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  • Craignez Jéhovah le Supérieur
    La Tour de Garde 1952 | 15 octobre
    • Jéhovah. Personne ne peut faire fi de ses exigences. Ne prenez pas sa loi à la légère, car ses pouvoirs pour appliquer les sanctions sont illimités et peuvent causer l’anéantissement dans la mort. “ La terre est profanée par ses habitants ; car ils ont transgressé les lois, ils ont violé le commandement, ils ont rompu l’alliance éternelle. C’est pourquoi la malédiction dévore la terre, et ses habitants portent la peine de leurs crimes. C’est pourquoi les habitants de la terre ont été consumés, et il n’a survécu qu’un très petit nombre de personnes. ” (És. 24:5, 6, Sy). Cette crainte de déplaire à sa souveraine majesté doit exister en tout temps. C’est ce que fait clairement comprendre Ésaïe lorsqu’il dit : “ Jéhovah des armées, c’est lui que vous sanctifierez, lui qui sera votre crainte et votre frayeur. ” — És. 8:13, Cr 1905.

      18. Comment David exalte-​t-​il la grandeur de Jéhovah le Supérieur ?

      18 L’inférieur qui est sage se souvient en tout temps de ses relations avec son grand Supérieur, Jéhovah Dieu. Il cherche constamment à déterminer quelle est la volonté divine puis il suit sans tarder cette voie sage. Le fidèle serviteur de Dieu qui agit ainsi est semblable à David quand celui-ci s’exclama devant la grandeur de Jéhovah Dieu et montra combien il était important de lui rendre la crainte en observant sa loi. Voici ce que déclara ce roi : “ Les cieux racontent la gloire de Dieu, et le firmament annonce l’œuvre de ses mains. Le jour crie au jour la louange, la nuit l’apprend à la nuit. La loi de Jéhovah est parfaite : elle restaure l’âme ; le témoignage de Jéhovah est sûr : il donne la sagesse aux simples. Les ordonnances de Jéhovah sont droites : elles réjouissent les cœurs ; le précepte de Jéhovah est pur : il éclaire les yeux ; la crainte de Jéhovah est sainte : elle subsiste à jamais ; les décrets de Jéhovah sont vrais : ils sont tous justes. Ils sont plus précieux que l’or, que beaucoup d’or fin, plus doux que le miel, que le miel qui découle des rayons. Ton serviteur aussi est éclairé par eux ; à les observer il y a une grande récompense. ” “ Que toute la terre craigne Jéhovah ! ” — Ps. 19:2, 3, 8-12 19:1, 2, 7-11, NW ; 33:8, Cr 1905.

  • Soumission aux Autorités Supérieures
    La Tour de Garde 1952 | 15 octobre
    • Soumission aux Autorités Supérieures

      “ Que toute âme soit soumise aux autorités supérieures. ” — Rom. 13:1, NW.

      1. Quels sont les deux supérieurs en présence desquels se trouvent les chrétiens aujourd’hui ? Est-​ce là quelque chose de nouveau ?

      AUJOURD’HUI les chrétiens se trouvent en présence de deux supérieurs. Cette situation n’est pas nouvelle.a Les chrétiens du premier siècle se trouvaient dans la même position, et il en fut de même pour les Juifs après qu’ils eurent perdu en 607 av. J.-C. leur souveraineté nationale au profit de nations non-juives. Dans ces trois cas l’un des supérieurs possède une supériorité tolérée, temporaire et présumée, la supériorité limitée des gouvernements de César institués par les hommes. L’autre supérieur possède la supériorité absolue, éternelle et vraie, à savoir la supériorité illimitée de Jéhovah Dieu. Dans cette période transitoire précédant Harmaguédon, les témoins de Jéhovah sont capables de déterminer leurs relations et leurs devoirs sur le plan légal envers ces deux genres de supérieurs régnants qui imposent l’un et l’autre des obligations aux inférieurs chrétiens. Leur position au point de vue légal est invincible, parce qu’ils sont héritiers des nombreuses doctrines et principes légaux et bons contenus dans les Écritures ainsi que des nombreux précédents légaux établis par des cas bibliques qui sont généralement applicables. — Tite 3:1.

