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    • reste du corps composé de matériaux moins précieux. Daniel expliqua que les différentes parties de la statue représentaient des puissances mondiales et que la tête d’or symbolisait Nébucadnezzar, c’est-à-dire la dynastie impériale des rois de Babylone, dynastie fondée par Nébucadnezzar (Dan. 2:31-33, 37-40). De même, Babylone est comparée à “une coupe d’or dans la main de Jéhovah”, car il s’en servit pour exécuter ses jugements sur les nations. — Jér. 51:7.

      Lorsqu’il encourage le jeune homme à servir son Créateur pendant qu’il est encore plein de force et de vigueur, le sage rédacteur de l’Ecclésiaste lui conseille de le faire avant “que ne s’écrase le bol d’or”. Ici, il s’agit probablement du précieux cerveau ou du crâne, dont l’écrasement priverait de vie son possesseur. — Eccl. 12:6, 7.

  • Ordonnance
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    • ORDONNANCE

      Loi ou règle dûment établie et enregistrée provenant soit de Dieu, soit de l’homme (Gen. 26:5; Ps. 89:30-32; Dan. 6:15). La Bible révèle que Jéhovah est le Législateur suprême. — És. 33:22; voir LÉGISLATEUR; LOI.

  • Oreb
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    • OREB

      {Article non traduit.}

  • Oreille
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    • OREILLE

      Organe de l’ouïe, conçu et créé par Jéhovah Dieu (Ps. 94:9; Prov. 20:12). L’oreille se compose de trois parties: l’oreille externe, l’oreille moyenne et l’oreille interne. L’oreille moyenne est une petite cavité située entre le tympan et le labyrinthe de conduits qui constitue l’oreille interne. Outre sa fonction dans la perception des sons, l’oreille interne contient des organes qui jouent un rôle dans l’équilibre et le mouvement. Deux oreilles permettent de discerner beaucoup mieux l’origine et la direction des sons.

      L’oreille humaine perçoit les sons compris entre 15 et 15 000 ou 20 000 cycles par seconde environ, et même jusqu’à 23 000 cycles dans le cas de certains jeunes. Les oreilles de nombreux animaux sont capables de capter des fréquences encore plus élevées, lesquelles sont inaudibles par l’oreille humaine. L’étendue du volume sonore que perçoit l’oreille humaine est remarquable. Le son le plus fort qu’elle peut tolérer sans danger est deux mille milliards de fois plus intense que le bruit le plus faible qu’elle est capable de détecter. L’oreille humaine a le maximum de sensibilité qu’il est utile de posséder, car avec une ouïe plus fine elle réagirait aux mouvements moléculaires incessants des particules de l’air.

      Puisque le Créateur de l’oreille peut entendre, la Bible dit, figurément parlant, qu’il a des oreilles (Nomb. 11:18; Ps. 116:1, 2). Par ce symbolisme, Jéhovah montre qu’il est attentif aux prières, aux requêtes et aux appels des justes (Ps. 10:17; 18:6; 34:15; 130:2; És. 59:1; I Pierre 3:12). S’il entend les murmures des mécontents et les paroles mauvaises de ses ennemis (Nomb. 11:1; II Rois 19:28), il refuse d’écouter leurs appels au secours quand vient sur eux l’exécution du jugement (Ézéch. 8:18). Quant aux idoles, elles ont peut-être des oreilles sculptées ou gravées, mais elles ne peuvent évidemment pas entendre; aussi leur est-​il impossible de recevoir les prières de leurs adorateurs et d’y répondre. — Ps. 115:6.

      USAGE FIGURÉ

      Par le moyen d’images frappantes, la Bible emploie le mot “oreille” pour illustrer tout ce qu’implique l’ouïe. Ce terme sert à désigner la faculté d’entendre, puis d’apprécier la véracité et la valeur de ce qui a été dit (Job 12:11; 34:3). La façon dont les expressions ‘prêter l’oreille’ et ‘incliner l’oreille’ sont utilisées indique qu’elles signifient faire attention à ce que l’on entend afin d’agir en conséquence (Ps. 78:1; 86:6; És. 51:4). Celui à qui l’on “a ouvert l’oreille” a reçu l’intelligence d’une certaine chose ou des éclaircissements sur une question (És. 50:5). L’expression ‘découvrir l’oreille’ vient peut-être de ce que, dans les pays orientaux, on enlevait partiellement sa coiffure quand on voulait entendre plus clairement. Cette locution ainsi que l’expression ‘révéler à l’oreille’ signifient donner des renseignements en privé, dévoiler un secret ou faire savoir quelque chose qui était ignoré auparavant. — I Sam. 9:15; 20:2, 12, 13; II Sam. 7:27.

