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  • Famine
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    • sous les ordres du général Titus assiégèrent la ville et la détruisirent en l’an 70 (Luc 21:23). Josèphe relate qu’une famine terrible sévissait dans la ville, ses habitants étant réduits à manger du cuir, de l’herbe et de la paille. Il cite même le cas d’une mère qui fit rôtir son fils pour le manger. Lorsqu’il annonça des famines, Jésus indiqua qu’il pensait non seulement aux événements qui précéderaient la destruction de Jérusalem, mais aussi à ce qui se passerait à l’époque du retour du Fils de l’homme dans la gloire de son Royaume. — Luc 21:11, 27, 31.

      À L’ABRI DE LA FAMINE

      Comme Jésus l’a promis, Dieu exaucera la prière de ses fidèles serviteurs, qui lui demandent leur pain pour chaque jour, et il prendra soin de ceux qui mettent son Royaume à la première place (Mat. 6:11, 33; comparez avec Psaumes 33:19; 37:19, 25). Toutefois, Jésus montra également qu’à cause de l’opposition et des persécutions, ses serviteurs pourraient parfois connaître la faim (Mat. 25:35, 37, 40). L’apôtre Paul, en particulier, rapporte qu’il a souvent souffert de la faim et de la soif en accomplissant son ministère dans des circonstances difficiles (I Cor. 4:11-13; II Cor. 11:27; Phil. 4:12). Cependant, il se déclara assuré que la faim physique ne pourrait jamais séparer les fidèles serviteurs de Dieu du puissant soutien de son amour. — Rom. 8:35, 38, 39; comparez avec Luc 6:25.

      Ceux qui ont vraiment faim et soif de justice et de vérité seront toujours rassasiés spirituellement (Mat. 5:6; Jean 6:35). Selon la promesse divine, les membres de la grande foule qui survivront à la “grande tribulation” “n’auront plus faim [ni] soif” sous le règne de l’Agneau, Jésus Christ. — Rév. 7:9, 13-17.

  • Fardeau
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    • FARDEAU

      Charge que l’on porte, au sens littéral ou figuré. Dans la Bible, plusieurs termes hébreux et grecs traduits par “fardeau” ou “charge” désignent parfois un objet que l’on porte, mais ils évoquent aussi, souvent, des notions abstraites comme la responsabilité, la culpabilité ou un message de Dieu. En règle générale, un fardeau est une charge pesante.

      AU SENS FIGURÉ

      Le terme hébreu massâʼ, qui s’applique souvent à une charge ou à un fardeau littéral, peut également désigner un “message de poids”, comme celui que la mère du roi Lémuel lui donna en correction (Prov. 31:1). Il peut également se rapporter à une déclaration solennelle (És. 13:1; 14:28; Ézéch. 12:10; Nahum 1:1). Puisque les déclarations solennelles renferment en général des invectives comme la méchanceté, ces jugements graves sont comparables à de lourds fardeaux. Cependant, ces déclarations prophétiques et solennelles pouvaient aussi comporter certains aspects favorables, de nature à susciter la joie (Zach. 12:1; Mal. 1:1). C’est pourquoi l’on a défini le terme massâʼ comme “ce qu’on portait solennellement sur les lèvres, à titre de menace ou non”. — The International Standard Bible Encyclopædia, t. I, p. 528.

      Un “fardeau” peut être une lourde responsabilité imposée par le Christ (Rév. 2:24). L’esprit saint et le collège central de la congrégation chrétienne jugèrent bon de ne pas imposer aux chrétiens d’autre “fardeau” que les choses nécessaires, savoir “s’abstenir des choses sacrifiées aux idoles, et du sang et de ce qui est étouffé, et de la fornication”. — Actes 15:28, 29.

      Jésus fustigea les scribes et les Pharisiens, en ces termes: “Ils lient de lourdes charges et les posent sur les épaules des hommes, mais eux, ils ne veulent pas les bouger du doigt.” (Mat. 23:2, 4). Selon toute apparence, Jésus faisait allusion aux règles excessivement détaillées et aux traditions écrasantes dont ces hommes chargeaient le peuple, sans être disposés à lever ne fût-​ce qu’une petite règle pour lui rendre la vie plus facile. — Mat. 23:13, 23, 24.

      En revanche, Jésus libéra spirituellement certains humains de ces traditions oppressives (Jean 8:31, 32). Il déclara: “Mon joug est doux et ma charge est légère.” (Mat. 11:28-30). Jésus n’était ni dur ni tyrannique, mais doux; ceux qui s’approchaient de lui pouvaient s’attendre à être traités comme il convenait. Par rapport au joug que les partisans de la tradition religieuse faisaient porter au peuple, le joug de Jésus s’avérait léger. Peut-être voulait-​il aussi, par ces paroles, inviter ceux qui étaient épuisés par le fardeau des péchés et des fautes à venir à lui pour trouver un réconfort d’ordre spirituel.

      PORTER LES FARDEAUX D’AUTRUI

      S’adressant aux Galates, Paul écrivit: “Continuez à porter les fardeaux [ou “les choses pénibles”] les uns des autres et accomplissez ainsi la loi du Christ.” (Gal. 6:2). Dans ce passage, l’apôtre Paul emploie pour “fardeaux” le mot barê (baros au singulier), qui désigne toujours ce qui est lourd ou pénible. Assurément, le péché et, par conséquent, le fardeau de l’homme qui ferait un “faux pas” (ce dont il est question au verset précédent 6:1) ne seraient pas légers, mais pesants. Cependant, au 6 verset 5, l’apôtre ajoute: “Car chacun portera sa propre charge”, ou “sa propre responsabilité”. (Comparez avec NW, éd. de 1950.) Ici, le mot “charge” traduit le grec phortion, qui désigne une chose que l’on doit porter ou transporter, sans connotation de poids. Il établit ainsi une distinction entre les “fardeaux” et la “charge” ou “responsabilité”, probablement pour montrer que si un chrétien se trouvait plongé dans un problème spirituel qu’il avait beaucoup de mal à supporter, ses frères devaient l’assister et l’aider à porter son fardeau. En agissant ainsi, ils montreraient leur amour et accompliraient la loi du Christ (Jean 13:34, 35). Cela s’accorde avec les paroles précédentes de Paul qui, selon Galates 6:1, invitait les chrétiens à essayer de redresser spirituellement l’intéressé. Ils pourraient y parvenir avec amour, bonté, et grâce à la prière (comparez avec Jacques 5:13-16). Pourtant, comme Paul le montra ensuite, porter les fardeaux des autres ne signifie pas porter leur charge, c’est-à-dire endosser leur responsabilité spirituelle devant Dieu.

  • Farine
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    • FARINE

      {Article non traduit.}

  • Faucille
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    • FAUCILLE

      Voir INSTRUMENTS AGRICOLES.

  • Faucon
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    • FAUCON

      (héb. nêts).

      Certains pensent que le nom hébreu de cet oiseau est dérivé d’une racine qui signifie “briller, étinceler” et qu’il évoque son vol, rapide comme l’éclair; d’autres croient que ce mot décrit un oiseau “de haut vol ou à vol plané”. Les lexicographes modernes pensent que ce terme s’applique au faucon, mais d’aucuns estiment qu’il englobe l’“épervier”, qui ressemble beaucoup au faucon, mais que les ornithologues classent dans une “famille” à part (la Septante, la Vulgate latine, la Peschitto syriaque et les Targums traduisent tous nêts par “épervier”). Dans la Loi mosaïque, “le faucon selon son espèce” (“les différentes espèces d’éperviers”, Os), ce prédateur qui se nourrit de serpents, de lézards, de petits mammifères et d’autres oiseaux, était classé parmi les volatiles “impurs”. — Lév. 11:16; Deut. 14:15.

