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  • Og
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • siècles plus tard. — Deut. 31:4; Néh. 9:22; Ps. 135:10-12; 136:17-22.

  • Ohad
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • OHAD

      {Article non traduit.}

  • Ohel
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • OHEL

      {Article non traduit.}

  • Oholah
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    • OHOLAH

      (“sa [propre] tente”).

      Ézéchiel chapitre 23 décrit Samarie (qui représentait le royaume des dix tribus d’Israël) sous les traits de la prostituée Oholah, sœur aînée d’Oholibah qui, elle, représentait Jérusalem (le royaume de Juda). Le nom Oholah, “sa propre tente”, est peut-être une allusion au fait que le royaume des dix tribus avait établi ses propres centres de culte. Commencée en Égypte, sa prostitution se poursuivit en Terre promise. Vers la fin, la nation se prostitua notamment en recherchant les faveurs des Assyriens et en se livrant à des pratiques idolâtriques dégradantes, y compris des sacrifices d’enfants. À cause de son infidélité, Oholah (le royaume du Nord) fut livrée par Jéhovah à ses amants, les Assyriens.

  • Oholiab
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    • OHOLIAB

      Voir BÉZALEL.

  • Oholibah
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    • OHOLIBAH

      (“ma tente est en elle”).

      En Ézéchiel chapitre 23, l’infidélité de Jérusalem envers Jéhovah est décrite symboliquement par les actions d’une prostituée, Oholibah. Il semble que ce nom soit une allusion au fait que la tente de Jéhovah, son sanctuaire, se trouvait dans son territoire, celui d’Oholibah (voir OHOLAH). Toutefois, au lieu d’apprécier ce privilège et de tenir compte du châtiment que sa sœur Oholah (Samarie) avait subi à cause de sa conduite infidèle, Oholibah, non contente de poursuivre la voie de l’infidélité dans laquelle elle s’était déjà engagée en Égypte, combla la mesure en se conduisant encore plus mal que sa sœur. Elle pratiqua l’idolâtrie sur une grande échelle et entretint des relations politiques avec les Assyriens et les Babyloniens. Aussi Jéhovah prophétisa-​t-​il que ses anciens amants, les Babyloniens, monteraient contre elle et en feraient “un objet d’épouvante”.

  • Oholibamah
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    • OHOLIBAMAH

      {Article non traduit.}

  • Oignon
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    • OIGNON

      Plante bisannuelle à bulbe comestible d’une saveur piquante et à minces feuilles tubulaires. L’oignon figurait parmi les mets que la multitude mélangée et les Israélites regrettaient dans le désert, après leur libération d’Égypte (Nomb. 11:4, 5). Les oignons étaient abondamment cultivés dans ce pays où Israël avait été captif. L’historien grec Hérodote (II, 125) fait même état d’une inscription qui mentionnait les oignons parmi les provisions de bouche fournies aux ouvriers qui travaillaient à la construction d’une certaine pyramide égyptienne.

  • Oint, onction
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    • OINT, ONCTION

      Voir CHRIST.

  • Oint, II
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    • OINT, II

      {Article non traduit.}

  • Oiseaux
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    • OISEAUX

      Vertébrés à sang chaud, au corps recouvert de plumes. Les oiseaux sont ovipares, c’est-à-dire qu’ils pondent des œufs. La Bible fait près de trois cents fois référence aux oiseaux dont elle cite une trentaine de variétés différentes. Elle parle de leur vol, souvent lorsqu’ils fuient loin de leurs ennemis (Ps. 11:1; Prov. 26:2; 27:8; És. 31:5; Osée 9:11); du fait qu’ils s’abritent dans les arbres (Ps. 104:12; Mat. 13:32); de leurs nids (Ps. 84:3; Ézéch. 31:6); des sacrifices d’oiseaux, surtout de pigeons mâles et de tourterelles (Lév. 1:14; 14:4-7, 49-53); de la consommation d’oiseaux (Néh. 5:18) et de leurs œufs (És. 10:14; Luc 11:11, 12); elle montre enfin que Dieu pourvoit à leurs besoins et se soucie d’eux. — Mat. 6:26; 10:29; voir Deutéronome 22:6, 7.

      Le mot hébreu ʽôph est le terme générique que la Bible utilise le plus souvent pour parler des oiseaux. Fondamentalement, il désigne toute créature volante ailée (Gen. 1:21) et peut donc inclure les insectes ailés aussi bien que les oiseaux (voir Lévitique 11:13, 21-23). G. Driver pense que ʽôph est une onomatopée qui imite le son que font les ailes des oiseaux quand elles battent l’air.

      Le mot hébreu tsippôrʼ, qui se retrouve aussi dans un grand nombre de textes est un autre terme générique qui désigne les oiseaux en général (Gen. 7:14). Tsippôrʼ signifie littéralement “qui gazouille” ou “qui pépie”, et évoque donc le cri caractéristique de beaucoup de petits oiseaux, particulièrement le moineau.