      L’‘oreille éveillée’ est celle qui a été rendue attentive (És. 50:4). Celui qui possède une telle oreille comptait peut-être auparavant parmi les gens qui sont “sourds [spirituellement], bien qu’ils aient des oreilles [littérales]”. (És. 43:8.) La Bible montre que le juste écoute Dieu, mais qu’il ferme l’oreille à ce qui est méchant (És. 33:15). Pareillement, Jésus emploie le verbe “écouter” dans le sens de ‘prêter attention à la bonne nouvelle, de la comprendre et d’y croire’ dans les déclarations suivantes: “Mes brebis écoutent ma voix.” “Elles ne suivront pas un étranger, mais elles le fuiront, parce qu’elles ne connaissent pas la voix des étrangers.” — Jean 10:27, 5.

      Par l’intermédiaire de ses serviteurs, Jéhovah déclara au sujet des Israélites entêtés et désobéissants qu’ils avaient des ‘oreilles incirconcises’. (Jér. 6:10; Actes 7:51.) C’était comme si elles étaient bouchées par quelque chose qui les empêchait d’entendre. Jéhovah ne les avait pas ouvertes, car, s’il donne des oreilles pour comprendre et pour obéir à ceux qui le recherchent, il permet que l’ouïe spirituelle des rebelles s’engourdisse. — Deut. 29:4; Rom. 11:8.

      Le jour de l’installation de la prêtrise en Israël, Moïse reçut l’ordre de prendre du sang du bélier d’installation et d’en mettre sur le lobe de l’oreille droite d’Aaron et de ses fils, ainsi que sur leur main droite et leur pied droit, pour montrer que les paroles qu’ils écouteraient, le travail qu’ils feraient et la façon dont ils marcheraient devaient être directement influencés par tout ce qui se déroulait alors en ce lieu (Lév. 8:22-24). De même, selon la Loi, le prêtre devait mettre sur le lobe de l’oreille droite du lépreux purifié une partie du sang du bélier présenté en offrande de culpabilité, ainsi que de l’huile offerte elle aussi en cette circonstance (Lév. 14:14, 17, 25, 28). Dans le même ordre d’idées, on peut citer les dispositions qui étaient prises lorsqu’un homme désirait rester l’esclave de son maître jusqu’à des temps indéfinis. Dans ce cas, l’esclave se plaçait contre le montant de la porte et son maître lui perçait l’oreille avec un poinçon. Cette marque bien visible faite à l’organe de l’ouïe montrait de toute évidence que l’esclave désirait demeurer attentif à la volonté exprimée de son maître. — Ex. 21:5, 6.

  • Oren
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    • OREN

      {Article non traduit.}

  • Orfraie
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    • ORFRAIE

      (héb. pérés).

      L’une des “créatures volantes” que la Loi a déclarée impure et donc interdite à la consommation (Lév. 11:13; Deut. 14:12). Son nom hébreu signifie littéralement “briseur”.

      L’orfraie, que l’on appelle aussi “aigle pêcheur”, semble être apparentée au faucon et à l’aigle, quoiqu’elle possède certains traits distinctifs, par exemple des pattes semblables à celles du hibou. La tête et le bec de l’oiseau rappellent ceux de l’aigle; quant à son corps et à ses ailes, ils sont marron foncé dessus et blanc strié de marron dessous. Mesurant environ 80 centimètres de long et ayant une envergure de presque 1,80 mètre, l’orfraie vit à proximité de toutes les grandes masses d’eau, où elle se nourrit des poissons qui nagent près de la surface. Avec une aisance gracieuse, l’oiseau plane et tournoie au-dessus de l’eau jusqu’à ce qu’il repère sa proie. C’est alors qu’il pique brusquement. Ses pattes frappent l’eau avec force, et il disparaît même de temps à autre dans l’eau. Un plumage très épais sous le corps de l’orfraie atténue l’impact et la rend remarquablement équipée pour ce genre d’attaque. De plus, les longues griffes crochues et acérées qui terminent ses doigts grossiers facilitent la préhension de sa proie glissante. Selon des observateurs, lorsqu’il se dirige vers le rivage pour dévorer son repas, l’oiseau a l’habitude de tenir la tête de sa proie dans l’axe de son vol, et cela afin de réduire la résistance de l’air. En Palestine, l’orfraie vit principalement le long de la côte méditerranéenne.

