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  • Respectez le caractère sacré du sang
    La Tour de Garde 1962 | 15 janvier
    • la doctrine platonicienne de l’immortalité de l’âme, soutint que le décret apostolique avait perdu son importance, ayant rempli son objet.d Enfin, au XVe siècle, l’Église romaine s’était si éloignée du point de vue des premiers chrétiens qu’on n’hésita pas à se servir non du sang d’animaux mais du sang de trois petits garçons pour tenter, sans succès, de rétablir le pape Innocent VIII, qui était malade, et cela au prix de la vie des trois donneurs. Ainsi, comme on peut le voir, l’indifférence de la chrétienté pour le caractère sacré du sang n’est pas produite par la foi chrétienne mais c’est la conséquence de l’apostasie. — I Tim. 4:1.

      LE SANG EMPLOYÉ COMME NOURRITURE

      12. Quelles sont quelques-unes des pratiques modernes qui attentent au caractère sacré de la vie et que les chrétiens doivent éviter ?

      12 Il est donc de la plus haute importance pour les vrais chrétiens du temps de la fin de se montrer vigilants de peur d’attenter au caractère sacré du sang. Ils se garderont d’imiter le présent monde. Par exemple, en Afrique il y a des peuplades qui complètent leur alimentation en buvant du sang à la veine jugulaire de leurs bœufs. En nombre d’endroits, on voit des hommes aller aux abattoirs pour boire le sang de bêtes fraîchement tuées, étant persuadés que c’est là un remède contre certaines maladies. En Extrême-Orient, il y a des pays où le sang entre comme élément de base dans la préparation de certaines soupes et sauces. En Amérique du Sud un plat très commun se fait avec du sang de porc mélangé à du riz, des pommes de terre et des condiments. Presque partout on vend, sous divers noms, de la saucisse faite avec du sang. Toutes ces pratiques témoignent d’un mépris absolu pour le caractère sacré de la vie car toutes transgressent la loi de l’Auteur de la vie en matière de sang.

      13. Pourquoi faut-​il veiller à tuer comme il convient les bêtes destinées à la consommation et, en certains cas, que devra faire le chrétien ?

      13 La loi sur le sang interdit encore la consommation des chairs étouffées car le sang n’en a pas été répandu. Ainsi on ne peut manger la chair d’animaux morts étouffés ou autrement dans un piège, ni la chair du gibier abattu à la chasse mais pas aussitôt saigné. Dans beaucoup de pays on tue les poulets par étouffement, en leur brisant le cou mais sans leur couper la tête. Cette viande-​là est également interdite aux chrétiens. Il est des bouchers qui, indifférents aux lois divines sur la question, saignent mal les animaux, qui empêchent même l’écoulement du sang pour augmenter le poids de la viande. Si un chrétien apprend que son boucher saigne mal les bêtes, il ira s’approvisionner en viande ailleurs ou s’abstiendra d’en manger s’il n’y a pas d’autre boucherie. De même le chrétien consciencieux refusera de manger de la viande dans un restaurant s’il sait que dans la région on saigne incomplètement les animaux. En de telles circonstances, si un chrétien veut manger de la viande, il lui faudra acheter un animal ou un volatile vivant et le tuer lui-​même.

      14. De quelle manière emploie-​t-​on le sang dans certains produits alimentaires ? Que fera le chrétien ?

      14 Le mépris de la loi divine est si général qu’on emploie du sang total, du plasma et des dérivés du sang pour la fabrication de produits vendus comme denrées alimentaires. Par exemple, on rapporte que certains fabricants de conserves de viandes font entrer du sang dans leur recette pour les saucisses de Francfort, la mortadelle, les pâtés, etc. On ne dira pas que c’est du sang, mais quelle que soit l’appellation de ces produits, si c’est du sang ou un dérivé du sang, c’est mal. Tous les fabricants de conserves de viandes ne font pas ainsi, tant s’en faut. En certains endroits, personne n’ignore que le “ hamburger ” (sorte de viande hachée) se compose surtout de graisse mélangée de sang. Il y a des années, la Russie avait des boulangeries qui fabriquaient du pain avec de la farine de seigle et du sang de bœuf défibriné, mélangés dans la proportion de sept à trois. Dans d’autres pays, certains boulangers emploient, au lieu de blanc d’œuf, du plasma en poudre pour la pâtisserie. On peut lire sur l’étiquette de divers fortifiants et comprimés en vente dans les pharmacies que dans leur formule entrent des fractions sanguines telles que l’hémoglobine. Il importe donc d’être vigilant. Il faut savoir ce qui se fait dans sa région, poser des questions raisonnables aux débitants de viande et comprendre les étiquettes des produits en boîtes ou en paquets. Comme le monde se soucie de moins en moins de la loi divine sur le sang, il est important que le chrétien soit toujours plus vigilant pour “ se préserver des souillures du monde ”. — Jacq. 1:27.