      Un troisième terme hébreu, ʽayit, s’applique uniquement aux oiseaux de proie. On pense qu’il signifie “crieur” (voir l’emploi du verbe en I Samuel 25:14), terme qui convient bien à de nombreux oiseaux carnivores aux cris perçants. — Jér. 12:9.

      Les Écritures grecques chrétiennes utilisent deux termes généraux: ornéon qui signifie simplement “oiseau” (Rév. 18:2) et ptênos qui a le sens de “créature volante”. — I Cor. 15:39.

      En Actes 17:18, les philosophes athéniens traitent l’apôtre Paul de “bavard”. Le mot grec utilisé ici (spermologos) s’appliquait à un oiseau qui picore des graines, mais il s’employait au sens figuré pour désigner une personne qui s’approprie des restes en mendiant ou en volant ou, comme dans le cas cité plus haut, quelqu’un qui répète des bribes de connaissance, c’est-à-dire un oisif babillard.

      Les oiseaux furent parmi les premières créatures vivantes de la terre. Ils vinrent à l’existence le cinquième “jour” de la création, en même temps que les animaux marins (Gen. 1:20-23). Ces “créatures volantes” comprenaient de très grands oiseaux aussi bien que des petits, ainsi que de nombreux insectes.

      Le psalmiste invite les “oiseaux ailés” à louer Jéhovah (Ps. 148:1, 10), et c’est ce qu’ils font par la complexité même de leur structure. Un oiseau peut avoir de 2 000 à plus de 6 000 plumes. Chaque plume est constituée d’une tige creuse d’où partent des centaines de barbes qui forment un enchevêtrement intérieur. Ces barbes sont garnies de plusieurs centaines de paires de barbes plus petites, des barbules, elles-​mêmes munies de minuscules crochets appelés barbicelles. On estime donc qu’une simple plume de pigeon de quinze centimètres de long possède quelque 990 000 barbules et des millions de barbicelles. Les principes aérodynamiques qui entrent dans l’agencement du corps et des ailes de l’oiseau surpassent en complexité et en efficacité ceux des avions les plus modernes. Les os des oiseaux sont creux, ce qui contribue à leur légèreté. Ainsi, le squelette d’une frégate d’une envergure de deux mètres ne pèse guère que 115 grammes. Certains os des ailes des grands oiseaux planeurs sont même renforcés dans leurs parties creuses par un dispositif comparable aux entretoises des ailes d’avion.

      Au moment du déluge, Noé fit entrer des oiseaux dans l’arche, par couples, “selon leurs espèces”, pour leur préservation (Gen. 6:7, 20; 7:3, 23). On ne peut savoir avec certitude combien d’“espèces” différentes d’oiseaux existaient alors, car certaines variétés ont disparu, même récemment. Toutefois, on notera avec intérêt que la liste des oiseaux selon la classification scientifique actuelle que fournit l’Encyclopédie britannique (éd. de 1959, t. XVI, pp. 930-932) donne un total de 204 “familles” d’oiseaux seulement, y compris certaines qui ont maintenant disparu ou que l’on ne connaît que sous la forme de fossiles. Il y a évidemment des milliers de variétés réparties dans ces diverses “familles”.

      Après le déluge, Noé offrit en sacrifice à Dieu des “créatures volantes pures” ainsi que d’autres animaux (Gen. 8:18-20). À partir de ce moment-​là, Dieu permit à l’homme de manger des oiseaux, à condition qu’ils soient saignés (Gen. 9:1-4; voir Lévitique 7:26; 17:13). De toute évidence, si certains oiseaux ont été à cette époque-​là jugés ‘purs’, c’était parce qu’ils étaient jugés propres aux sacrifices d’après certaines indications divines. Le récit biblique montre en effet qu’aucun oiseau n’a été appelé “impur” en tant qu’aliment avant l’établissement de la loi mosaïque (Lév. 11:13-19, 46, 47; 20:25; Deut. 14:11-20). La Bible ne précise pas quels facteurs servirent à déterminer quels oiseaux seraient “impurs” du point de vue religieux. Par exemple, alors que la plupart de ceux-ci étaient des oiseaux de proie ou nécrophages, il y avait des exceptions (voir HUPPE). L’interdiction de manger certains oiseaux fut levée après l’entrée en vigueur de la nouvelle alliance, comme Dieu le montra clairement à Pierre dans une vision. — Actes 10:9-15.