      2. Quelle était la situation quant aux supérieurs durant le ministère de Jésus, et que déclara celui-ci au sujet de la supériorité de César ?

      2 Jésus-Christ, le grand Moïse, était sans aucun doute le plus grand juge et le plus grand avocat que les hommes aient jamais connu. C’est pourquoi ses déclarations en matière de loi ont non seulement une valeur persuasive, mais également une autorité avec laquelle les chrétiens doivent compter. Jésus exerça son ministère en un temps où les Césars romains dominaient sur la Terre promise de Palestine et à une époque où l’alliance de la loi de Jéhovah Dieu était toujours en vigueur parmi les Juifs. Il existait donc deux supérieurs qui imposaient des obligations à Jésus et à tous les Juifs. Au terme de son ministère quand, accusé à tort d’être séditieux, Jésus présenta sa défense devant Pilate, gouverneur romain, celui-ci voulut lui rappeler la supériorité de Rome en lui disant : “ Ne sais-​tu pas que j’ai le pouvoir de te crucifier, et que j’ai le pouvoir de te relâcher ? Jésus répondit : Tu n’aurais sur moi aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné d’en haut. ” (Jean 19:10, 11). Nous avons là une preuve établissant clairement que la supériorité de César sur les serviteurs de Dieu était simplement tolérée par le véritable souverain Supérieur, Jéhovah Dieu.

      3. Comment les ennemis de Jésus essayèrent-​ils de le prendre en défaut ?

      3 Les ennemis religieux de Jésus cherchaient à lui tendre un piège sur la question de savoir si les Juifs liés à Dieu, par leur alliance, devaient légalement payer le tribut à César. Ils pensaient que Jésus allait préconiser des voies de fait contre l’autorité romaine et ainsi s’attirer une accusation de sédition. Il est écrit : “ Alors les pharisiens s’en allèrent et ils tinrent conseil sur le moyen de le prendre en défaut dans ses paroles. Ils lui envoient leurs disciples joints aux Hérodiens, qui lui disent : Maître, nous savons que tu es véridique et que tu enseignes la voie de Dieu dans la vérité, sans faire acception de personne, car tu ne regardes pas au visage des gens. Dis-​nous donc ce qu’il t’en semble : Est-​il permis oui ou non de payer l’impôt à César ? Jésus, connaissant leur malice, leur dit : Pourquoi me tenter, hypocrites ? Montrez-​moi la monnaie de l’impôt. Ils lui présentent un denier. Il leur dit : De qui est l’effigie et la légende ? Ils lui dirent : De César. Alors il leur dit : Rendez donc à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. ” — Mat. 22:15-21, Liénart.

      4. Que signifie pour les chrétiens actuels la saine doctrine de droit énoncée par Jésus ?

      4 À cette occasion, Jésus exprima une doctrine légale et saine. Elle s’énonce simplement : “ Rendez donc à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. ” Ainsi Jésus concède que les gouvernements de César peuvent imposer à leurs inférieurs et sujets chrétiens certaines obligations comme celle de rendre l’impôt qui doit leur revenir à juste titre pour des services rendus. Mais attention ! Dans le système de choses temporaire où règne “ César ”, celui-ci peut seulement réclamer un paiement pour les services limités pour lesquels les chrétiens dépendent de l’État. C’est ce que souligna Jésus quand il parla de la monnaie de César appelée la “ monnaie de l’impôt ”. Par conséquent, en énonçant cette doctrine de droit impliquant des obligations, Jésus établit une démarcation qui indique la limite de nos obligations envers l’État. Notez que Jésus n’oublia pas de mentionner les grands devoirs que les témoins de Jéhovah doivent rendre à leur Dieu souverain, car il termina sa déclaration par ces paroles : “ Rendez... à Dieu ce qui est à Dieu. ”

      5. Quelle voie prennent les chrétiens quand il y a conflit entre les exigences de César et celles de Dieu ? Sur quel précédent s’appuient-​ils ?