      LA TRANSFUSION SANGUINE

      15. Quels faits ont marqué l’usage du sang dans le traitement médical ?

      15 Au cours des siècles, les abus que l’homme a faits avec le sang ont revêtu des formes multiples. Il y eut autrefois des princes égyptiens qui employaient le sang humain à des fins de rajeunissement. Il y eut aussi des hommes qui buvaient le sang de leurs ennemis. Mais ce n’est qu’après les études de William Harvey sur la circulation sanguine, au XVIIe siècle, que l’on tenta de transfuser le sang des veines d’un individu dans celles d’un autre. Après de graves échecs marqués par des accidents mortels, on commença, au début du XXe siècle, à regarder la transfusion sanguine d’un œil plus favorable, quand les recherches eurent permis l’identification de plusieurs groupes sanguins. Les deux guerres mondiales et le conflit coréen ouvrirent aux médecins un vaste champ pour expérimenter l’usage thérapeutique du sang. À l’heure actuelle, on a perfectionné le procédé au point que la médecine emploie non seulement le sang total et le plasma, liquide presque incolore qui véhicule les globules, mais également les globules rouges séparés du plasma et, selon les cas, les diverses protéines plasmatiques.

      16. L’emploi du sang dans les traitements médicaux est-​il une transgression de la loi divine ?

      16 La loi divine est-​elle enfreinte par cet usage médical du sang ? Est-​il mal de conserver la vie par des injections de sang, de plasma, de cellules rouges ou des diverses fractions sanguines ? Oui, c’est mal ! La loi que Dieu a donnée à Noé et qui s’applique à tous ses descendants interdit de manger du sang, c’est-à-dire d’employer le sang d’une autre créature pour se nourrir ou soutenir sa vie. De même que Tertullien dans son Apologie explique comment les premiers chrétiens raisonnèrent sur la question, de même il est actuellement admis que si cette prohibition s’applique au sang animal, elle s’applique à d’autant plus forte raison au sang humain. Cette défense frappe n’importe quel sang. — Lév. 3:17, NW.

      17. Quels faits historiques attestent qu’on fit jadis un mauvais usage du sang humain ? Donc quel sang est encore visé par le décret publié par le collège central des chrétiens ?

      17 On prétend que le décret interdisant le sang que publia le collège central des chrétiens ne concerne pas le sang humain, mais seulement le sang animal. C’est témoigner de son ignorance des faits de l’histoire. Dans la Rome païenne, qui, au Ier siècle, était maîtresse du monde méditerranéen, on voyait, aux combats de gladiateurs, des spectateurs se précipiter dans l’arène pour sucer le sang qui coulait du cou du vaincu. On rapporte que chez les Scythes il y en avait qui mangeaient ceux de leur parenté qui étaient décédés. Chez quelques peuples on concluait des alliances en buvant chacun une certaine quantité du sang de l’autre. Pour faire l’initiation aux rites de la déesse Bellone, on recueillait du sang dans la main pour le manger. Ainsi, quand les apôtres, sous la direction du saint esprit, prescrivirent aux chrétiens l’abstention du sang, ils songèrent également au sang humain.

      18. Qu’est-​ce qui prouve que transfuser du sang c’est alimenter avec du sang ?

      18 Il importe peu que le sang soit absorbé par les veines au lieu de la bouche. Et l’argument que ce n’est pas la même chose que l’alimentation par voie intraveineuse n’a pas non plus de valeur. Il est de fait que la transfusion nourrit ou entretient la vie du corps. C’est ce que confirme un passage du livre Hemorrhage and Transfusion (Hémorragie et transfusion), dans lequel l’auteur, George W. Crile, cite une lettre de Denis, médecin français et un des premiers chercheurs dans le domaine de la transfusion. Voici ce que dit cette lettre : “ Faire une transfusion, ce n’est rien d’autre qu’alimenter par un chemin plus court qu’à l’ordinaire, c’est-à-dire placer dans les veines du sang tout fait au lieu de prendre de la nourriture qui ne devient du sang qu’après plusieurs changements. ”

      19, 20. a) Étant donné les nouveaux procédés de la thérapeutique médicale, comment peut-​on déterminer s’il faut accepter ou refuser un traitement impliquant l’emploi du sang ? b) Quel bel exemple David a-​t-​il donné sous ce rapport, témoignant ainsi de son respect pour le caractère sacré du sang ?

      19 Étant donné l’accent mis sur l’usage du sang dans le monde médical, on recommande constamment de nouveaux traitements qui impliquent l’emploi du sang. Mais qu’il s’agisse de sang total ou d’une fraction sanguine, que ce soit du sang prélevé de son propre corps ou prélevé d’un autre sujet, que le sang soit administré sous forme de transfusion ou de piqûre, la loi divine garde toute sa valeur. Dieu ne permet pas à l’homme d’utiliser le sang comme les autres matières. Dieu lui demande de respecter le caractère sacré du sang.