      [Illustration, page 1112]

      L’orfraie, un oiseau que la loi mosaïque interdisait à la consommation.

  • Orge
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    • ORGE

      (héb. seʽorah; gr. krithê).

      Importante céréale cultivée dans de nombreux endroits depuis les temps anciens jusqu’à présent. C’était un des produits de valeur qui attendaient les Israélites en Terre promise, région qui est encore aujourd’hui “un pays de blé, et d’orge”. — Deut. 8:8.

      Le nom hébreu de l’orge (seʽorah), dérivé du mot utilisé pour désigner le “poil”, signifie littéralement “la chose poilue”. Ce terme décrit bien les longues pointes effilées qui forment les barbes caractéristiques de l’épi d’orge. Cette plante très robuste supporte mieux la sécheresse et s’adapte à une plus grande variété de climats que n’importe quelle autre céréale. À maturité, l’orge mesure environ 90 centimètres de haut. Ses feuilles sont un peu plus larges que celles du blé.

      L’orge mûrit avant le blé (Ex. 9:31, 32). On commençait à la moissonner au début du printemps, durant le mois de Nisan (mars-​avril), d’abord dans la chaude vallée du Jourdain, puis dans les régions plus élevées et plus tempérées, et au cours du mois de Ziv (avril-​mai), sur les hauts plateaux à l’est du Jourdain. La récolte de l’orge marquait donc une période précise de l’année (Ruth 1:22; II Sam. 21:9), dont le début correspondait à l’époque de la Pâque, puisque la gerbe que le prêtre balançait le 16 Nisan venait des prémices de l’orge (Lév. 23:10, 11). Certains ont émis l’opinion selon laquelle les Juifs se servaient de la moisson de l’orge comme d’un point de repère pour déterminer quand il fallait ajouter un mois intercalaire pour faire coïncider leur calendrier avec les saisons. Si, à la fin du mois d’Adar, on jugeait que l’orge n’était pas assez mûre pour qu’on puisse en présenter les prémices à l’époque de la fête des Gâteaux non fermentés, on ajoutait un treizième mois (Véadar).

      L’orge coûtait moins cher que le blé. Dans la vision de Jean, sa valeur est trois fois moindre (Rév. 6:6). L’orge était suffisamment commune et abondante pour servir de fourrage aux chevaux de Salomon (I Rois 4:28), et on l’utilise encore de la même façon aujourd’hui. On faisait du pain, souvent en forme de gâteaux ronds, avec de la farine d’orge (II Rois 4:42; Ézéch. 4:12; Jean 6:9, 13) que l’on mélangeait parfois à d’autres céréales. — Ézéch. 4:9.

      L’orge servait aussi de mesure. On estimait la valeur légale d’un champ en fonction de la quantité d’orge nécessaire pour l’ensemencer (Lév. 27:16). Les écrits rabbiniques montrent que, par la suite, les Hébreux utilisèrent cette céréale comme mesure de longueur: sept grains d’orge posés côte à côte équivalaient à une “largeur de doigt”.

      [Illustration, page 1112]

      Épis d’orge.

  • Orgie
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    • ORGIE

      Le mot grec kômos, qui signifie “réjouissances, noce, partie de plaisir”, figure trois fois dans les Écritures grecques chrétiennes (Rom. 13:13; Gal. 5:21; I Pierre 4:3), et toujours pour désigner une action mauvaise ou désapprouvée. Le Lexicon de J. Thayer fait remarquer que dans les écrits grecs de l’Antiquité ce mot s’applique à “une procession nocturne tapageuse de joyeux lurons à moitié ivres qui, après le dîner, défilent dans les rues avec torches et musique, en l’honneur de Bacchus ou d’un autre dieu [ou de l’athlète victorieux d’un de leurs jeux], et qui chantent en s’accompagnant de musique devant les maisons de leurs amis ou amies”. Une telle conduite immodérée et licencieuse, accompagnée de défilés dans les rues semblables à ceux qui se déroulent lors du carnaval dans certains pays, était courante dans les villes grecques du temps de l’apôtre Paul. Il était donc approprié et utile de mettre en garde les vrais adorateurs contre cette coutume.

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