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    Réveillez-vous ! 1976 | 8 octobre
    • bien grasses et à la reproduction en automne.

      Les pilotes de ligne et les langues

      Au mois de juin dernier, les pilotes de la compagnie Air Canada ont fait grève pour un motif qui a dû surprendre bien des profanes. C’était en effet pour protester contre le projet visant à faire une plus large utilisation du français dans les opérations de contrôle aérien des aéroports québécois. Il est intéressant de savoir comment les pilotes qui atterrissent souvent en territoire étranger communiquent avec les postes de contrôle. Selon la convention de Chicago, signée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la langue de travail entre les pilotes et les contrôleurs aériens est l’anglais quand ils n’ont pas de langue commune à leur disposition. Depuis, outre l’anglais, le français, l’espagnol et le russe sont devenus langues officielles. Par exemple, un pilote japonais qui se pose à Tokyo utilise sa langue maternelle pour communiquer avec la tour de contrôle. Un pilote français, qui parle en français en arrivant sur les aéroports français, utilise l’anglais quand il veut se poser à Tokyo. Évidemment, le problème se complique dans les pays bilingues. En Belgique, on utilise l’anglais à cause de la rivalité entre Flamands et Wallons. Au Canada, il est plus difficile de régler le problème que provoque le conflit entre francophones et anglophones. En effet, on ne peut imposer une langue neutre, comme en Belgique, puisque ce ne pourrait être que l’anglais, à moins de choisir le russe ou l’espagnol ! Même les problèmes qui paraissent bien insignifiants revêtent une importance considérable dans un système où domine la politique.

      Drogue : le retour en force de l’héroïne

      Tel était le titre d’un article paru dans Le Figaro du 21 juin 1976, à propos de la réapparition en très grande quantité de cette drogue “dure” en France. Après trois ou quatre années d’efforts, la police avait réussi à réduire sensiblement la circulation de l’héroïne. Mais les responsables de la répression des stupéfiants viennent de lancer un cri d’alarme. Alors que l’héroïne était devenue quasiment introuvable sur le marché parisien, donc très chère, elle est réapparue, et certainement en très grande quantité. La preuve, c’est que son prix a chuté, passant de 600 francs à 300 francs le gramme. De plus, elle est plus concentrée, donc plus dangereuse. Ainsi, en juin, on avait déjà recensé vingt-quatre décès de toxicomanes à Paris depuis janvier, alors que pour toute l’année 1973 on n’en avait compté que treize. La police française obtiendra-​t-​elle les mêmes résultats qu’il y a quelques années ? Selon Le Figaro, “il en va de la vie des adolescents qui, depuis six mois, commencent à prendre la relève de la génération de toxicomanes apparue en France vers 1968, alors même que les spécialistes ne se font plus guère d’illusion sur le pourcentage de récupération des drogués dès lors qu’ils ont connu les effets de cette héroïne que ses victimes n’appellent pas sans raison ‘le cheval’”.

      À quand la bicyclette électrique ?

      On a beaucoup parlé ces temps derniers de l’automobile électrique. Elle a sans doute l’avenir devant elle, mais il restera lointain tant que les progrès en matière de batterie ne permettront pas une autonomie de plusieurs centaines de kilomètres. Il semble que le problème soit plus facile à résoudre pour la bicyclette. Ainsi, d’après Le Monde du 12 mai 1976, des Britanniques ont adapté un moteur électrique sur la roue avant d’une bicyclette et disposé deux batteries placées comme des sacoches à l’arrière. Il est ainsi possible de rouler environ cinquante kilomètres. Ensuite, il faut trois heures de charge pour une dépense inférieure à 2 francs français. Une telle bicyclette aurait un avantage sur les cyclomoteurs. Elle serait silencieuse, et l’énergie récupérable dans les descentes ou quand on freine rechargerait la batterie, alors que pour les vélomoteurs l’énergie est dépensée en pure perte. Enfin, comme la puissance du moteur électrique augmente quand la vitesse diminue, une telle bicyclette pourrait grimper des côtes abruptes sans effort. À quand les bicyclettes électriques en série ?

      Un trafic honteux

      La Suisse du 13 juin 1976 a dénoncé une fois de plus le trafic du sang humain qu’il a qualifié de honteux. Ce journal a rappelé que la Croix-Rouge suisse avait récemment ‘mis en garde les jeunes gens qui, pour mieux courir tout l’été après le soleil, se sont mis à vendre leur sang en route’. Ensuite, il a qualifié de “foire internationale” le commerce du sang humain dont les prix varient terriblement d’un pays à un autre, notamment entre les pays pauvres et les nations riches. À la question : “Pourquoi cette foire internationale ?”, La Suisse répondait : “Pour répondre aux exigences de la transfusion sanguine parfois salvatrice bien que trop souvent prescrite à la légère, ainsi que l’indiquent les auteurs du vade-mecum clinique, mais aussi pour fabriquer des médicaments dits ‘régénérants’ au profit des vieillards riches de nos pays industrialisés. Le sang frais des autres nous est revendu très cher. Ce qui explique pourquoi on peut voir, dans la plupart des pays pauvres, de jeunes miséreux déjà à bout de course venir offrir leur sang jusqu’à trois fois par semaine ! Certains, en effet, n’ont que cette ‘ressource’ pour nourrir leur famille.” L’article citait enfin le directeur de l’Organisation mondiale de la Santé qui a déclaré : “Les pauvres qui, pour des raisons évidentes, peuvent le moins se permettre de se priver de leur sang, sont poussés à le faire au profit des riches. (...) Les pays insuffisamment développés fournissent du sang aux pays riches pour faciliter la production des dérivés sanguins, lesquels sont surtout utilisés dans les pays industrialisés en raison de leur coût et de l’existence, dans ces pays, d’un meilleur équipement médical.”

      L’“amour” et l’Église

      Récemment, un célèbre guérisseur brésilien a pris la parole lors de l’inauguration d’une nouvelle église “Dieu est Amour” près de Rio de Janeiro. Il semble qu’en cette circonstance d’autres sentiments que l’amour se soient manifestés. En effet, certaines personnes perdues au milieu des 2 000 assistants entassés dans l’église ont commencé à traiter le guérisseur d’imposteur. Au cours de la bagarre qui a suivi, 21 personnes ont été tuées et 29 autres blessées.

  • L’arche était-elle assez grande ?
    Réveillez-vous ! 1976 | 8 octobre
    • L’arche était-​elle assez grande ?

      La Bible rapporte que des humains et des animaux ont survécu au déluge universel en se réfugiant dans l’arche. Est-​ce à dire que toutes les variétés d’animaux, par exemple toutes les variétés de chiens, ont été préservées dans l’arche ?

      Pour connaître les faits, lisez le livre La Bible est-​elle vraiment la Parole de Dieu ? Ce livre de 192 pages, format de poche, répond aux nombreuses questions que soulèvent les critiques de la Bible.

      Renvoyez le coupon-réponse ci-dessous à l’une des adresses indiquées à la deuxième page de ce périodique.

      Veuillez me faire savoir comment je peux me procurer le livre La Bible est-​elle vraiment la Parole de Dieu ?

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