      20 Quel bel exemple de respect de la loi en question fut celui que donna le roi David, homme craignant Dieu ! Avant l’époque de l’expulsion hors du pays des ennemis du peuple de Dieu, les Philistins avaient une garnison à Bethléhem. Un jour “ David eut un désir, et il dit : Qui me fera boire de l’eau de la citerne qui est à la porte de Bethléhem ? ” En effet, David aurait voulu que les Philistins fussent partis et qu’il pût sans danger se rendre à la citerne de Bethléhem pour y boire de son eau. En entendant ce désir, “ trois hommes (vaillants) passèrent au travers du camp des Philistins, et puisèrent de l’eau de la citerne qui est à la porte de Bethléhem. Ils l’apportèrent et la présentèrent à David. ” Ce que ces hommes lui apportaient n’était rien d’autre que de l’eau, mais ils étaient allés la chercher au péril de leur vie. David ne l’ignorait pas. Aussi refusa-​t-​il de la boire. “ Il la répandit devant l’Éternel (Jéhovah). Il dit : Loin de moi, ô Éternel, la pensée de faire cela ! Boirais-​je le sang de ces hommes qui sont allés au péril de leur vie ? Et il ne voulut pas la boire. ” (I Chron. 11:16-19 ; II Sam. 23:15-17). David respectait la loi divine. S’il s’abstenait du sang animal, il se gardait évidemment de consommer du sang humain, faute bien plus grave. Il se garda même de rien faire qui ressemblât à une transgression de la loi divine. C’était un homme selon le cœur de Dieu. C’est par une obéissance semblable, venue du cœur, que les chrétiens actuels s’abstiennent de tout abus du sang. Par amour pour Dieu, ils témoignent du respect pour le caractère sacré du sang.

  • Employez la vie d’une manière conforme à la volonté divine
    La Tour de Garde 1962 | 15 janvier
    • Employez la vie d’une manière conforme à la volonté divine

      1. a) La volonté de qui dicte l’usage à faire du sang ? Quelles pratiques défend-​il ? b) Quel événement du temps de Caïn et d’Abel indiqua à quel usage légitime pouvait servir le sang répandu ?

      IL N’EST qu’une seule manière d’employer légitimement le sang, c’est de l’employer d’une manière conforme à la volonté divine. Il est interdit de manger du sang. Dieu ne donne pas le droit de l’administrer sous forme de traitement médical destiné à conserver la vie. En dehors de sa fonction vitale dans le corps de la créature qui en est le propriétaire, il n’y a qu’un seul usage du sang qui soit permis par Dieu. Cet emploi fut indiqué aux jours de Caïn et d’Abel. Il est écrit : “ Abel fut berger, et Caïn fut laboureur. Au bout de quelque temps, Caïn fit à l’Éternel (Jéhovah) une offrande des fruits de la terre ; et Abel, de son côté, en fit une des premiers-nés de son troupeau et de leur graisse. L’Éternel (Jéhovah) porta un regard favorable sur Abel et sur son offrande ; mais il ne porta pas un regard favorable sur Caïn et sur son offrande. ” (Gen. 4:2-5). L’offrande de Caïn consista en produits végétaux privés d’âme. Mais le sacrifice d’Abel représentait une vie et exigea une effusion de sang. En agréant l’offrande d’Abel, Jéhovah indiqua pour la première fois qu’un sacrifice devait nécessairement comporter une effusion de sang. Mais Caïn refusa de se laisser diriger par Dieu en ce domaine. Au contraire, Caïn tua son frère Abel, le seul homme qui employât la vie, la sienne et celle de son troupeau, d’une manière conforme à la volonté divine.

      2. Quel fut le seul usage légitime du sang répandu permis par Dieu ? À qui le fit-​il savoir et comment ?

      2 Les fidèles serviteurs de Dieu savaient que c’était la volonté divine que le sang des animaux fût répandu en sacrifice. Noé, Abraham et d’autres hommes firent un tel usage du sang, comme cela est dit dans la Bible (Gen. 8:20 ; 22:13). Quand leurs descendants, c’est-à-dire les Israélites, se rassemblèrent au pied du mont Sinaï, où ils furent organisés en nation, Jéhovah leur dit en termes très clairs qu’il n’y a qu’un seul usage auquel peut servir le sang répandu. Dieu leur déclara : “ Je vous l’ai donné sur l’autel, pour faire propitiation pour vos âmes ; car c’est le sang qui fait propitiation pour l’âme. ” (Lév. 17:11, Da). Puisque le sang est si intimement lié aux phénomènes vitaux et que le péché entraîne la perte de la vie, Dieu exige comme sacrifice propitiatoire pour le péché ce qui représente la vie, à savoir le sang. Il est écrit : “ Sans effusion de sang il n’y a pas de pardon. ” — Héb. 9:22.

      3. Quelle grande victime préfigurèrent les victimes animales et de quelle façon son sang bénéficie-​t-​il à l’humanité ?

      3 Les victimes animales préfigurèrent toutes une grande Victime, capable d’effacer le pêché d’une manière permanente et d’offrir aux serviteurs de Dieu l’occasion d’obtenir la vie éternelle. Cette victime ne fut pas prise parmi les troupeaux d’Israël. Cette victime était Jésus-Christ, le Fils de Dieu, celui que Jean-Baptiste identifia quand il s’exclama en ces termes : “ Voici l’agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. ” (Jean 1:29). C’était là le don de Dieu en faveur du genre humain. C’était l’Agneau, son Fils, celui qui offrit sa vie en sacrifice. Grâce à cette immolation faite par amour, il est possible à des hommes et à des femmes d’avoir accès au privilège de servir dans les parvis célestes auprès du Christ-Roi, car ces humains ont été “ justifiés par son sang ”. (Rom. 5:9.) Outre ce “ petit troupeau ” de cent quarante-quatre mille membres, il y a une “ grande foule ” de personnes servant Dieu devant le trône, sur son marchepied qu’est la terre, qui bénéficient du sacrifice rédempteur. Ces personnes lavent leurs robes et les blanchissent dans le sang de l’Agneau. Aussi reçoivent-​elles le pardon de leurs péchés et elles sont considérées comme justes par Dieu. — Apoc. 7:14, 15.

      4. En quoi faut-​il croire pour avoir la vie éternelle et pourquoi ?

      4 L’immolation parfaite de Jésus-Christ était exactement le sacrifice qu’il fallait offrir à Dieu en faveur de l’homme pécheur. Il n’est pas besoin de le renouveler. Les sacrifices d’animaux ne sont plus nécessaires. En fait, ces sacrifices sont en horreur à Dieu car ce sont autant de signes de mépris pour le sacrifice dont la victime fut son envoyé. Ainsi, le sacrifice rédempteur de Jésus-Christ, est la seule immolation que Dieu permette parmi ses témoins chrétiens et grâce à quoi le sang d’une créature peut être employé pour sauver des vies. Il est écrit : “ En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce. ” (Éph. 1:7). Notre vie dépend de notre foi à la rédemption, donc de notre foi en ce que Dieu a décidé concernant l’usage légitime du sang. Ceux qui désirent recevoir la vie des mains de Dieu s’abstiendront donc d’employer le sang d’autre manière que celle autorisée par l’Auteur de la vie.

      IL FAUT AIMER DIEU DE TOUTE SON ÂME

      5. a) Selon Jésus, que faut-​il faire pour obtenir la vie éternelle ? b) Que faut-​il comprendre par “ aimer Dieu de toute son âme ” ?

      5 Un jour, un homme versé dans la connaissance de la loi mosaïque demanda à Jésus : “ Maître, que dois-​je faire pour hériter la vie éternelle ? ” Dans sa réponse, Jésus énonça un principe directeur qui nous aide à déterminer ce qu’il faut faire de notre vie présente pour obtenir le prix de la vie éternelle. Jésus répondit : “ Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force, et de toute ta pensée. ” (Luc 10:25-27). Que faut-​il comprendre par “ aimer Dieu de toute son âme ” ? Qu’il faut donner en offrande notre vie à Dieu, qu’il faut consacrer notre vie à l’exécution de toute tâche divinement reçue. Ayant voué notre vie à Dieu, il nous faut bien comprendre sous quelle figure la Bible représente la vie. C’est sous l’image du sang, qui est le siège de la vie ou de l’âme. Ainsi, quand on enlève une vie, on dit que le sang a été répandu. Le sang est lié de façon si intime aux phénomènes vitaux qu’il est dit dans la Bible que l’âme ou la vie de l’homme est son sang. En parlant à Noé, Dieu mit en parallèle les mots âme ou vie et le terme sang. Il déclara : “ Seulement, vous ne mangerez point de chair avec son âme, avec son sang. ” (Gen. 9:4). Aux Israélites Dieu dit simplement : “ Le sang, c’est l’âme ” ou “ Le sang, c’est la vie ”. (Deut. 12:23, NW note.) Ainsi, quand on voue sa vie à Dieu, il faut bien veiller à employer ce qui représente la vie, c’est-à-dire notre sang, d’une manière conforme à la loi divine.

      6, 7. Le chrétien peut-​il donner son sang ? Est-​ce une pratique sans danger, selon le point de vue médical ?

