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  • g76 8/8 p. 29-31
  • Coup d’œil sur le monde

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  • Coup d’œil sur le monde
  • Réveillez-vous ! 1976
  • Intertitres
  • La religion en URSS
  • Dogmatisme scientifique
  • Les Japonais aiment lire
  • Le déficit commercial de l’Union soviétique
  • Les risques de maladies dans l’industrie chimique
  • Les sondages et la liberté
  • La Bible et le MLF
  • Retour de la grippe espagnole ?
Réveillez-vous ! 1976
g76 8/8 p. 29-31

Coup d’œil sur le monde

La religion en URSS

Que devient la religion en Union soviétique ? Un rapport publié dernièrement dans le New York Times déclarait : “L’Église orthodoxe russe et les Églises baptistes se soumettent à l’État et fonctionnent sous sa surveillance. Mais des sectes mal vues, comme les Témoins de Jéhovah (...), subissent des tracasseries à cause de leur position sur le service militaire. Le mois dernier, les journaux de Biélorussie ont rapporté le cas de plusieurs Témoins de Jéhovah qui ont été condamnés parce qu’ils ont reproduit des articles du périodique ‘occidental’ La Tour de Garde et pour s’être réunis clandestinement.”

Dogmatisme scientifique

Les manuels de science utilisés dans les écoles s’en tiennent-​ils aux faits ? À ce sujet, la revue Scientific American a publié un article qui déclare : “Les manuels adressés à des non-spécialistes ont particulièrement tendance à être affirmatifs. (...) Peu d’entre eux se donnent la peine de faire la distinction entre les faits et leur interprétation, ou même de suggérer à mots couverts que l’intuition et la conjecture guident en fait le développement des pensées scientifiques. (...) En règle générale, les savants n’admettent pas que des gens formés dans une autre discipline que la leur les critiquent ou contestent leurs dires. Lorsqu’on les critique, ils sont enclins à faire preuve d’une espèce de dogmatisme scientifique.”

Les Japonais aiment lire

bAu Japon la vente des livres a progressé de 16 pour cent l’année dernière, et elle avait augmenté encore plus en 1974. En 1975, les Japonais ont acheté 666 millions de livres, soit environ six par habitant (homme, femme et enfant). Le directeur d’une des plus grandes maisons d’édition du Japon a déclaré : “Nous nous attendions à ce que la vente des livres baisse pendant la récession, mais en fait, ce sont les meilleures années que nous ayons eues depuis la guerre.”

Le déficit commercial de l’Union soviétique

Le gouvernement de Moscou a reconnu qu’en 1975, l’Union soviétique a eu un déficit de 3,6 milliards de roubles (environ 5 milliards de dollars) dans son commerce avec les pays capitalistes. Ce déséquilibre dans la balance des paiements s’explique en partie par les quantités considérables de céréales achetées aux États-Unis, et aussi par la baisse des exportations soviétiques vers les pays occidentaux. En effet, non seulement la crise économique a obligé ces derniers à réduire leurs achats en Union soviétique, mais celle-ci doit payer beaucoup plus cher du matériel commandé il y a deux ou trois ans, à cause de l’inflation qui a frappé la plupart des pays industriels. Selon la revue Economitscheskaïa Gazeta, l’année dernière le commerce extérieur de l’Union soviétique s’est élevé à 50,7 milliards de roubles, dont 15,8 milliards avec les pays occidentaux et 6,3 milliards avec les pays en voie de développement, notamment l’Égypte, l’Inde, l’Irak, l’Iran, le Brésil et l’Argentine. En Occident, c’est avec l’Allemagne fédérale que l’URSS a le plus d’échanges commerciaux (2,8 milliards), ensuite viennent le Japon (1,9), la Finlande (1,7), les États-Unis (1,6), l’Italie (1,4), la France (1,2) et la Grande-Bretagne (0,96).

Les risques de maladies dans l’industrie chimique

La Tribune de Genève a publié il y a quelque temps un rapport sur une campagne internationale ayant pour but de protéger les ouvriers contre les risques de maladies dans l’industrie chimique. Cette campagne est menée dans 65 pays par la Fédération internationale des travailleurs de la chimie. Son secrétaire général, M. Charles Levinson, un Canadien qui siège à Genève, accuse les sociétés multinationales de “minimiser les risques et même de cacher des découvertes scientifiques concernant les propriétés potentiellement mortelles de produits chimiques utilisés dans l’industrie”. D’après le quotidien suisse, M. Levinson “se dit particulièrement préoccupé par une tendance croissante à ‘mettre en balance le travail et la santé’ en période de récession parce que l’application de mesures sanitaires plus strictes pourrait entraîner des licenciements supplémentaires”. À propos des dangers du chlorure de vinyl, M. Levinson affirme : “Quelques grandes sociétés ont financé des études pendant des années, mais elles gardaient secrètes leurs conclusions. Sans la pression de certains d’entre nous aux États-Unis, elles seraient encore restées assises sur les conclusions pendant cinq ans.” La Fédération a publié un livre blanc qui énumère quelque 600 “substances dangereuses”.

