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  • Heure
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    • événements qui allaient aboutir à la mise au poteau de Jésus, y compris sa flagellation, châtiment si cruel que certains en mouraient. D’ailleurs, cela pourrait expliquer pourquoi il a fallu que quelqu’un l’aide à porter le poteau de supplice jusqu’au Golgotha. Tous les événements dramatiques de ce matin-​là: la flagellation de Jésus, les moqueries des soldats à son adresse ainsi que la lente et pénible marche jusqu’au lieu de supplice, ont donc pu prendre du temps, si bien que “c’était environ la sixième heure” lorsque Jésus fut effectivement cloué sur le poteau.

      AUTRES USAGES

      Le mot hôra est souvent utilisé dans les Écritures grecques chrétiennes dans le sens de “immédiatement” ou pour indiquer une courte période de temps. Une femme qui avait touché la frange du vêtement de dessus de Jésus fut guérie “dès cette heure”. (Mat. 9:22.) Le mot “heure” peut encore désigner un moment spécial ou très important, ou bien le début de celui-ci, qui n’est pas fixé avec précision. Ainsi, Jésus déclara: “Quant à ce jour-​là et à cette heure-​là, personne ne les connaît.” (Mat. 24:36). “L’heure vient où quiconque vous tuera s’imaginera avoir servi Dieu par un service sacré.” (Jean 16:2). Et encore: “L’heure vient où je ne vous parlerai plus en comparaisons.” — Jean 16:25.

      Comme nous l’avons déjà dit, le mot “heure” peut aussi désigner un certain “moment du jour”. Par exemple, parlant de la grande foule qui avait suivi Jésus dans un endroit désert, les disciples dirent au Seigneur: “L’endroit est désert et l’heure est déjà fort avancée; renvoie les foules.” — Mat. 14:15; Marc 6:35.

      EMPLOI SYMBOLIQUE OU FIGURÉ

      Au sens figuré ou symbolique, l’“heure” désigne une période de temps relativement courte. À la foule qui venait l’arrêter, Jésus déclara: “C’est ici votre heure et l’autorité des ténèbres.” (Luc 22:53). Au sujet des dix cornes de la bête sauvage de couleur écarlate, il est dit qu’elles représentent dix rois qui reçoivent autorité comme rois, “pour une heure”, avec la bête sauvage (Rév. 17:12). Il est écrit au sujet de Babylone la Grande: “En une heure est venu ton jugement!” (Rév. 18:10). Se fondant sur l’illustration du blé et de la mauvaise herbe donnée par Jésus et rapportée en Matthieu 13:25, 38, sur les avertissements de Paul en Actes 20:29 et en II Thessaloniciens 2:3, 7 concernant l’apostasie à venir, et sur la déclaration de Pierre en II Pierre 2:1-3, Jean, le dernier apôtre encore en vie, put dire: “Petits enfants, c’est la dernière heure, et, comme vous avez appris que l’antichrist vient, voici que dès maintenant il est survenu beaucoup d’antichrists; d’où nous savons désormais que c’est la dernière heure.” Cette “dernière heure”, la fin de la période apostolique, fut effectivement très courte. Après celle-ci l’apostasie allait se manifester pleinement. — I Jean 2:18.

  • Heureux
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    • HEUREUX

      Voir BONHEUR.

  • Hézion
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    • HÉZION

      {Article non traduit.}

  • Hézir
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    • HÉZIR

      {Article non traduit.}

  • Hezro
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    • HEZRO

      {Article non traduit.}

  • Hibou
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    • HIBOU

      [héb. kôs; yanshouph (yanshôph); ʼoaḥ].

      Les hiboux constituent un groupe important parmi les rapaces nocturnes et sont mentionnés plusieurs fois dans le récit biblique. On pensait autrefois qu’ils étaient apparentés à la famille des éperviers, mais on les associe généralement à d’autres nocturnes, tels que l’engoulevent.