      6 Ainsi le plus grand des commandements indique que le chrétien n’est pas libre de donner son sang. La vie appartient à Dieu et ce n’est qu’à lui que nous avons le droit de la donner, dans son service. Il est également faux de prétendre que l’amour du prochain demande que l’on donne son sang. Ce n’est pas aimer son prochain que de participer avec lui à la transgression de la loi divine. Puisqu’il est mal de recevoir une transfusion sanguine, ainsi que l’indique la loi divine, il est également mal de donner son sang à des fins de transfusion.

      7 Dieu demande à ses serviteurs de lui obéir. Cette obéissance est un bienfait, car elle les protège du mal. Il est intéressant de noter que, si les organismes chargés de la collecte du sang cherchent à donner l’impression que l’opération est absolument sans danger, tout le monde ne partage pas leur opinion. Dans le livre Physiology and Clinic of Blood Transfusiona (Physiologie et Clinique de la transfusion sanguine) il est dit entre autres : “ Comme le montrent les recherches les plus récentes, il peut se produire des troubles importants chez le donneur de sang. ” Les chrétiens fidèles s’épargnent ces accidents qui compromettraient leur service divin.

      LES DANGERS QUE FAIT ÉVITER L’OBÉISSANCE

      8. Par quoi est motivée l’attitude des témoins de Jéhovah envers la transfusion sanguine ? Mais pourquoi examinerons-​nous certains faits médicaux ?

      8 L’attitude des témoins de Jéhovah envers la transfusion sanguine n’est pas motivée par la faveur ou la défaveur que cette pratique rencontre dans les milieux médicaux. Ce n’est pas la réussite assurée ou les dangers de l’opération qui dictent leur décision mais la Parole de Dieu. Cependant, la connaissance de certains des effets dont nous protège l’obéissance à la loi divine ne peut que nous faire apprécier davantage la justice des voies de Jéhovah.

      9. Comment considère-​t-​on généralement la transfusion sanguine, mais est-​on médicalement justifié à penser ainsi ?

      9 Ces dernières années il est de pratique courante de faire des transfusions, qui sont rangées dans la catégorie des procédés bienfaisants. Parfois la transfusion est faite sur la prière du malade ou sur la demande des membres de sa famille, qui veulent être certains que “ tout a été fait ”. À ce sujet, le directeur d’une banque de sang new-yorkaise (New York University-Bellevue Medical Center) a dit : “ Les transfusions sanguines se font d’après la théorie qui veut que ces interventions, ne pouvant jamais faire de mal, peuvent faire du bien au patient. C’est là une idée fausse car il y a des dangers inhérents à la transfusion sanguine. ” Voici ce qu’écrit la revue de l’Académie américaine de Médecine générale : “ Il est fâcheux que beaucoup aient perdu la crainte de la transfusion et prescrivent maintenant une transfusion aussi allègrement qu’un flacon de sel purgatif. ” Il y a plus de quatre mille ans Jéhovah a interdit à l’homme d’introduire dans son corps tout sang étranger. La médecine moderne confirme le fait que la transgression de cette loi ne va pas sans de graves dangers.

      10, 11. a) Quels sont quelques-uns des dangers qui menacent le transfusé ? Les médecins savent-​ils les supprimer ? b) En présence de ces faits peut-​on dire que la transfusion sanguine sauve vraiment la vie ?

      10 Un des dangers immédiats qui menacent le receveur, c’est la possibilité d’une réaction hémolytique, c’est-à-dire la destruction rapide des globules rouges, vecteurs d’oxygène. Les symptômes en sont des céphalées pulsatiles, des douleurs lombaires et thoraciques et l’accumulation de poisons dans l’organisme par suite de la défaillance des reins. La mort peut survenir en quelques heures ou en quelques jours. On n’a pas encore réussi à écarter ce danger. Voici ce qu’a déclaré W.-H. Crosby, chef du service d’hématologie de l’institut militaire de recherches de Walter Reed : “ On a beau essayer, on ne peut que réduire la fréquence des réactions. On ne peut les éliminer, et les patients continueront de subir des dommages à la suite des transfusions sanguines. ” Même s’il ne se produit pas de réaction hémolytique par suite de la formation naturelle d’anticorps dans le sang du patient, les antigènes du sang transfusé dans son organisme peuvent stimuler la formation d’anticorps, de sorte qu’une réaction grave se produira si jamais du sang contenant ces facteurs lui est de nouveau administré. Les combinaisons possibles des facteurs sanguins connus seraient de l’ordre de quinze millions. Aussi n’est-​il guère probable, sinon impossible, de recevoir un sang qui corresponde au sien et qui n’ait pas d’effets nuisibles.