      5 Les chrétiens et les chrétiennes voués à Jéhovah dépendent absolument de Dieu pour ce qui est de la vie et de ses besoins majeurs. Par conséquent, il est juste et nécessaire qu’ils rendent à Dieu leurs grands devoirs dans toutes les choses où ils dépendent de lui. Là où les obligations légales de César et celles de Dieu sont en conflit, les chrétiens suivent le précédent créé par Pierre et les apôtres quand ils présentèrent leur défense devant le sanhédrin à Jérusalem. Le juge du sanhédrin déclara : “ Ne vous avons-​nous pas défendu expressément d’enseigner en ce nom-​là ? Et voici, vous avez rempli Jérusalem de votre enseignement, et vous voulez faire retomber sur nous le sang de cet homme ! Pierre et les apôtres répondirent : Il nous faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. ” (Actes 5:27-29). Si César leur applique malgré tout des sanctions pénales parce qu’ils ont suivi ce précédent juste en refusant de se conformer à ses exigences contraires alors ils en supportent les conséquences. Ils préfèrent souffrir ainsi plutôt que de transgresser la loi divine ou de négliger de rendre à Dieu ce qui est à Dieu. Si la loi de César ordonne à un chrétien de faire ce qu’interdit formellement la loi de Dieu, celui-ci n’hésitera pas entre deux opinions, mais s’en tiendra rigoureusement à ce précédent : “ Il nous faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes. ”

      SOUMISSION AUX AUTORITÉS SUPÉRIEURES

      6, 7. Qui sont les “ autorités supérieures ” que Paul mentionne dans Romains 13:1, et pourquoi en est-​il ainsi ?

      6 L’apôtre Paul, qui fut un homme de loi avant de devenir un ministre chrétien zélé, fait ressortir avec force la position prééminente des véritables autorités supérieures placées dans le gouvernement de Dieu au-dessus de ses serviteurs. Il écrit : “ Que toute âme soit soumise aux autorités supérieures, car il n’y a pas d’autorité, sauf par Dieu. ” (Rom. 13:1, NW) Ces dernières paroles “ car il n’y a pas d’autorité, sauf par Dieu ” sont une preuve concluante que les “ autorités supérieures ” dont parle Paul ne peuvent être les puissances politiques des gouvernements de César. Dans les Écritures, au verset 2 du chapitre 13 de l’Apocalypse Ap 13:2, nous lisons que Satan est celui qui a investi de pouvoirs et autorisé les Césars de ce vieux monde. Par conséquent, les “ autorités supérieures ” mentionnées au chapitre 13 de l’épître aux Romains Ro 13, autorités nommées par Dieu, comprennent seulement les autorités régnantes théocratiques et excluent les autorités de César.

      7 La Bible identifie clairement ces véritables autorités supérieures. D’abord Jéhovah Dieu lui-​même, qui a repris son contrôle souverain en ce qui concerne les affaires de la terre, est la principale autorité théocratique. Au sujet de sa royauté et de son administration il est écrit : “ Louez Jah, peuples, car Jéhovah notre Dieu, le Tout-Puissant a commencé à gouverner comme roi. ” (Apoc. 19:6, NW ; Dan. 7:13). Les Écritures disent encore : “ Ne devons-​nous pas à bien plus forte raison nous soumettre au Père des esprits, pour avoir la vie ? ” (Héb. 12:9). L’“ autorité supérieure ” en second est le Roi consort Jésus-Christ au sujet duquel Pierre écrit : “ Honorez le roi. ” Paul confirme cela en parlant du grand nom ou de la charge élevée que Dieu donna à Jésus quand il l’exalta à cette position supérieure comme autorité consort. La Bible dit : “ Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ. C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé (à une position supérieure, NW), et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. ” — I Pi. 2:17 ; Phil. 2:5, 9-11 et Apoc. 11:15.

      8, 9. a) Qui place les “ autorités qui existent ”, et quelles sont les relations du chrétien avec elles ? b) Pourquoi est-​ce chose sérieuse que d’être un inférieur sous la direction de l’organisation théocratique de Dieu ? et quel avertissement Paul donna-​t-​il à ce sujet ?

      8 Les chrétiens du vingtième siècle fléchissent volontiers le genou, confessant, en tant qu’inférieurs, que Jéhovah et Jésus-Christ sont ceux à qui ils se soumettent d’abord et que ces autorités divines ont le droit de leur imposer des obligations. Paul dit ensuite : “ Les autorités qui existent sont placées dans leurs positions respectives par Dieu. ” (Rom. 13:1, NW). Voilà encore une preuve que celles-ci sont les “ autorités supérieures théocratiques ” parce qu’il est écrit que “ Dieu a placé chacun des membres dans le corps comme il a voulu ”. Par conséquent, un chrétien voué à Dieu prend plaisir à être obéissant en toutes choses, et se soumet loyalement par amour ; c’est ce que s’efforce de faire chaque serviteur de Dieu. — I Cor. 12:18.