      Dans certains cas, l’identification des oiseaux désignés nommément est un problème épineux. En général, les lexicographes se fondent sur le sens de la racine d’où est tiré le nom de l’oiseau, qui est souvent descriptif, sur les indications que donne le contexte concernant les mœurs de l’oiseau et son habitat ainsi que sur l’observation des oiseaux qui sont connus pour habiter dans les pays bibliques. Très souvent, il semble que les noms sont onomatopéiques, c’est-à-dire que leur prononciation est proche du son qu’émettent les oiseaux en question. Tout comme en français on associe immédiatement les mots “hululer”, “caqueter”, “croasser” et “glouglouter” au hibou, à la poule, au corbeau et au dindon, de même les noms onomatopéiques de certains oiseaux dans le texte hébreu permettent de les identifier.

  • Oiseleur
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    • OISELEUR

      Personne qui fait métier de capturer des oiseaux (Prov. 6:5; Ps. 124:7). Il semble que les oiseleurs hébreux utilisaient principalement des pièges, des lacets ou des filets, mais peut-être aussi d’autres moyens tels que l’arc et la flèche, la fronde et, comme en Égypte, une sorte de boomerang.

      L’oiseleur des temps anciens devait étudier le comportement et les particularités de chaque sorte d’oiseau et être ingénieux dans sa manière de dissimuler et de camoufler ses pièges (voir Job 18:10; Ps. 64:5, 6; 140:5). Même le moineau commun (Mat. 10:29) a une vue deux fois plus perçante que celle de l’homme, et certains oiseaux peuvent discerner des objets à une distance telle que l’homme devrait utiliser des jumelles pour les voir. Si on ajoute à cela la prudence naturelle des oiseaux, on ne peut que constater la vérité du proverbe suivant: “C’est pour rien que l’on tend le filet devant les yeux de tout ce qui possède des ailes.” — Prov. 1:17.

      Les dessins trouvés sur d’anciens bas-reliefs égyptiens et les méthodes employées encore récemment en Égypte et en Arabie nous apprennent qu’un certain type de piège se composait d’une base en bois et de deux filets montés sur des arceaux attachés à un axe commun. Ceux-ci étaient tirés en arrière et munis d’une gâchette qui se déclenchait par l’action de l’oiseleur ou par celle de l’oiseau lui-​même lorsqu’il touchait à l’appât au milieu du piège. En se redressant brusquement, les filets enfermaient la victime (Job 19:6). Une tirasse égyptienne destinée à attraper des oies et autre gibier d’eau pouvait mesurer jusqu’à trois mètres de long et un mètre cinquante de large et exiger le concours de quatre ou cinq aides qui, au signal de l’oiseleur, tiraient sur une corde pour refermer rapidement le piège. Ensuite, on mettait les oiseaux dans des cages jusqu’à ce qu’ils soient vendus ou tués. — Voir Jérémie 5:26, 27.

      Une autre méthode consistait à suspendre des filets non tendus entre deux poteaux près de l’endroit où nichaient un certain nombre d’oiseaux, puis, la nuit venue, à effrayer ces oiseaux par des cris et la lumière des lanternes, pour qu’ils quittent leur abri et aillent se prendre dans les filets. Parfois, également, on suspendait des filets de cette manière pour capturer les oiseaux qui volaient de nuit pendant leur migration. On étendait aussi des filets à la traîne sur les buissons où nichaient des oiseaux. — Osée 7:11, 12.

      Un autre piège très couramment utilisé se composait d’un lacet attaché à une branche souple. L’oiseleur recourbait la branche jusqu’au sol et l’y fixait légèrement à l’aide d’un appât placé de telle façon que lorsque l’oiseau le touchait, la branche se redressait brusquement, resserrant le lacet autour du cou ou des pattes de l’oiseau qui se retrouvait suspendu en l’air. S’adressant aux chrétiens, l’apôtre Paul fait certainement allusion à un procédé similaire lorsqu’il assure aux Corinthiens que ses conseils relatifs au mariage n’ont pas pour but de ‘jeter sur eux un lacet [gr. brokhon]’. — I Cor. 7:35.

      Le bâton que les Égyptiens utilisaient comme arme de jet et dont on voit la représentation sur des fresques était une sorte de boomerang d’une cinquantaine de centimètres de long. On le jetait de façon à ce qu’il frappe les pattes des oiseaux, tels que les perdrix ou les cailles, qui se nourrissaient en bandes sur le sol. — Voir I Samuel 26:20.

  • Oliban
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    • OLIBAN

      (héb. levônah, levonah; gr. libanos).

      Produit d’arbres résineux du genre Boswellia, de la famille des térébinthacées et des balsamiers. Ce sont de grands arbres à feuilles luisantes et dentées, avec des fleurs étoilées blanches ou vertes à pointes roses. Ils sont originaires de l’Inde, de l’Arabie, de l’Insulinde et de certaines régions d’Afrique. Le Cantique des cantiques mentionne “la colline de l’oliban”. Apparemment employée ici au sens figuré, cette expression pourrait toutefois indiquer que l’on cultivait des arbres à oliban

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