      11 Il y a d’autres dangers. Comme il n’est pas facile de savoir exactement la quantité de sang qui a été perdue, le médecin risque de transfuser plus de sang qu’il n’y a de place, accident qui, comme l’écrit la revue Medical Science (25 juillet 1959), est fort fréquent et grave. Il arrive aussi que de l’air pénètre dans les veines pendant l’acte transfusionnel et dans ce cas également les réactions sont mortelles. Quant au sang prélevé de l’organisme, il se contamine rapidement et certaines bactéries de l’air atmosphérique multiplient même dans le sang conservé à des températures de réfrigérateur et en rendent mortelle l’administration, même en petites quantités. Peut-​on regarder pareille thérapeutique comme capable de sauver vraiment la vie ?

      12. Énumérez les risques de maladies que comporte une transfusion sanguine et quels peuvent être les effets sur le patient.

      12 Si sombre que soit le tableau, il reste encore à examiner quelques dangers auxquels est exposé le patient qui reçoit du sang. Il se peut que le médecin transfuseur ignore toujours le mal causé par l’opération, car les maladies transmises par la transfusion ne se déclarent pas toutes sur-le-champ. Mais les autorités médicales sont unanimes à admettre que la syphilis, le paludisme et l’hépatite sont transmissibles par la transfusion sanguine. Ces maladies sont non seulement transmissibles mais il se produit régulièrement des cas d’infection. Avec la montée universelle de la corruption et la multiplication des maladies vénériennes, le risque de contracter la syphilis se fait plus grand. La syphilis est une affection redoutable dont les conséquences sont l’accouchement avant terme, la cécité, la surdité, la paralysie, l’affection cardiaque, la folie et la mort. Le test qui se fait pour déceler le sang syphilitique n’en révèle pas la nature dangereuse aux premières périodes et c’est le patient qui paie le prix. En février de cette année, le Times du Japon a rapporté le cas d’une femme qui a gagné son procès contre l’hôpital universitaire de Tokyo, sous contrôle de l’État. On lui avait transfusé du sang syphilitique et les conséquences furent la cécité et la perte de son mari, qui demanda le divorce. La réparation pécuniaire ordonnée par le tribunal fut une bien maigre compensation en regard du mal accompli. Et le risque de contracter le paludisme ? Les porteurs du microbe de cette maladie ne savent pas toujours que leur organisme le recèle. Les examens du sang permettent rarement de le déceler mais c’est le sujet transfusé qui sera la victime. Ce danger n’est pas en diminution, au contraire. Ceux qui ont vécu en pays paludéens ou ont visité ces contrées peuvent être porteurs du parasite, et les voyages internationaux en augmentent journellement le nombre. Une autre affection grave qui réclame l’attention en raison de sa fréquence est l’hépatite d’inoculation (ou hépatite sérique). Si réel est le risque de lésions graves et de mort par suite de l’hépatite que le docteur Alvarez, médecin consultant honoraire à la clinique de Mayo, a dit qu’il ne permettrait jamais à personne de lui faire une transfusion sauf en cas d’absolue nécessité.

      13. Quel prix risque encore de payer toute femme qui reçoit du sang ?

      13 Comme si cela ne suffisait pas, le mal ne s’arrête pas là. S’il s’agit d’une femme, les effets nuisibles peuvent affecter ses maternités futures. Par suite de facteurs dont tous ne sont pas connus, une femme qui reçoit un sang incompatible risque de perdre la faculté de donner le jour à des enfants normaux et en bonne santé.

      14. Comment Dieu protège-​t-​il son peuple de ces fléaux ?

      14 Combien il est sage d’écouter la Parole de Dieu, qui nous dit de nous garder du sang ! Comme nous serons bien plus heureux si, comme les enfants écoutent leur père, nous prenons à cœur les conseils divins et y conformons notre vie. Il est écrit : “ Mon fils, sois attentif à mes paroles, prête l’oreille à mes discours. Qu’ils ne s’éloignent pas de tes yeux ; garde-​les dans le fond de ton cœur ; car c’est la vie pour ceux qui les trouvent, c’est la santé pour tout leur corps. ” — Prov. 4:20-22.

      EFFETS SUR LA PERSONNALITÉ

      15. Quel raisonnement se tiennent certains sages selon ce monde en ce qui concerne les dangers de la transfusion ? Quels faits relatifs aux donneurs font réfléchir ?

