cosmologie égyptienne, “l’Univers est une boîte rectangulaire, allongée dans le sens nord-sud, comme l’Égypte. La Terre en occupe le fond: c’est une plaine légèrement concave, avec l’Égypte au milieu. (...) Aux quatre points cardinaux, des pics très élevés soutiennent le ciel. Ce ciel est un couvercle métallique, plat ou bombé, percé de trous, d’où pendent au bout de câbles, comme des lampes, les étoiles”.
Des siècles plus tard, avait-on enfin abandonné ces théories puériles? Nullement. Anaximandre, astronome et philosophe grec du VIe siècle avant notre ère, soutenait ceci: “La Terre est cylindrique, trois fois plus large que profonde et, seule, la partie supérieure est habitée. Mais cette Terre est isolée dans l’espace et le ciel est une sphère complète au centre de laquelle se tient sans support notre cylindre: La Terre se trouvant à égale distance de tous les points du ciel.” Cent ans plus tard, Anaxagore croyait encore que la terre et la lune étaient plates.
La Bible, elle, était fort en avance sur les conceptions scientifiques de cette époque. Au XVe siècle avant notre ère, elle présentait le Créateur “suspendant la terre sur le néant”, et au VIIIe siècle avant notre ère, elle parlait du “cercle de la terre”. (Job 26:7; És. 40:22.) N’avez-vous pas constaté exactement la même chose lorsque, sur votre écran de télévision, on vous a présenté la terre telle que les astronautes l’ont photographiée depuis la lune?
MÉDECINE ET BOTANIQUE
La Bible parle de plantes et d’arbres qui croissent dans différents pays. Par exemple, elle mentionne très justement les propriétés curatives du baume, que l’on récolte sur quelques arbres à feuilles persistantes. Voici ce qu’on lit à ce sujet dans le Dictionnaire encyclopédique de la Bible, sous la plume de C. Martin: “De petites portions de mastic [résine] s’écoulent naturellement de l’arbre, mais pour en obtenir davantage on pratique sur le tronc des incisions longitudinales d’où la résine s’écoule en abondance (...). Il avait la réputation de calmer les douleurs et cicatriser les plaies: le baume de Galaad, renommé pour les blessures, est mentionné au figuré par Jérémie (8:22; 46:11; 51:8); il est encore cité proverbialement dans le langage moderne.” Plusieurs historiens grecs et romains, tels que Pline et Diodore de Sicile, firent aussi mention de ce baume.
Le récit biblique nous dit qu’au IXe siècle avant notre ère, le prophète hébreu Jonas se rendit à Ninive, ancienne capitale de l’Assyrie. Le résultat de son activité missionnaire fut que “les hommes de Ninive commencèrent à avoir foi en Dieu”. (Jonas 3:5.) Par la suite, il s’installa
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