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  • Les merveilles de Dieu dans les profondeurs
    Réveillez-vous ! 1977 | 22 avril
    • il se trouve dans la structure de leur peau qui est élastique et flexible. La peau du dauphin, résistante et semblable à du cuir, repose sur un coussin d’huile grâce auquel elle cède sous la turbulence des courants et, de ce fait, la compense. En outre, la peau de nombreux poissons rapides est poreuse et couverte d’un mucus formant des filaments qui l’aident à glisser dans l’eau, laquelle reste pratiquement calme. On a essayé d’appliquer ces principes à la construction des bateaux en se servant d’une substance qui forme des filaments. On constata que la résistance de l’eau était réduite de 70 pour cent. Mais cette méthode est d’un prix prohibitif.

      L’exploration sous-marine

      Le Créateur a mis sur la terre une infinie variété de merveilles qui peuvent occuper l’esprit investigateur des hommes pendant des temps indéfinis. Il en va de même dans l’océan. On y trouve les créatures les plus étranges, qui toutes ont un rôle à jouer dans l’interdépendance des formes de vie. Dans certains cas, toutefois, on ne sait pas exactement en quoi consiste ce rôle.

      Il y a par exemple la myxine, un poisson semblable à une anguille, qui a trois cœurs dont un dépourvu de nerfs. Sa bouche est simplement un trou rond. Elle a des dents sur la langue et une seule narine. La myxine vit sur le fond de l’océan, généralement à moitié enterrée dans la vase. Ce poisson sécrète une telle quantité d’humeur visqueuse que si l’on met une myxine de 25 à 38 centimètres dans un petit seau d’eau que l’on agite, au bout de quelques secondes le contenu du seau est devenu un gros bloc visqueux qu’il est possible d’enlever avec la main en une seule fois. La myxine est si souple qu’elle peut également faire un nœud avec son corps. Dans quel but ?, vous demandez-​vous. Elle a ainsi plus de force pour frapper un poisson mourant et le transpercer de sa langue râpeuse. L’humeur visqueuse qu’elle sécrète la rend glissante et difficile à saisir.’ Mais pendant qu’elle fait un nœud avec son corps, elle élimine l’excès d’humeur pour que l’ouverture vitale des ouïes ne soit pas obstruée.

      La bernacle ou anatife est un animal bien connu, mais très curieux. Une variété appelée balane est détestée des marins parce qu’elle a l’habitude de se fixer sur la coque des navires. Ces crustacés, qu’il est presque impossible d’enlever, ralentissent la marche du bateau et font augmenter la consommation de carburant. Ils fabriquent une colle tellement forte qu’une couche de 0,076 2 millimètre d’épaisseur seulement a une résistance de 493 kilos au centimètre carré. Cette colle résiste à la chaleur et au froid, aux acides forts, aux alcalis et aux solvants organiques ou à l’eau. Elle souderait ensemble pratiquement n’importe quelles substances. Comme elle durcit et sèche dans l’eau salée, elle pourrait servir à des fins médicales. Pour les dentistes, ce serait un ciment idéal pour maintenir les plombages. Elle serait également utile en chirurgie plastique et pourrait contribuer à ressouder les os brisés. Un tel ciment aurait quantité d’usages dans l’industrie. Les scientifiques s’efforcent donc d’analyser et de synthétiser cette excellente substance adhésive, mais sans succès jusqu’à présent.

      Après qu’elle est éclose et qu’elle a atteint le stade de larve, la bernacle s’établit dans (en réalité “sur”) une “habitation” par le moyen de son ciment permanent. Sa coquille en forme de volcan a quatre plaques coulissantes qui s’ouvrent à l’endroit du “cratère” ; des pieds plumeux en sortent pour amener le plancton vers sa bouche. Les bernacles se fixent sur les rochers, les coquillages, les baleines, les navires et aussi sur des blocs de mazout durci. Il y a même des bernacles qui se fixent sur d’autres bernacles.

      De nombreuses bernacles possèdent à la fois les organes mâles et femelles, mais la plupart des variétés les plus courantes ne se fécondent pas elles-​mêmes. Puisqu’elles sont fixées de façon permanente, comment les bernacles trouvent-​elles un conjoint ? Du fait qu’elles vivent en communauté très dense, elles n’ont qu’à choisir un voisin qui leur convient pour l’accouplement. Elles surmontent le problème de la distance grâce à un long tube rétractile.

      Il existe une variété de bernacles qui ne se fixe pas sur les navires, mais choisit les roches submergées. Ces bernacles sont beaucoup plus appréciées, non seulement parce qu’elles ne font pas de tort aux bateaux, mais aussi parce qu’elles pèsent jusqu’à un kilo et demi et sont un mets de choix. Elles ont un goût assez semblable à celui du homard et du crabe.

      Étant donné ce qui précède, on ne peut qu’être d’accord avec le psalmiste qui a dit :

      “Ceux qui descendent en mer sur les navires,

      Faisant le commerce sur les vastes eaux,

      Ceux-là ont vu les œuvres de Jéhovah

      Et ses œuvres prodigieuses dans les profondeurs.” — Ps. 107:23, 24.

      Les hommes qui font des recherches sous la surface de l’océan, et même dans ses profondeurs, ont l’occasion d’admirer des merveilles plus étonnantes encore. Ils ont découvert bien des choses utiles à l’homme qui vit sur la terre ferme, mais ils reconnaissent qu’ils ont à peine ‘gratté la surface’. Il y a encore bien d’autres merveilles à découvrir dans les profondeurs de la mer, réserve inépuisable d’informations, de nourriture, de richesses et d’enchantements pour ceux qui ont le plaisir de ‘descendre en mer’ à la recherche de ses trésors.

  • Utile du haut en bas
    Réveillez-vous ! 1977 | 22 avril
    • Utile du haut en bas

      ● Appelé “l’arbre de vie” par les indigènes du nord-est du Brésil, le palmier carnauba a un nombre extraordinaire d’usages. Dans les “plantations”, on récolte les feuilles dont on extrait la cire. Celle-ci entre dans la fabrication des meilleures cires pour planchers, des produits pour entretenir le cuir, du papier carbone, des disques pour électrophones, des films de cinéma, de quantité d’articles en caoutchouc et de matières isolantes.

      Cependant, si le reste du monde n’emploie que cette cire, les indigènes, eux, se servent de toutes les autres parties de la plante. Avec les feuilles, ils tissent des nattes et font des toits de chaume. Le tronc est utilisé pour toutes sortes de construction, surtout celle des solides jangadas ou radeaux à voiles. Les troncs, une fois creusés, sont même employés comme conduites d’eau.

      Il y a également les parties comestibles. Les pousses se mangent comme choux palmistes et les jeunes tiges fournissent de l’amidon. Avec le petit fruit rond de ce palmier on engraisse les cochons, et on fait même une boisson fermentée avec la sève. En vérité, le palmier carnauba est une “usine” économique, productive du haut en bas.

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