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Qu’est-ce qui vous empêche de rendre le vrai culte à Dieu ?La Tour de Garde 1964 | 15 décembre
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veulent fuir les responsabilités. Est-ce votre cas ? Étudiez-vous la Bible chez vous avec des témoins de Jéhovah, sans mettre en pratique ce que vous entendez ? S’il en est ainsi, réveillez-vous en vue de l’activité. Ne restez pas un bébé du point de vue spirituel, un bébé qui, selon Paul, a “besoin de lait et non de nourriture solide”. Mais ayez plutôt, ‘par l’usage, vos facultés perceptives exercées à distinguer le bien et le mal’. Oui, prenez garde à l’exhortation de l’apôtre et pressez-vous “vers la maturité, sans poser de nouveau un fondement”. — Héb. 5:12–6:3, MN.
Il est donc bien évident que, pour pratiquer le vrai culte, il faut être actif. Il est par conséquent indéniable qu’une étude biblique par semaine, à votre domicile, n’est pas une fin en soi. Elle vous équipera plutôt pour le service de Dieu, vous rendant capable de l’adorer de façon à mériter son approbation. Pratiquer ce culte, c’est non seulement avoir de bonnes mœurs, mais c’est encore prendre une part active à l’œuvre consistant à partager avec d’autres la connaissance vivifiante que vous avez reçue. Pour cela, il faut faire des efforts mais, surtout, il faut manifester de l’amour. Rappelez-vous qu’il est écrit : “Voici ce que signifie l’amour de Dieu : que nous observions ses commandements.” — I Jean 5:3, MN.
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Jéhovah se fait un nom glorieuxLa Tour de Garde 1964 | 15 décembre
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Jéhovah se fait un nom glorieux
“UNE bonne réputation vaut mieux que le bon parfum”, disent les Écritures (Eccl. 7:1). Oui, une bonne réputation vaut mieux que l’argent. Une personne qui veut être respectée et obtenir la confiance de ses semblables, doit avoir une bonne réputation. En sa qualité de Souverain de l’univers, Jéhovah Dieu veut que les hommes connaissent son nom illustre. Ceux qui respectent son nom en raison de sa signification, le rendent heureux et s’attirent des bienfaits éternels.
Abraham aimait Jéhovah et vénérait son nom ; il préférait l’amitié de ce Dieu incomparable à l’or et à tous les bijoux de prix. Jéhovah, sensible au profond respect qu’Abraham avait pour son nom, lui transféra la promesse édénique concernant la Postérité de la femme, en concluant avec lui une alliance par laquelle il promettait de faire de lui une grande nation. En outre, ses descendants reçurent la promesse de posséder le pays “depuis le fleuve d’Égypte jusqu’au grand fleuve, au fleuve d’Euphrate”. — Gen. 3:15 ; 12:7 ; 13:14-17 ; 15:18-21.
Cette promesse allait à l’encontre des ambitions d’un certain groupe d’hommes qui, à cette époque, se préoccupaient beaucoup de se faire un nom et réussissaient dans leurs efforts. Nous ne parlons pas des souverains de Babylone, car cette ville ne parvint pas à être la Première Puissance mondiale. Les hommes dont il est question ici, étaient les maîtres de l’Égypte, bâtisseurs d’un empire qui, englobant la Palestine, s’étendait d’un point situé à plus de quinze cents kilomètres au sud du delta du Nil jusqu’à l’Euphrate.
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