      15 Ceux qui font plus confiance au savoir de l’homme qu’à la sagesse de Dieu croient qu’avec toutes les précautions qui sont prises dans la sélection du sang des donneurs, il est possible d’éviter tous ces accidents. Mais interrogez les faits. Peut-être serez-​vous choqué d’apprendre qu’il se fait des transfusions de sang de cadavre ? Or c’est ce qui se pratique en Russie et en Espagne. Même aux États-Unis on a fait des expériences de transfusion de sang de cadavre !b Il est probable que cela ne se fait pas dans votre ville. Cependant le magazine Time du 26 mai 1961 rapporte le cas d’une femme de 49 ans, admise à l’hôpital général de Pontiac, qui reçut près d’un litre du sang du cadavre d’un garçon de douze ans, qui s’était noyé dans un lac voisin et était mort depuis environ trois heures. Déjà en 1935 un médecin de la banlieue de Chicago avait employé une technique analogue à celle des Russes. Cet Américain reconnut avoir, en deux ans, fait trente-cinq transfusions de sang de cadavre. Et si le donneur est un membre vivant de sa famille, qui mène une vie saine ? Tout danger a-​t-​il disparu ? Non, il y a toujours le risque d’une réaction par suite d’incompatibilité. Il se peut aussi que le donneur soit, à son insu, porteur du germe de quelque maladie. Dans la majorité des cas, cependant, le receveur ignore l’identité du donneur. Une certaine quantité du sang peut provenir d’individus sains, une autre d’alcooliques et de dégénérés. On demande même aux criminels enfermés en prison de donner leur sang. Par exemple, le New York Times du 6 avril 1961 rapporte ceci : “ Les détenus du pénitencier de Sing Sing à Ossining, donneront aujourd’hui leur sang à la Croix Rouge. ” Geste digne d’éloges ? Certainement pas aussi utile au prochain qu’on le croit.

      16. a) Quelle remarque intéressante sur le sang se trouve en note dans les livres bibliques de Soncino ? b) Qu’ont déclaré des médecins modernes sur cette question et pourquoi cela intéresse-​t-​il le chrétien ?

      16 À l’époque où les Israélites se préparaient à entrer en Terre promise, Jéhovah poussa Moïse à leur répéter la loi interdisant la consommation du sang. Selon Deutéronome 12:25, Moïse déclara : “ Tu ne le mangeras pas, afin que tu sois heureux, toi et tes enfants après toi, en faisant ce qui est droit aux yeux de l’Éternel (Jéhovah). ” Les commentaires bibliques de Soncino (édités par la Jewish Publication Society) portent, au sujet de l’expression : “ afin que tu sois heureux ”, une note qui dit : “ Ibn Esdras pense que la consommation du sang a un effet corrupteur sur la nature morale et la nature physique et transmet une tare héréditaire aux générations futures. ” Voilà une remarque intéressante, qui peut aussi s’appliquer à la transfusion sanguine, comme cela est attesté par des médecins. Par exemple, dans son livre Who is Your Doctor and Why ? (Qui est votre médecin et pourquoi ?), le docteur Alonzo Jay Shadman déclare : “ Le sang d’une personne est en fait la personne elle-​même. Il renferme tous les traits distinctifs de l’individu qui en est le donneur. Cela comprend les tares héréditaires, les prédispositions aux maladies, les poisons imputables à ses habitudes particulières de manger, de boire et de vivre (...) Les poisons qui poussent au suicide, au meurtre, au vol, sont dans le sang. ”. C’est ce que confirme aussi Américo Valério, médecin brésilien et chirurgien depuis plus de quarante ans. Voici ce que déclare ce praticien : “ L’aliénation mentale, les perversions sexuelles, le refoulement, les complexes d’infériorité, les délits simples, tout cela forme souvent le cortège de la transfusion sanguine. ”c Pourtant, ainsi que l’admet la presse, les organismes ayant un stock de sang déclaré sans danger, vont collecter du sang chez des criminels qui possèdent ces traits caractéristiques. Est-​il besoin de dire qu’aucun de ceux qui veulent renoncer aux œuvres de la chair et employer leur vie selon la manière prescrite par la Parole de Dieu n’est disposé à se préparer un pareil avenir ? — Rom. 12:2 ; Éph. 4:22-24.

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      17. a) Les témoins de Jéhovah refusent-​ils, pour des motifs religieux, tout traitement médical ? b) Est-​il permis de secourir un chrétien qui a eu une hémorragie grave !

