BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • La liberté de culte triomphe
    Réveillez-vous ! 1977 | 8 décembre
    • Q. Du point de vue médical, quels produits les Témoins de Jéhovah acceptent-​ils à la place du sang ?

      R. Les Témoins de Jéhovah sont reconnaissants envers les savants qui ont découvert des succédanés et envers les médecins disposés à les utiliser, particulièrement les restaurateurs sanguins. Octavio Correa avait informé le chirurgien qu’il acceptait l’emploi de restaurateurs du volume plasmatique, tels qu’une solution saline, une solution de Ringer, de l’Haemaccel, du Dextran, du PVP ou d’autres produits similaires.

      Fermes sans être fanatiques

      Ce bref examen de la question démontre que les Témoins de Jéhovah ne sont pas des fanatiques, mais que leur position sur le sang est solidement fondée sur la Parole infaillible de Dieu. Ils considèrent qu’il est absolument vital de se laisser guider par leur conscience chrétienne éduquée par cette Parole, même si leur propre vie est en jeu. En outre, ils apprécient les efforts que font les médecins et les hommes de science pour prolonger la vie, chaque fois que ces efforts ne violent pas l’obligation biblique du chrétien de “s’abstenir du sang”. — Actes 15:20, 29.

      Quoi qu’il arrive, les Témoins de Jéhovah sont fermement déterminés à obéir au Dieu Tout-Puissant et à sa Parole. En conséquence, ils continueront de s’abstenir du sang. Ils persévéreront également dans leurs efforts pour défendre la liberté de culte. Dans ce but, comme de vrais chrétiens, les Témoins de Jéhovah suivent le conseil biblique leur recommandant de prier “à propos de rois et de tous ceux qui sont haut placés ; afin que nous continuions à mener une vie paisible et calme, avec piété et sérieux parfaits”. — I Tim. 2:1-5.

  • Le “sens marin” ou la prudence en bateau
    Réveillez-vous ! 1977 | 8 décembre
    • Le “sens marin” ou la prudence en bateau

      De notre correspondant en Nouvelle-Zélande

      “DISPARU après le naufrage du bateau.” “Un homme perdu dans le détroit de Cook.” “Une vedette de la police sauve un yacht.” “Six enfants meurent et une ville pleure.” “Un homme sauvé après avoir passé 11 heures dans l’eau sans gilet de sauvetage.” “Quatorze noyades pendant les vacances.”

      On a pu lire ces titres et d’autres semblables dans la presse d’Auckland, en Nouvelle-Zélande, entre la mi-décembre et la mi-janvier 1976. Toutes ces tragédies concernaient des amateurs de navigation de plaisance, et elles avaient eu lieu en mer et sur les voies d’eau de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande.

      De tels accidents se produisent malheureusement partout dans le monde où l’homme, instruit ou ignorant des choses de la mer, affronte celle-ci pour son plaisir ou par profession.

      Depuis quelques années, la navigation de plaisance a de plus en plus de succès et attire de nombreux néophytes. Il ne faut toutefois pas oublier que, même s’il a été inspecté par les autorités les plus compétentes et même si les membres de l’équipage sont des professionnels, un bateau reste toujours à la merci des tempêtes et d’autres dangers. Bien souvent les accidents causent des pertes en vies humaines.

      Les ports, les rivières et les lacs

      C’est près des ports, des rivières et des lacs que se situent presque toutes les fortes concentrations de population. Telle est la ville d’Auckland, qui compte près de 800 000 habitants. Elle est construite sur un isthme situé entre deux grands ports. L’un, à l’ouest, s’ouvre sur la mer de Tasman ; l’autre accueille les navires venant de l’océan Pacifique. Les deux golfes au fond desquels se trouve Auckland totalisent 610 kilomètres de côte et comportent d’autres ports, embouchures de fleuves, îles abritées et criques où peuvent accoster de petits bâtiments. Une telle situation, ajoutée à la douceur du climat, fait de cette ville du Pacifique Sud un centre important d’activité nautique.

      Ce n’est pas seulement dans cette région, mais dans toute la Nouvelle-Zélande, avec son littoral très étendu, ses nombreux lacs et rivières, que le nombre de noyades continue d’augmenter. En 1975, 130 personnes ont ainsi perdu la vie. Cette année, le Conseil pour la sécurité sur les eaux a insisté auprès du public pour qu’il montre plus de prudence. Quant aux garde-côtes volontaires de Nouvelle Zélande, ils recommandent “comme la chose la plus importante à emmener avec soi sur un petit bateau : un sentiment de crainte salutaire”.