      Les hiboux ont un bec court, mais crochu, et de puissantes serres comme les éperviers; ils s’en distinguent cependant par leur tête large, leurs yeux et leurs oreilles de grande taille. Ils ont également un doigt externe opposable aux autres, ce qui leur permet de saisir fermement toutes sortes de proies. Grâce à ses grands yeux, dont il peut varier la grandeur de l’iris, le hibou utilise au maximum la faible lumière de la nuit. Contrairement à la plupart des autres oiseaux, sa vision est binoculaire, c’est-à-dire qu’il peut voir un objet avec les deux yeux à la fois. Son plumage soyeux, d’un brun tacheté et constitué d’un ensemble de plumes compliqué, donne généralement une impression exagérée de la grosseur de son corps. Selon un article du Scientific American (avril 1962, p. 78), le vol du hibou est extrêmement silencieux; le plumage très soyeux du dessus de ses ailes ainsi que les bords duveteux de celles-ci contribuent probablement à amortir les vibrations de l’air. Le hibou peut donc planer silencieusement dans l’obscurité et s’abattre sans bruit sur sa proie prise au dépourvu. Il se nourrit essentiellement de rongeurs, mais aussi de petits oiseaux et d’insectes. Le cri des hiboux va du cri strident au hululement grave.

      Certains pensent que l’oiseau appelé kôs en hébreu, et qui est classé parmi les oiseaux ‘impurs’ (Lév. 11:13, 17; Deut. 14:16), serait la “chevêche” (Athene noctua). (Pirot-Clamer; CT; Lexicon in Veteris Testamenti Libros, p. 428, de Koehler et Baumgartner.) Le même mot hébreu (kôs) est traduit ailleurs par “coupe” (Gen. 40:11); aussi quelques-uns croient-​ils qu’il est utilisé pour désigner le hibou en raison des deux “disques” faciaux caractéristiques qu’il a autour des yeux, sorte de soucoupes faites de plumes rigides et rayonnantes. D’autres font le rapprochement entre ce mot hébreu et le cri de l’oiseau, celui de la chevêche étant une sorte de “quiou-quiou” plaintif. La chevêche, qui mesure environ 25 centimètres, est l’un des hiboux les plus largement répandus en Palestine. On la rencontre dans les fourrés, les oliveraies et les ruines abandonnées. Affligé par son isolement, un psalmiste se disait être “comme la chevêche des lieux désolés”. (Ps. 102:6.) Le mot arabe qui désigne cette espèce particulière de hiboux signifie fort à propos “mère des ruines”.

      Dans la liste des oiseaux ‘impurs’ donnée par la loi de Moïse, on trouve un animal portant le nom hébreu de yanshouph (ou yanshôph). Pour certains, ce mot désigne un “ronflement” ou “un souffle violent” de mot hébreu pour “souffler” étant nâshaph), mais d’autres l’associent au “crépuscule” (héb. néshéph), ce qui indiquerait simplement qu’il s’agit d’un oiseau nocturne (Lév. 11:17; Deut. 14:16). Selon l’Interpreter’s Dictionary of the Bible (t. II, p. 252), ce nom est “employé pour l’Otus, le hibou brachyote”, alors que Koehler et Baumgartner (Lexicon in Veteris Testamenti Libros, p. 386) donnent “le moyen duc”. Cet oiseau d’environ 40 centimètres de long est pourvu, de chaque côté de sa tête large, de plumes érectiles qui ressemblent à des oreilles. Il hante les régions boisées ou désolées. Il figure parmi les créatures qui résideraient dans les ruines d’Édom. — És. 34:11.

      Il fut annoncé que dans les ruines de Babylone les maisons abandonnées seraient “remplies de hiboux grands ducs [forme plurielle de ʼoaḥ]”. (És. 13:21.) Ces circonstances ainsi que le nom hébreu, qui désignerait une créature poussant des ‘hurlements’ plaintifs, correspondent très bien au grand duc (Bubo ascalaphus), un oiseau que l’on rencontre dans les grottes et les ruines, et qui est très répandu dans les régions de Pétra et de Béer-Schéba. Son cri est un hululement puissant et prolongé. Le grand duc est le plus grand et le plus puissant des hiboux de Palestine. Comme les autres hiboux, la nuit ses grands yeux ont une luminescence jaune orangé quand ils reflètent la lumière. C’est sans doute cette caractéristique ajoutée à son hululement lugubre qui fait de lui, pour les peuples païens superstitieux, un symbole de mauvais présage.