Les sondages et la liberté

Parlant devant une commission spéciale de l’Assemblée nationale française chargée d’examiner des propositions de loi relatives aux libertés, M. Maurice Druon, membre de l’Académie française, a dit à propos des sondages d’opinion, de plus en plus nombreux en France : “Qu’est-​ce que cet échantillonnage représentatif d’un millier de citoyens irresponsables et anonymes interrogés par d’autres personnes anonymes et irresponsables ? Qu’est-​ce que ce parlement clandestin qui donne son verdict chaque semaine ? (...) Le sondage d’opinion pollue la démocratie.” Puis, après avoir souligné “le rôle du christianisme comme propagateur de l’idée de liberté”, M. Druon a qualifié la démocratie de “régime qui assure à l’homme, moyennant le respect de certaines règles définies en commun, la plus grande capacité générale d’exercice de la liberté et la plus grande variété de ses applications”. Devant la même commission, Mgr Etchegaray, archevêque de Marseille, président de la Conférence épiscopale de France et président du Conseil des Conférences épiscopales d’Europe, a donné cette étrange définition de la liberté : “Plus qu’à son image, Dieu a créé l’homme à son ébauche, et l’espace entre la création inachevée et la perfection est le champ illimité ouvert à la liberté.” La Bible, elle, affirme que l’homme a été créé parfait mais doué du libre arbitre, et que sous peu les hommes au cœur honnête retrouveront “la liberté glorieuse des enfants de Dieu”. — Romains, chapitres 5 à 8.

La Bible et le MLF

“La religion chrétienne a-​t-​elle trahi la cause du féminisme qui se trouvait en germe dans la Bible ?” C’est la question qu’a posée dernièrement le journal Le Monde dans un rapport sur une conférence intitulée “Lecture féministe de la Bible”, prononcée par Mme Cécile de Corlieu devant les membres du cercle Ernest-Renan, à Paris. Elle n’a pas hésité à citer Mical, fille du roi Saül, qui témoigna son mépris pour son mari, le roi David (II Sam. 6), la reine Vaschti, qui refusa de se soumettre à son époux, le roi Assuérus ou Xerxès Ier (Esther 1), et même Marie de Béthanie, sœur de Marthe et de Lazare, qui, en préférant écouter Jésus au lieu de faire la cuisine, “a choisi la bonne part”. (Luc 10.) Pour Mme de Corlieu, cet incident montre que “la place des femmes n’est donc pas aux fourneaux, mais au centre même de l’œuvre de libération de l’Évangile”. Selon le rapport du Monde, cette féministe prétend que “Saint Paul, mit tout par terre, arguant de l’antériorité de l’homme sur la femme”. Il semble que l’oratrice se soit trompée de titre. N’eût-​il pas été plus approprié d’intituler son intervention “Lecture fantaisiste de la Bible” ?

Retour de la grippe espagnole ?

Au printemps dernier, la presse internationale a fait état d’une alerte générale donnée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) au sujet d’une résurgence possible de la “grippe espagnole”. L’hebdomadaire L’Express a écrit : “La mort subite d’un soldat américain de 19 ans vient de déclencher dans le monde un fantastique branle-bas de combat. Afin de tuer dans l’œuf une épidémie qui pourrait se révéler catastrophique pour l’humanité tout entière. (...) C’est l’alarme générale, lorsque les médecins découvrent qu’ils sont en présence d’un virus de la grippe qu’ils croyaient disparu depuis plus d’un demi-siècle, une grippe qui avait tué quelque 20 millions d’êtres humains à travers le monde, à la fin de la Grande Guerre, entre 1917 et 1920. Partie d’Espagne, elle avait gagné l’Europe, les États-Unis, la Chine, à la vitesse d’un feu de brousse. (...) Responsable de plus de morts que la Première Guerre mondiale elle-​même, le virus de la grippe espagnole avait disparu dans les années 20. Seuls quelques spécialistes savaient qu’il s’était réfugié dans certains élevages de porcs, aux États-Unis, notamment. Il était devenu le virus de la ‘grippe porcine’. (...) L’un des conseillers scientifiques de M. Ford le Pr Edwin Kilbourne, président du département de microbiologie de la célèbre école de médecine du Mont Sinaï [États-Unis] (...) est catégorique : ‘Nous avons la preuve de la transmission à l’homme du virus du porc. Nous prédisons des événements graves.’ (...) Le 26 mars, l’OMS accepte enfin d’alerter ses 90 centres antigrippe. (...) Si les experts de l’OMS reconnaissent la réalité et l’imminence du danger, les fabricants de vaccin auraient tout juste le temps de se mettre au travail.”

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