      9 Ces autorités supérieures théocratiques possèdent de grands pouvoirs pour appliquer des sanctions pénales. Elles ont le pouvoir d’exécuter les jugements contre tous les adversaires. En nous avertissant de ce fait, Paul écrit : “ Par conséquent, celui qui s’insurge contre l’autorité a pris position contre l’ordre établi par Dieu ; ceux qui ont pris position contre elle attireront un jugement sur eux-​mêmes. Car ceux qui gouvernent sont un objet de crainte, non pour les bonnes actions mais pour les mauvaises. Veux-​tu alors ne pas craindre l’autorité ? Continue à faire le bien et tu recevras des éloges de l’autorité, car elle (l’autorité) est le ministre de Dieu pour toi, pour ton bien. Mais si vous faites le mal, soyez dans la crainte : car ce n’est pas sans but qu’elle porte l’épée ; car elle (l’autorité) est le ministre de Dieu pour toi, un vengeur pour exprimer la colère (sanctions pénales) contre celui qui pratique le mal. ” (Rom. 13:2-4, NW). Les relations qui s’établissent quand nous devenons un inférieur sous la direction de l’organisation théocratique de Dieu sont vraiment sérieuses. On ne devrait jamais oublier que les mauvaises actions, l’infidélité ou l’opposition aux autorités gouvernementales théocratiques entraînent des conséquences terribles.

      10. Quels autres faits montrent que les “ autorités supérieures ” mentionnées dans Romains 13:1 ne pouvaient être les gouvernements de César comme le prétend le clergé ?

      10 Les citations susmentionnées de l’épître aux Romains ne pouvaient jamais s’appliquer aux pouvoirs politiques du monde de César comme le prétend à tort le clergé de la chrétienté. Les Césars de ce monde n’ont jamais montré par leurs actions qu’ils étaient les ministres de Dieu pour nous, pour notre bien. Au contraire les Césars ont commis le mal en persécutant les fidèles serviteurs de Dieu. Il n’est besoin que de citer brièvement les faits. Entre 1933 et 1946, des milliers de chrétiens des pays occidentaux furent persécutés, molestés et emprisonnés injustement pour avoir, par motif de conscience, obéi à Dieu plutôt qu’aux hommes. Au cours de cette période 1 600 hommes et femmes, témoins de Jéhovah, furent emprisonnés en Angleterre ; en Allemagne 10 000 furent jetés dans des camps de concentration par Hitler ; aux États-Unis, 20 000 arrestations suivies d’emprisonnement furent opérées et on signala 1 500 attaques de la foule. Depuis 1946 la Russie s’est rendue tristement célèbre en emprisonnant et en bannissant des milliers de témoins de Jéhovah. C’est exactement ce que Jésus avait prédit. De même que César et ses alliés religieux persécutèrent Jésus, de même le César moderne et ses partisans religieux persécutent les chrétiens de notre temps. — Jean 15:20.

      11, 12. a) Que dit Paul au sujet du véritable motif de la soumission aux autorités théocratiques de Dieu ? b) Comment Paul donne-​t-​il un exemple de ce bon motif et de quelles autres obligations parle-​t-​il encore ?

      11 Paul se met en devoir de renforcer son conseil juridique en discutant du motif principal pour lequel le chrétien se soumet aux autorités supérieures théocratiques. Il montre que le motif majeur qui nous pousse ne consiste pas seulement à tenter d’éviter la colère de Dieu qui se traduit par les sanctions pénales appliquées par le gouvernement de Dieu, mais que c’est encore une force beaucoup plus puissante qui est en nous : notre amour librement consenti de la justice, notre profond amour pour Jéhovah, notre grand Bienfaiteur. Paul dit en effet : “ Il y a donc une raison majeure pour que vous soyez soumis, non seulement à cause de la colère (sanctions pénales) mais aussi à cause de votre conscience. ” (Rom. 13:5, NW). La conscience est la faculté de l’esprit grâce à laquelle l’homme se rend compte, perçoit distinctement ou apprécie que la ligne de conduite qu’il a adoptée est bonne ou mauvaise. La conscience chrétienne qui est instruite depuis longtemps par la Parole de Dieu sait exactement ce qu’est la volonté divine et quelle est la chose juste à faire pour plaire à son Maître céleste. Ainsi, à cause de son amour ardent pour Dieu, amour qui remplit constamment notre conscience, le chrétien reste sans hésiter entièrement soumis à Jéhovah et à ses autorités dirigeantes théocratiques.