  • Hiddaï
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    • HIDDAÏ

      {Article non traduit.}

  • Hiddékel
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    • HIDDÉKEL

      L’un des quatre cours d’eau issus du fleuve qui sortait d’Éden (Gen. 2:10-14). L’Hiddékel s’appelait Idiqlat en akkadien (assyro-babylonien) et Tigra en vieux perse, forme de laquelle a dérivé le nom grec, puis français, du Tigre. En arabe moderne, on le nomme Didjla. Certains le qualifient de “jumeau” de l’Euphrate, fleuve qui, avec lui, arrose la Mésopotamie. C’est sur les rives du Tigre (Hiddékel) que Daniel reçut la vision relative à la lutte pour le pouvoir qui devait opposer le “roi du nord” au “roi du sud”. — Dan. 10:4, 5; 11:5, 6.

      Le Tigre prend ses sources en Arménie centrale (dans l’est de la Turquie). On pense généralement que le Tigre et l’Euphrate avaient jadis deux embouchures séparées, mais qu’au fil des siècles l’accumulation de limon a bouché l’extrémité du golfe, de sorte qu’à présent les deux fleuves se rejoignent. Après leur confluent, ils constituent le large cours d’eau nommé Shatt-el-ʽArab, qui coule sur plus de 150 kilomètres avant de se jeter dans le golfe Persique.

      Dans sa totalité, le Tigre s’étend sur quelque 1 850 kilomètres. La largeur de ce vaste fleuve atteint parfois près de quatre cents mètres. Cependant, le Tigre est généralement peu profond, et, en amont de Bagdad, il n’est accessible qu’aux bateaux à faible tirant d’eau. Vers le haut de son cours, on se sert de radeaux allégés par des peaux de chèvres ou de moutons gonflées. Bien plus rapide que l’Euphrate, le Tigre est d’un tiers moins long que son “jumeau” et revêt moins d’importance que lui sur le plan commercial.

      Une fois dans la plaine de Mésopotamie, le Tigre passe près des sites de nombreuses villes de l’Antiquité. En face de la ville moderne de Mossoul se trouvent les ruines de Ninive, sur la rive orientale. Du même côté, mais plus au sud, on découvre Calah-Nimroud, et, plus bas, sur la rive occidentale cette fois, l’ancienne Assur. Un peu en aval de Bagdad, toujours sur la rive ouest, apparaissent les ruines de Séleucie, l’ancienne capitale de la dynastie séleucide. De l’autre côté se dressait Ctésiphon, que certains identifient à la “Casiphia” dont il est question en Esdras 8:17-20.

  • Hiel
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    • HIEL

      {Article non traduit.}

  • Hiérapolis
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    • HIÉRAPOLIS

      (“la ville sainte”).

      Ville de la province d’Asie. Au milieu de ses habitants païens se trouvait au Ier siècle un groupe de chrétiens pour lequel Épaphras ‘se donnait beaucoup de peine’. (Col. 4:12, 13.) La ville se situait à l’extrémité septentrionale de la vallée du Lycus, en Asie Mineure, à une dizaine de kilomètres au nord de Laodicée. Bien que l’apôtre Paul ne se soit apparemment jamais rendu à Hiérapolis, le long travail qu’il effectua à Éphèse (de l’hiver 52/53 à l’an 55, après la Pentecôte [I Cor. 16:8]) porta du fruit dans ‘toute l’Asie’. (Actes 19:1, 10.) Il semble que le christianisme atteignit Hiérapolis grâce à ‘la peine’ qu’Épaphras s’était donnée. D’après la tradition, les apôtres Jean et Philippe se seraient aussi dépensés à cet endroit. Malgré sa faible importance politique, la ville devint prospère pendant la paix romaine parce qu’elle était un centre dédié à l’adoration de Cybèle. Le culte de cette déesse fut mis en valeur par deux phénomènes naturels: d’une part, des sources minérales et, d’autre part, le Plutonium, la prétendue “Entrée de l’Hadès”, un gouffre étroit et profond qui exhalait des fumées mortelles.

  • Higgaïon
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    • HIGGAÏON

      Transcription de l’expression hébraïque higgâyon, que les lexicographes considèrent comme un terme technique à valeur d’indication musicale (Ps. 9:16). Selon le contexte, ce terme a été diversement traduit par “pensées”, “sentiments”, “murmure”, “méditation”, “accords”, “son”, “chants”, “modulations”, “musique sonore”, “desseins”, “projets”, “chuchotements” lorsqu’il apparaît dans le texte hébreu (Ps. 19:14; 92:3; Lament. 3:62; AC; Da; Jé; Maredsous; MN; Os; Ostervald; Sg; ZK). De nombreuses explications ont été avancées sur le sens précis que ce terme revêt en Psaume 9:16. Toutefois, d’après les hypothèses les plus plausibles, Higgaïon indiquerait ici soit un interlude majestueux et grave à la harpe, soit une pause solennelle propice à la méditation.

  • Hilen
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    • HILEN

      {Article non traduit.}

  • Hilkiah
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    • HILKIAH

      (“Jéhovah est la portion”).

      Grand prêtre sous le règne de Josias; fils de Schallum et père d’Azariah, il fut aussi, semble-​t-​il, l’un des ancêtres d’Esdras, le copiste (II Rois 22:3, 4; I Chron. 6:13; Esdras 7:1, 2, 6). En sa qualité de grand prêtre, Hilkiah joua un rôle important dans le rétablissement du culte pur, oeuvre entreprise par Josias. Au cours des travaux de réparation du temple, Hilkiah trouva “le livre de la loi de Jéhovah par la main de Moïse”. Ce qui rendit cette découverte remarquable, c’est qu’il s’agissait sans doute de l’original rédigé par Moïse. Hilkiah remit le manuscrit à Schaphan, le secrétaire, qui l’apporta au roi. Après avoir entendu Schaphan lire le livre, le roi Josias dépêcha une délégation présidée par Hilkiah chez Huldah, la prophétesse, afin d’interroger Jéhovah pour lui et pour le peuple. — II Rois 22:3-14; II Chron. 34:14.

  • Hillel
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    • HILLEL

      {Article non traduit.}

  • Hin
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    • HIN

      Mesure de capacité employée pour les liquides (Ex. 30:24; Nomb. 28:14; Ézéch. 45:24; 46:5, 7, 11); ce terme désigne aussi le récipient utilisé pour mesurer un hin (Lév. 19:36). D’après Josèphe, historien juif, le hin tenait deux conges (ou choès) attiques tandis que le bath équivalait à soixante-douze sextarii (“pintes”, selon la traduction d’Arnauld d’Andilly) (Histoire ancienne des Juifs, liv. III, chap. IX, par. 4; liv. VIII, chap. II, par. 9). Puisque d’autres sources de renseignements nous apprennent que deux conges attiques correspondaient à douze sextarii, nous pouvons penser que le hin contenait le sixième du bath (22 litres), soit 3,67 litres. Les Écritures parlent aussi de diverses fractions du hin: le demi-hin (1,8 litre) (Nomb. 15:9, 10), le tiers (1,2 litre) (Nomb. 15:6, 7; Ézéch. 46:14), le quart (0,9  litre) (Ex. 29:40; Lév. 23:13; Nomb. 15:4, 5; 28:5, 7) et enfin le sixième (0,6 litre) de hin, ration d’eau assignée chaque jour à Ézéchiel pendant qu’il mimait la triste situation que Jérusalem connaîtrait au cours de son siège. — Ézéch. 4:11.

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