      “L’expérience ordinaire du marin” ou bon sens

      Aux termes d’un accord international, les nations maritimes observent le “Règlement international pour prévenir les abordages en mer” qui indique les feux et les signaux que doivent avoir les navires. Il faut également connaître les “Règles de barre et de route” et les signaux de détresse. Le premier paragraphe de ces “Règles” déclare qu’elles doivent être observées par tous les vaisseaux “de la haute mer et de toutes les eaux qui s’y rattachent”. Il s’ensuit donc que quiconque veut naviguer, quelle que soit l’embarcation utilisée, doit être familiarisé avec leur contenu. Mais la règle no 2 est certainement la plus importante. Elle dit : “Aucune disposition des présentes Règles ne saurait exonérer soit un navire, soit son propriétaire, son capitaine ou son équipage des conséquences d’une négligence quelconque quant à l’application des présentes Règles ou quant à toute précaution que commandent l’expérience ordinaire du marin ou les circonstances particulières dans lesquelles se trouve le navire.”

      L’expression “l’expérience ordinaire du marin” peut se définir tout simplement comme le bon sens. Ne pas y recourir peut signifier une suspension de licence ou de certificat, ou même une amende ou un emprisonnement. Certaines autorités locales imposent des amendes et des sanctions aux plaisanciers pour les infractions aux arrêtés et aux règlements. Que dire d’un plaisancier qui, pour n’avoir pas observé “l’expérience ordinaire du marin” et pour avoir négligé les précautions élémentaires, provoquerait la mort de quelqu’un ? En supposant même que la loi ne le tienne pas pour responsable, il n’en sera pas de même de sa conscience.

      Dix règles fondamentales

      La brochure néo-zélandaise Ahoy Skipper énumère ce qu’elle appelle dix règles d’or pour une navigation sûre. 1) Observez les conditions atmosphériques. 2) Ne chargez pas trop l’embarcation. 3) Assurez-​vous d’avoir le matériel nécessaire, y compris les gilets de sauvetage. 4) Assurez-​vous du bon fonctionnement de votre moteur. 5) Connaissez les règlements et arrêtés en matière d’abordage. 6) Restez très vigilants. 7) Connaissez les signaux de détresse. 8) Prenez garde au feu. 9) Ne mêlez pas la boisson avec la navigation. 10) Avant votre départ, faites connaître vos intentions à quelqu’un à terre.

      Mais, que vous vous embarquiez pour la première fois ou pour la cent unième fois, ne prenez pas les choses à la légère et ne pensez pas que votre excursion en mer est comparable à une excursion en voiture. Il y a de grandes différences entre les deux.

      Les routes maritimes ne sont pas toujours calmes. On ne peut pas s’arrêter pour demander son chemin. Si le moteur tombe en panne, on ne peut pas se ranger sur le bord de la route et attendre de l’aide. Les vaisseaux qui parcourent les routes maritimes mesurent de quelques mètres jusqu’à 300 mètres de longueur. Ces bateaux sont peut-être occupés à pêcher, à draguer ou à naviguer avec difficulté en eaux resserrées, à moins qu’ils ne donnent la remorque à un autre ou qu’ils ne soient ancrés. Peut-être ne sont-​ils “pas maîtres de leur manœuvre” ou naviguent-​ils avec ou sans moteur. Il se peut qu’ils croisent votre route ou qu’ils soient en train de vous rattraper. Peut-être aussi viennent-​ils droit sur vous et risquez-​vous un abordage. Vous devez être capable de les identifier par leurs feux la nuit et par leurs caractéristiques le jour. Vous devez être suffisamment familiarisé avec le “code de la route” maritime pour savoir quoi faire pour éviter un abordage. Vous devez connaître vos droits, vos responsabilités et obligations selon les lois internationales et locales, lesquelles reviennent à observer le simple bon sens, la fameuse “expérience ordinaire du marin”.

      Vous ne pouvez absorber simplement en dix leçons la science de la navigation acquise par des générations de marins. Il y a des choses que seule l’expérience vous apprendra ; ainsi, vous comprendrez que le risque de catastrophe est toujours présent, et imprévisible. Tel homme sera capable de faire face à une situation critique dans un milieu peu familier, tandis qu’un autre, bien qu’expérimenté, perdra son sang-froid. Aussi, n’essayez pas de faire de la navigation de plaisance si vous n’êtes pas sûr d’avoir assez de maîtrise de soi en cas d’urgence.