      On considère généralement que le faucon est inégalable en ce qui concerne sa symétrie, sa puissance et la rapidité de son col. Certains faucons rivalisent de vitesse avec le martinet, et ils sont comptés parmi les oiseaux les plus rapides. Des observateurs déclarent avoir vu un faucon piquer à 290 kilomètres à l’heure. Le faucon pèlerin, remarquable par sa vivacité, est l’une des espèces les plus répandues en Palestine, surtout dans le centre du pays. La femelle du pèlerin est plus grande que le mâle, ce qui est d’ailleurs vrai de toutes les variétés de faucons. Elle mesure environ cinquante centimètres de longueur et a un mètre d’envergure. Le faucon pèlerin est de couleur assez terne, il a le dos et les ailes d’un gris sombre et le ventre d’un ton crème rayé de bandes brun noirâtre, avec des marques en forme de “pointes de flèche” jusque sur les côtés. Sa queue est assez arrondie. Il a un bec crochu, denticulé sur la partie coupante de la mandibule supérieure, ainsi que deux pattes robustes terminées par des pieds particulièrement grands et par de puissantes serres recourbées. La Palestine abrite aussi le lanier, un faucon un peu plus grand que le pèlerin, que l’on trouve en grand nombre dans les falaises et les gorges rocheuses du mont Hermon et tout le long de la vallée du Jourdain, jusqu’à la mer Morte. On rencontre également le sacre dans les hautes régions forestières à l’est du Jourdain.

      Job 39:26 décrit le faucon ‘prenant son vol et déployant ses ailes au vent du sud’. Certains biblistes voient ici une allusion à une migration vers le sud (“étendant ses ailes vers le midi”, Fillion; voir note en bas de page), ce qui serait vrai de la crécelle, petit rapace de la famille des faucons et, dans une certaine mesure, du faucon pèlerin et de l’épervier. D’autres, toutefois, pensent que ce texte décrit l’oiseau lorsqu’il vole face au vent, s’élevant de plus en plus grâce à la puissance de ses ailes. On dit des faucons qu’ils “montent très haut et qu’il cherchent toujours à dominer tous les oiseaux qu’ils chassent’, afin de pouvoir fondre sur leur proie avec une terrible rapidité. Pour cela, il est fréquent qu’ils “se servent du vent, en volant face à lui pour être soulevés comme un cerf-volant”. (Funk & Wagnalls New Standard Encyclopedia, 1931, t. XI, pp. 329, 330.) Ainsi, la crécerelle est connue pour sa façon de “planer dans l’air face au vent, en battant rapidement des ailes, tout en surveillant le sol en quête d’une proie”.

      Le faucon occupait une place de choix dans la religion égyptienne. Il devint le symbole de Horus, le dieux à la tête de faucon qui, avec Isis et Osiris, formait la principale trinité ou “sainte famille” parmi les dieux et les déesses égyptiens. On utilisait toujours le signe du faucon pour écrire le titre des pharaons et, quelquefois, un certain nombre de ces souverains furent considérés comme des incarnations de Horus. Parmi les centaines d’oiseaux momifiés retrouvées en Égypte, le faucon, et surtout la crécerelle, est l’une des espèces les mieux représentées. Hérodote raconte que quiconque tuait un faucon en Égypte, ne fût-​ce qu’accidentellement, était mis à mort.

      [Illustrations, page 523]

      Faucon pèlerin femelle.

      Le dieu égyptien Horus à tête de faucon.

  • Fausse couche
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    • FAUSSE COUCHE

      {Article non traduit.}

  • Faute, reproche
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    • FAUTE, REPROCHE

      Une “faute” est une négligence, un manquement, un défaut, une transgression ou une imperfection. On peut la commettre en s’abstenant de faire le bien, comme en portant la responsabilité d’un échec ou d’une transgression.

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