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  • Comment soigner vos maux de tête
    Réveillez-vous ! 1972 | 8 décembre
    • au bonheur des autres sans trop penser au vôtre, vous aurez fait beaucoup pour éliminer les émotions nuisibles et les tensions qui sont si souvent à l’origine des céphalées. — I Pierre 3:3, 4 ; I Tim. 6:6-8.

      Étant donné les nombreuses pressions que l’on subit dans le présent système de choses, il semble très difficile d’éliminer toutes les causes de céphalées. On peut faire beaucoup pour traiter et prévenir les maladies ; mais pour voir la fin définitive de toute souffrance, d’origine organique ou fonctionnelle, il faudra attendre la restauration du paradis terrestre sous l’administration du Royaume de Dieu. L’homme connaîtra alors une santé parfaite et il pourra jouir de la vie sans plus jamais craindre de souffrir de maux de tête. — Rév. 21:4, 5.

  • “Donneurs” de sang
    Réveillez-vous ! 1972 | 8 décembre
    • “Donneurs” de sang

      DANS un livre (The Gift Relationship, 1971), le professeur Richard Titmus, de l’université de Londres, écrit ce qui suit à propos du sang qui doit servir aux transfusions : “Il y a de nombreux mythes dans toutes les sociétés, et l’Amérique ne fait pas exception. Selon un des mythes les plus solidement enracinés aujourd’hui dans ce pays, (...) les donneurs de sang volontaires seraient les plus nombreux ; la majeure partie du sang serait offert par des volontaires.”

      À en croire cet auteur, il y aurait huit catégories de “donneurs” de sang : le donneur à gages, “qui vend son sang au cours du jour” ; le donneur professionnel, “qui donne son sang officiellement de façon régulière ou semi-régulière et qui est plus ou moins rémunéré” ; le donneur volontaire acceptant volontiers d’être payé, “qui reçoit une rétribution tout en prétendant que ce n’est pas son mobile principal” ; le donneur engageant des fonds, qui avance une certaine somme pour le sang qu’on lui ‘prête’ pendant une opération ; après celle-ci, il remplace le sang prêté en donnant du sien, et on lui rembourse son argent ; le donneur avec assurance familiale, “qui fait un don d’un demi-litre de sang chaque année à condition que sa famille (...) ait l’assurance de recevoir le sang dont elle pourrait avoir besoin durant l’année” ; le donneur volontaire par force, qui est militaire ou détenu, que “l’on met en demeure d’être donneur de sang, parce qu’on l’exige ou qu’on s’attend à ce qu’il le soit ; s’il refuse, il s’expose à la désapprobation et à la honte, ou on lui laisse croire que ce refus pourrait nuire à son avenir” ; le donneur volontaire contre des avantages en nature, qui est “attiré par la perspective d’une récompense (...) non pécuniaire”, mais, par exemple, sous la forme de congés ; le donneur volontaire par solidarité “qui, étant donné les conditions sociales, est le plus près de l’idée qu’on se fait du ‘don humain gratuit’”.

      Ce professeur a fait des estimations concernant le sang recueilli aux États-Unis de 1965 à 1967. Elles montrent que 7 pour cent seulement du sang provient de “donneurs volontaires par solidarité”. Cet auteur fait donc la remarque suivante : “‘Faire un don’ implique un mobile altruiste. Pour être plus exact et plus objectif, on devrait dans cette étude remplacer le mot ‘donneurs’ par celui de ‘fournisseurs’.” Pp. 71-96.

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