      Les canots rapides

      Ces petites embarcations rapides sont devenues un sujet de graves inquiétudes pour les autorités de Nouvelle-Zélande et d’ailleurs. Elles sont relativement bon marché, sont lancées par une rampe à partir d’une remorque et sont ramenées de la même manière. Dans des circonstances idéales, un enfant peut les mettre en marche, mettre les gaz et filer à vingt nœuds et plus. Manifestement ces engins sont très dangereux entre les mains de personnes inexpérimentées, téméraires ou trop jeunes pour comprendre quelles terribles responsabilités implique la navigation en eaux resserrées ou très fréquentées. Selon la loi néo-zélandaise, les personnes au-dessous de quinze ans ne peuvent diriger une embarcation à moteur capable de dépasser dix nœuds. Elles ne peuvent dépasser cinq nœuds quand elles sont à moins de 180 mètres de la plage ou à moins de 30 mètres d’autres embarcations ou de quelqu’un qui se baigne ou qui pêche. Quand un canot tire un skieur, il ne peut s’approcher de la côte ou la quitter que par des chenaux clairement désignés. En outre, il faut qu’il y ait à bord au moins une personne en plus du conducteur.

      Mesures de sécurité minimum

      Quelles que soient les eaux dans lesquelles il navigue, le plaisancier prudent s’assurera que son bateau convient pour ce qu’il veut faire et qu’il a pris au moins le minimum de précautions. Chaque bateau devrait être muni d’un système de propulsion auxiliaire, par exemple, d’une paire de rames, d’un second moteur (hors-bord) ou de voiles. Il devrait également avoir un dispositif pour combattre l’incendie et de quoi écoper, par exemple un seau ou une pompe. Il devrait posséder assez de matériel insubmersible, tels que des coussins remplis de kapok pour permettre à toutes les personnes à bord de rester à la surface de l’eau. Enfin, il devrait être muni d’une ancre et d’amarres en quantité suffisante pour le maintenir à flot, tout au moins dans des conditions ordinaires.

      Tout bateau capable de faire des croisières de plusieurs jours devrait être pourvu d’un compas en bon état, et la personne responsable devrait savoir s’en servir, s’orienter et faire le point. Naturellement, le bateau doit être équipé des feux de navigation réglementaires. Tout propriétaire de bateau devrait posséder un exemplaire de la dernière carte marine de l’endroit où il veut naviguer et connaître au moins les hauts-fonds, les bancs de sable et les fluctuations de la marée. Il devrait savoir où sont situés les passages profonds empruntés par les gros navires afin de ne pas gêner leur mouvement.

      L’expérience confère de la sécurité

      Si vous n’avez encore jamais navigué, contentez-​vous, pendant la première saison, d’emmener votre famille dans de petites excursions. Pendant ce temps, vous augmenterez vos connaissances en observant et en parlant avec d’autres plaisanciers, et ainsi vous acquerrez de la sûreté lorsque vous ferez face à des circonstances et à des conditions diverses. Il vaut mieux commencer avec une embarcation à voiles ou munie d’un moteur peu puissant dont les possibilités sont limitées ; ainsi vous ne serez pas tenté d’aller au delà de vos capacités. Même si vous avez une grande expérience, vous comprendrez la nécessité de vous rappeler que si vous venez d’acheter un nouveau bateau, vous devez vous contenter de courtes promenades jusqu’à ce que vous soyez familiarisé avec les caractéristiques et le comportement de votre embarcation.

      Vous savez peut-être réciter tout ce qui a été écrit sur la sécurité à bord de petits bateaux, mais cela ne vous servira à rien si vous ne faites pas preuve de bon sens et de prudence. Laissez-​vous toujours guider par ces deux qualités, quel que soit le voyage que vous envisagez, car la mer est dure et implacable pour ceux qui la traitent avec légèreté et ne lui accordent pas la crainte et le respect qu’elle mérite.

  • Eaux chaudes
    Réveillez-vous ! 1977 | 8 décembre
    • Eaux chaudes

      Certaines des eaux océaniques les plus chaudes se trouvent dans le golfe Persique. La température des eaux à la surface dépasse parfois 32 degrés pendant les mois d’été. En plein océan, les régions où les eaux sont les plus chaudes sont situées au nord de l’équateur.

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager