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La moisson en Amérique du Sud : un véritable défiLa Tour de Garde 1969 | 1er septembre
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s’il nous serait possible d’y entrer et d’y recevoir un territoire.”
“Très bien. Toutefois, il reste une question à régler : celle de la langue. Il nous faudra décider où nous aimerions nous rendre avant d’entreprendre quoi que ce soit, car si on parle le portugais dans le premier de ces pays, c’est l’espagnol qui est la langue parlée dans le second. Une fois notre choix arrêté, nous pourrions étudier la langue en groupe, un soir par semaine, tout en achevant nos préparatifs et en nous acquittant de nos responsabilités ici.”
“Il y a une chose qu’il faut faire sans délai. Nous devons parler à nos femmes, nos chères épouses. À mon avis, il serait bien que chaque couple discute d’abord de la question en privé, après quoi nous pourrions prévoir une réunion à quatre et une discussion plus longue.”
“Très bien. Nous apporterons toutes les lettres que nous avons reçues des missionnaires et nous pourrons ainsi augmenter notre connaissance de base à propos du champ en Amérique du Sud. La prochaine fois que nous nous réunirons à la Salle du Royaume, il sera intéressant de voir où nous en serons dans nos projets et ce que nous pourrons encore faire pour relever le défi que représente la moisson abondante dans les pays du Sud. Au revoir.”
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Un joueur de tambour devient un témoin heureuxLa Tour de Garde 1969 | 1er septembre
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Un joueur de tambour devient un témoin heureux
En République centrafricaine, un ministre témoin de Jéhovah passait régulièrement devant la maison d’un joueur de tambour. Le prêtre avait conseillé à celui-ci d’ignorer les témoins de Jéhovah.
Quelque temps plus tard, le joueur de tambour fut réduit à une extrême pauvreté. Il perdit même ses chaussures au jeu. Or, voilà que, le visage souriant et les pieds chaussés, le même témoin passe de nouveau près de chez lui. Le joueur de tambour commence à réfléchir sérieusement. “Pourquoi, se dit-il, moi qui suis un bon catholique n’ai-je que des ennuis, alors que ce témoin de Jéhovah semble toujours si heureux ?” Quelques jours plus tard, ayant guetté le témoin au passage, il l’aborde et lui demande : “Comment expliquez-vous la grande différence qu’il y a entre nous ?” Avec plaisir, le témoin lui démontra comment l’application des principes bibliques protège toute personne. Aujourd’hui, le joueur de tambour n’est plus le même homme ; il est devenu témoin de Jéhovah. Il a bien organisé sa vie, régularisé sa situation matrimoniale, et il porte de nouveau des chaussures !
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