      12 Pour souligner cette question de conscience, Paul donne un exemple de bon motif en disant : “ C’est aussi pour cela que vous payez le tribut. ” Le “ tribut ” dont il s’agit ici représente les impôts à payer à César. Des années avant le temps de Paul, Jésus avait tranché la question du “ tribut ” ou des impôts à payer à César (voyez les paragraphes 3 et 4) ; Paul cita donc sans hésiter, comme ligne de conduite qui s’impose, cet exemple d’un bon motif dicté par une conscience pure. “ Car ils (les autorités théocratiques) sont les serviteurs publics de Dieu servant constamment à cette fin même. Rendez à tous ce qui leur est dû, à celui qui demande le tribut (impôts de César sur les personnes et les propriétés), le tribut ; à celui qui demande l’impôt (impôts de César sur les articles commerciaux et personnels), l’impôt ; à celui qui demande la crainte (respect pour les personnes éminentes dans l’organisation de Dieu et dans celle de César), la crainte ; à celui qui demande l’honneur (Pierre dit : “ Honorez les hommes de toute sorte. ”), l’honneur. ” — Rom. 13:6,7 et I Pi. 2:17, NW.

      PRIÈRES POUR CEUX QUI SONT HAUT PLACÉS

      13. Quelles questions sont soulevées à propos de I Timothée 2:1-4 ?

      13 Un autre passage biblique qui a jeté quelque confusion dans l’esprit de certaines personnes est I Timothée 2:1-4. On l’a souvent associé à Romains 13:1-7 ; il est donc approprié de l’examiner ici. Selon la New World Translation il est ainsi conçu : “ J’exhorte donc avant toutes choses que l’on fasse des supplications, des prières, des intercessions, des actions de grâces concernant les hommes de toute sorte, concernant les rois et tous ceux qui sont haut placés afin que nous menions une vie calme et tranquille en toute piété et dignité. Cela est bon et agréable aux yeux de notre Sauveur, Dieu, dont la volonté est que les hommes de toute sorte soient sauvés et parviennent à une connaissance exacte de la vérité. ” Qui sont les rois et ceux qui sont haut placés ? Quel genre de prière doit-​on faire pour eux ?

      14. Qui sont les rois et ceux qui sont haut placés ? et comment les instructions données par Jérémie s’harmonisent-​elles avec celles de Paul ?

      14 Il ressort du contexte que lorsqu’il est question de rois et de ceux qui sont haut placés, il s’agit des dirigeants des nations et de tous ceux qui occupent une haute position dans les affaires d’intérêt public. La Bible contient des exemples montrant comment le peuple de Jéhovah offrait des prières qui concernaient les dirigeants, et qui étaient quelquefois en leur faveur. Au temps de Jérémie, après que les rois de Juda devinrent tributaires de Nebucadnetsar, roi de Babylone, il y eut une agitation politique en Juda, et beaucoup de personnes tournaient leurs regards vers l’Égypte, espérant que cette nation les soutiendrait dans leurs séditions contre Babylone. Même quand de nombreux Juifs eurent été emmenés captifs à Babylone, en 618 av. J.-C., l’esprit de sédition était très répandu et beaucoup pensaient sérieusement que l’Égypte romprait le joug babylonien. Jérémie prophétisa différemment et au lieu de susciter parmi les Juifs captifs à Babylone l’espoir d’une délivrance prochaine, il leur dit de se préparer à y demeurer encore longtemps ; il ajouta ce qui suit comme une partie du message de Dieu à leur adresse : “ Recherchez le bien de la ville où je vous ai menés en captivité, et priez

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