      17 D’après ce qui précède, que doit faire le chrétien qui vient d’avoir une grave hémorragie ? Ne peut-​il rien faire ? Ne lui reste-​t-​il plus qu’à attendre la mort ? Non. Les témoins de Jéhovah n’ont rien à objecter contre tout traitement qui n’est pas en conflit avec la loi divine. Pareils traitements existent. Les médecins qui voient en l’homme une créature issue des mains divines et non un produit de l’évolution comprennent mieux en général que le corps humain est doté de merveilleux pouvoirs de réparation. Ces praticiens en facilitent le fonctionnement au lieu de penser que la loi interdisant le sang fait obstacle à la guérison. Notre organisme sait combattre les dangers, même ceux créés par l’hémorragie (Ps. 139:14). Voici ce qu’il est dit dans The Encyclopædia Britannica : “ Outre le sang qui circule dans les artères, les veines et les vaisseaux capillaires, le corps possède des réserves mobilisables. On sait qu’une de ces réserves se trouve dans la rate. Dès le début de l’hémorragie, la rate se contracte et déverse dans la circulation du sang comme une éponge. ”d Aussi de nombreux médecins admettent-​ils qu’il est bien plus sûr de coopérer avec la fabrique de sang du corps que de vouloir prendre sa place en transfusant du sang étranger. Même l’importante publication médicale The Surgical Clinics of North America (Les Cliniques chirurgicales de l’Amérique du Nord — février 1959) a écrit : Il ne faut pas oublier que ce n’est pas la transfusion sanguine mais “ la thérapie par le fer (qui) est le traitement de choix de l’anémie consécutive à l’hémorragie ”. Dans les cas graves, c’est-à-dire lorsque la perte de sang a été très abondante, il y a des “ restaurateurs du volume plasmatique ” qui peuvent s’employer sans transgression de la loi divine interdisant le sang. D’après le témoignage de nombreux médecins, ces produits se sont révélés moins dangereux que les transfusions sanguines. Ces succédanés, il est vrai n’ont pas la même efficacité que notre sang, mais ils contribueront à maintenir en circulation les globules rouges, de sorte que l’oxygène parviendra aux divers organes pendant le temps nécessaire à l’organisme pour réparer la perte de sang. Donc au lieu de se laisser administrer du sang sous prétexte que c’est le seul espoir qui reste, les chrétiens se chercheront un médecin qui a suffisamment d’adresse, de patience et de respect de la conscience pour consentir à les soigner sans recours à la transfusion.

      18. Pourquoi est-​ce une folie que de vouloir sauver sa vie en transgressant la loi divine ?

      18 Celui qui cherche à sauver sa vie par des moyens condamnés par les Écritures ne se fait pas un bien durable. Quelle folie de croire qu’il est possible de sauver sa vie en transgressant les lois de l’Auteur de la vie ! Même si cette voie dangereuse semble d’abord donner de bons résultats, elle peut par la suite avoir pour conséquence la maladie et la mise au monde d’enfants mort-nés. Et même si le patient ou sa descendance s’en tire sans aucun mal physique, le fait qu’il a transgressé la loi divine compromet ses perspectives de recevoir la vie éternelle dans le monde nouveau.

      19. a) Qui a affirmé que l’homme ferait n’importe quoi pour sauver sa vie, qu’il abandonnerait même son Dieu ? b) Quelle leçon est à tirer de la réprimande que Jésus fit à Pierre ? c) Que recevront ceux qui obéissent à Dieu même en des situations critiques ?

      19 Dans le cas de Job, Satan affirma que l’homme ferait tout pour sauver sa vie, qu’il se tournerait même contre Dieu. Voici ses paroles : “ Tout ce que possède un homme, il le donne pour sa vie. ” (Job 2:4). Mais Satan se trompait. Job le convainquit de mensonge. Jésus-Christ fera de même, d’une façon remarquable. Un jour que Jésus venait de parler d’une voie qui aboutirait à sa mort dans le service divin, “ Pierre, l’ayant pris à part, se mit à le reprendre, et dit : À Dieu ne plaise, Seigneur ! Cela ne t’arrivera pas. Mais Jésus, se retournant, dit à Pierre : Arrière de moi, Satan ! tu m’es en scandale ; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes. Alors Jésus dit à ses disciples : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-​même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive. Car celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la trouvera ”. (Mat. 16:21-25 ; Marc 8:31-35.) Puisse aucun de nous ne jamais être comme Satan pour nos frères chrétiens en leur demandant de renoncer à leur confiance en Dieu pour la sagesse du présent siècle ! Il n’y a qu’un seul moyen d’obtenir la vie, c’est de mener une existence conforme à la volonté divine. La confiance en Dieu n’est jamais une confiance mal placée. Comme Médecin divin, le Créateur peut faire ce qu’aucun médecin ne saura jamais faire. En effet Dieu peut donner la vie à ses serviteurs, non pour quelques courtes années pleines d’agitation mais pour l’éternité — et s’il le faut par une résurrection d’entre les morts — dans le glorieux monde nouveau à présent si proche. — Ps. 23:4 ; Actes 24:15.

      20. Que faut-​il faire à présent pour employer sa vie d’une manière conforme à la volonté divine ?

      20 Devant des perspectives si merveilleuses, prenez bien garde de vous conduire d’une manière conforme à la volonté divine. Gardez-​vous d’imiter ce monde dans votre attitude envers le sang de vos semblables. C’est maintenant le moment de témoigner de votre intérêt pour leur vie en les engageant à croire au sang du Christ, le seul sang qui ait une valeur réelle aux yeux de Dieu et qui puisse sauver la vie. Désignez-​leur le royaume de Dieu, faites-​leur apprendre ses lois, aidez-​les patiemment à marcher sur le chemin de la vie. Que votre détermination soit de pouvoir dire avec l’apôtre Paul : “ Je suis pur du sang de vous tous, car je vous ai annoncé tout le conseil de Dieu, sans en rien cacher. ” — Actes 20:26.

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